problème fondamental est le passage de l'information à la connaissance.
aucune, ne se plaint de trop de connaissances
système pépinière (anglo-saxon, pays du nord de l'Europe) où chacun va développer ses compétences et ses qualités et ainsi contribuer à fabriquer de la connaissance
système raffinerie (France notamment) où l'objectif est de sélectionner les meilleurs.
Or, la connaissance naît d'un partage collectif
créer des espaces d'échanges et de communion
stress anxiogène
la non-attention quasi systématique des individus lors des réunions.
Happés par leurs mails, leurs textos
l'un compte sur l'autre pour lui faire un compte rendu par mail de la réunion
jeûnes informationnels où la déconnexion est obligatoire ?
les technologies et les modes de management dominants sont en train de désacraliser les lieux de coopération, de connivence et donc, de construction de la connaissance
expérimenter à l'université des cours où l'accès wifi serait supprimé... histoire de prendre le temps de penser !
il existe une totale indifférence de l'entreprise à intégrer les aléas de la vie personnelle des employés
sont exclus des postes à responsabilité pour la raison qu'ils refusent de consacrer tout leur temps à leur travail
repenser la sélection et la formation des managers
comprendre comment rendre l'information intelligible pour toute l'entreprise.
nous pouvons faire le parallèle avec les enseignants:
la technologie exclu l'enseignant qui souhaite un équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle. Seul ceux qui accepte d'en faire plus du côté professionnel sans aucune reconnaissance institutionnelle, pourront accéder au monde de la pédagogie avec les TIC
ils ne font plus de l’éducation mais de l’entrainement aux tests, du bachotage
s’intéressent à la population utile, c’est-à-dire les élèves qui ont une chance de progression.
cela permet de diversifier l’offre éducative
’intérêt des TICE, c’est qu’elles permettent d’enrichir sans forcément bousculer toutes les pratiques et d’avoir des offres alternatives
pas un rôle exclusif.
On peut changer de méthode, cela s’est déjà fait et de façon concertée mais par rapport à des objectifs pédagogiques,
son travail consiste à faire apprendre aux élèves
l’école du futur
projet pédagogique s’est fracassé sur la réalité du système éducatif
t heurté au fait que les enseignants ont été
recrutés sur des procédures assez classiques
heurtés aux exigences du district scolaire, qui découlaient elles-mêmes de la loi No Child Left Behind de Bush
problèmes de management,
l’enseignement des langues,
un professeur de géographie de concrétiser beaucoup plus facilement les phénomènes et de demander à ses élèves de faire une recherche
travailler un peu dans l’esprit des historiens
questions sur le statut d’un document
on est allé beaucoup trop loin
cela doit être l’affaire de tous les enseignemants disciplinaires et non pas d’une discipline parmi d’autres
ils sont très agiles, tout le monde le reconnait mais en même temps superficiel
s par rapport à l’organisation des systèmes, par rapport à la réflexion sur ces systèmes,
L’idée que ces digital natives vont pouvoir aller sur Internet, trouver quantité de documents qui racontent le siècle de Louis XIV et qu’ils vont tout comprendre, on sait que cela ne marche pas
chaque élève, son rythme, ce serait formidable
la capacité d’autonomie des élèves étant ce qu’elle est, à creuser les inégalités, et l’on a une baisse généralisée du niveau.
Laisser l'élèves organiser seul ses recherche de documents à connaitre le laisse face à son autonomie: le risque est grand d'obtenir un décrochage plutôt qu'un apprentissage réel à rythme régulier