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Motivation - Credo générationnel | Le nouvel Economiste - 0 views

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    ndividualistes mais solidaires, autonomes mais soucieux de leur socialisation dans l'entreprise, les membres de la génération Y étonnent. Bousculant de nombreux codes professionnels, ils transforment les standards en termes de motivation du personnel. Leur credo : un management moins vertical et une reconnaissance de leurs compétences.
Aurialie Jublin

Tous Talent : le réservoir de productivité des prochaines années | Le Cercle ... - 1 views

  • L’envie et la motivation intrinsèque des femmes et des hommes de ce capital est un facteur majeur de surperformance. En effet, considérons un collaborateur au 35h, son travail ne l‘occupe que 33% de son temps disponible chaque semaine. Ses capacités à s’épanouir et à s’investir peuvent alors aisément être portées par des activités hors de son temps professionnel. En revanche, si l’entreprise oriente cette capacité en fournissant à ce collaborateur tout l’espace et les moyens nécessaires pour s’investir et s’épanouir, la productivité de son temps professionnel s’en ressentira grandement. En partant de ce constat, deux options diamétralement opposées s’offrent aux entreprises pour augmenter les sources de motivation de leurs collaborateurs.
  • elle en proposant une somme de services, d’avantages et d’activités extra-professionnels réservés à leurs collaborateurs (crèches, salles de sport, activités financées, mécénat d’entreprise, journées créatives…). La seconde option tente de rendre, par une politique RH performante, le temps consacré au travail le plus motivant possible. Les populations qui passent le plus de temps au travail – les agriculteurs et les professionnels de santé – ont généralement le taux de suicide le plus important !
  • La plupart des études consacrées au capital humain montrent régulièrement que les principaux facteurs de motivation sont l’intérêt du travail, la mobilité fonctionnelle et la mise en œuvre de nouvelles compétences, l’autonomie et la responsabilisation et les perspectives d’évolution. L’ambiance au travail, des objectifs individuels motivants et le soutien du manager dans des situations difficiles sont dans le top 5 des facteurs du bien-être au travail. Par ailleurs, le premier facteur de démotivation est le manque de reconnaissance. Au regard de ces éléments, les gisements de productivité et d’innovation sont clairs : mettre en œuvre une politique RH permettant à l’ensemble des collaborateurs d’être reconnu et de se reconnaître comme des « talents » capables d’évoluer, de se développer et de s’épanouir dans leur travail.
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    "Après la productivité par l'industrialisation des processus de l'entreprise et l'intégration des TIC, l'efficience du capital humain devient le principal levier de productivité pour les dix prochaines années."
Aurialie Jublin

Résultats 2012 de l'Observatoire de la vie au travail - 0 views

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    Le dernier Observatoire de la vie au travail animé par M@rs-lab en partenariat avec le Club Essec RH pointe une dégradation du moral des salariés dans les TPE et de la perception qu'ils ont de l'encadrement. Le moral s'améliore en revanche largement dans les grandes entreprises. Cependant, l'étude révèle que l'enthousiasme des salariés est bridé par le manque de reconnaissance. 45 % des salariés jugent insuffisante la qualité managériale de leur entreprise.
Aurialie Jublin

Salaire à vie: l'emploi est mort, vive le salariat! | Slate - 1 views

  • L'échelle des revenus serait de 1 à 4, soit de 1.500 à 6.000 euros. Le passage d'un niveau à l'autre serait fonction de la qualification, équivalent du grade dans la fonction publique, attestant qu'une personne «peut participer à un certain niveau de création de valeur économique et a donc droit à un tel niveau de salaire». Ces qualifications, dont la liste précise serait sujette à délibérations, incluraient l'ancienneté, la pénibilité, les diplômes...
  • Pour cet universitaire, le chantage à l'emploi fait de nous des «mineurs sociaux» qui ne sont pas reconnus comme «producteurs de valeur économique», et le salaire à vie nous transformerait en «majeurs sociaux».
  • Il rappelle que le salaire à vie existe déjà: en effet, les fonctionnaires et les retraités touchent déjà un salaire universel. En le généralisant à l'ensemble des Français, le sociologue ne veut pas seulement éradiquer la misère, mais bien dessiner les contours d'un nouveau système:
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  • En effet, entre les cotisations dites «patronales» et «salariales», près de la moitié de notre salaire est aujourd’hui socialisé et permet de financer la sécurité sociale et les minimas sociaux. Bernard Friot propose de prolonger cette conquête et de socialiser 100% du salaire.
  • Mais Bernard Friot ne s'arrête pas là: il propose que toute la valeur ajoutée de l'entreprise soit socialisée et que le profit soit donc supprimé. L'argent ainsi collecté servirait à payer les salaires mais aussi l'investissement des entreprises et la Sécurité sociale.
  • Les porteurs de projets devraient demander des financements auprès d'une caisse chargée d'en étudier la viabilité et l'utilité. Ainsi, ils ne seraient plus dépendants des prêts bancaires, de leur épargne personnelle ou du bon vouloir des apporteurs de capitaux et leur vision court-termiste.
  • Pour autant, les entrepreneurs, qu'il définit comme «des personnes qui impulsent des productions et des collectifs de travail» existeront toujours, de même que la hiérarchie au sein des entreprises.
  • Enfin, il met en garde contre «l'ethnocentrisme petit-bourgeois» qui fait croire que certains arrêteront leur activité jugée dégradante. S'appuyant sur une étude, il relève que les éboueurs, contrairement à ce que l'on pourrait croire, non seulement aiment leur métier mais ont conscience de leur utilité sociale. Il faut ajouter à cela le besoin humain de reconnaissance de son utilité sociale, qui passe notamment par le travail.
  • Un autre argument avancé contre le salaire à vie est la nécessité d'avoir des entrepreneurs compétents dont la seule motivation serait l'argent.
  • Bernard Friot fait valoir que sur le web, la coopération non lucrative marche très bien, prenant l'exemple des logiciels libres. De même, dans le milieu universitaire, la motivation n'est pas tant le salaire que celle d'être «le premier à mettre à jour une nouveauté».
  • Les défenseurs du revenu de base mettent également en cause le caractère constructiviste de la proposition de Friot: elle ne laisserait pas assez de place à l'individu pour décider de la société dans laquelle il veut vivre, contrairement au revenu de base, qui serait lui plus humaniste et adaptable aux volontés de tous.
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    "Et si, de la même manière que le suffrage universel est venu récompenser notre capacité à tous participer à la chose publique, un salaire à vie venait consacrer notre capacité à tous produire de la valeur? C'est l'idée mise en avant par l'économiste et sociologue Bernard Friot."
Aurialie Jublin

Travail et exclusion : comment Emmaüs réinvente le revenu minimum ?  - Metis - 0 views

  • La motivation des salariés d'Emmaüs justifie le niveau de leur rémunération Tout d'abord, il faut savoir que les salariés des associations jugent leurs salaires et leurs avantages non pécuniaires (assurance santé, congé maternité rémunéré) moins élevés que dans les secteurs privés et public, mais ils ne considèrent pas leur rémunération comme étant particulièrement inéquitable. A Emmaüs, le salarié s'engage avant tout parce qu'il partage les valeurs. Or, dans le cas des Communautés Emmaüs, les salariés ne sont pas les seuls travailleurs associatifs à percevoir une rémunération. Au sein des Communautés, les Compagnons touchent ce que l'association appelle un pécule mensuel d'un montant qui s'élève aux environs de 200€ mensuel. Les compagnons ont un statut particulier de travailleurs solidaires.
  • un compagnon est d'abord une personne en risque d'exclusion qui n'a pas fait le choix de travailler dans une communauté Emmaüs : pour faire simple, son choix est limité entre travailler et vivre dans une communauté ou vivre dans la rue. Le Compagnon est à la fois le bénéficiaire et la principale de force de travail des Communautés. Sa position devrait légitimement lui permettre de disposer des moyens et des ressources, nécessaires à son bien-être. Or, l'enquête de terrain a prouvé que ces derniers souffrent parfois d'un manque de reconnaissance et d'un faible niveau de rémunération. On a inculqué aux compagnons le principe que le travail leur rendrait la dignité. Mais, hormis la dignité et les avantages solidaires liées à la vie communautaire que gagnent-ils à travailler au sein des Communautés.
  • L'allocation hebdomadaire versée par l'équipe de direction n'est pas un «salaire», et les Compagnons ne sont pas des employés.
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  • La politique salariale au sein des Communautés consiste dans la mise en place d'un salaire minimum et d'avantages solidaires. Il est clair que le faible niveau de rémunération d'une main d'œuvre aussi nombreuse constitue un avantage compétitif indéniable. Or, il ne s'agit pas non plus d'exploitation, car l'expérience d'Emmaüs démontre qu'un salaire minimum aussi réduit est efficace s'il s'accompagne non seulement d'autres formes d'allocations ou prestations solidaires, mais d'un vrai dispositif conduisant à sortir de la pauvreté.
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    "Au lieu de s'attarder sur les échecs du RSA, cet article décrit dans quelles circonstances certains emplois sont faiblement rémunérés et quels sont les mécanismes qui découlent de certaines relations salariales. Pour cela, cet article prend exemple sur le cas des stratégies salariales au cœur du système des Communautés du mouvement Emmaüs."
Aurialie Jublin

Le travail peut-il à nouveau nous faire vivre ? - RH info - 1 views

  • Il faut dire que les contextes qui permettaient à une personne de trouver une raison stable pour s’impliquer dans son travail sont en grande partie révolus. Les comportements cyniques en matière sociale ont fait tomber les illusions ; la réduction du syndicalisme et le management par la « stress-performance » se sont forgés au prix d’un individualisme accru ; le sens de l’œuvre et du service s’est noyé dans la violence du marché ; les comportements hyper courts-termistes des actionnaires et des investisseurs ont souvent détruit la logique entrepreneuriale et la cohérence des projets ; la valeur s’est déplacée du travail sur l’argent ; les cadres et les experts n’ont plus de scrupules à faire jouer la concurrence entre les entreprises et leur fidélisation est souvent devenue un vrai casse-tête.
Aurialie Jublin

CFDT - Travailleurs des plateformes : beaucoup de bruit pour rien ? - 0 views

  • Devant la cour d’appel, son contrat, dénommé « contrat de prestations de services », a été passé au peigne fin. Il en est ressorti que, si le livreur pouvait choisir ses plages horaires (« shifts ») pour effectuer des livraisons, il ne pouvait, sans pénalité, se désengager moins de 72 heures avant leur commencement. Qui plus est, la société Take eat easy se réservait le pouvoir de résiliation du contrat dans certains cas. Aussi, la société avait-elle édicté un « petit guide du coursier », instaurant un système de bonus-malus, les malus étant plus couramment appelés strike. 3 strikes en 1 mois conduisait à une convocation à un entretien avec la société sur les motivations du coursier et 4 strikes à la rupture des relations contractuelles. A la suite du rejet de ses prétentions par le conseil de prud’hommes de Paris, le livreur a interjeté appel. Par une décision du 20 avril 2017, la cour d’appel de Paris a refusé de reconnaître l’existence d’un contrat de travail. Selon les juges du fond, bien que le système de bonus/malus mis en place évoque un pouvoir de sanction, les pénalités sanctionnent des manquements à des obligations contractuelles, ce qui ne caractérise pas un pouvoir de sanction de type salarial. De plus, la cour relève que ces stipulations ne remettent pas en cause la liberté du coursier de choisir ses horaires, le moment de ses congés, tout comme sa durée de travail. Les juges du fond en déduisent que la société Take eat easy « ne détermine pas unilatéralement les conditions d’exécution du travail ».
  • Selon la Cour, le système de la géolocalisation du livreur permettant son suivi en temps réel, ainsi que le système de sanctions auraient dû conduire les juges du fond à reconnaitre l’existence d’un pouvoir de direction et de contrôle et celle d’un pouvoir de sanction. Toutes choses caractérisant l’existence un contrat de travail.
  • Dans sa décision très attendue, la Haute juridiction contredit la solution retenue en appel. La Cour de cassation considère que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. A cette fin, elle applique les principes classiques en matière de reconnaissance de la qualité de salarié.
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  • La cour relève également que le livreur n’est lié par aucune clause d’exclusivité. Régisseur dans un petit théâtre parisien, celui-ci exerce même une seconde activité professionnelle. Aux yeux des juges d’appel, « cette liberté totale de travailler ou non (…) est exclusive d’une relation salariale ».
  • En tout cas, les décisions semblaient autant se fonder sur le degré d’autonomie du travailleur que sur les principes classiques de qualification d’un contrat de travail, qu’elles rappelaient malgré tout. Manière sans doute de prendre en compte la nouveauté de ces situations… La Cour de cassation ne l’entend pas ainsi. Pour elle, dès lors que les indices classiques de l’existence d’un lien de subordination sont présents, l’autonomie (réelle ou supposée selon les cas) des travailleurs du numérique n’est pas déterminante. Ce qui compte c’est l’existence, ou non, d’un pouvoir de direction et de contrôle, sur lequel s’appuie le pouvoir de sanction.
  • En tout cas, il n’est sans doute pas anodin que, dans la note explicative de l’arrêt, la Haute juridiction indique que les textes actuellement existants concernant les travailleurs des plateformes (pas applicables en l’espèce) ne comportent aucune réponse à la question. La Cour de cassation prend ainsi explicitement position pour dire que la loi Travail (9) ne pose pas de présomption d’indépendance vis-à-vis de ces travailleurs, mais seulement l’esquisse d’une responsabilité sociale des plateformes.
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    "Grande première : la Cour cassation vient d'analyser la relation liant un livreur à une plateforme ! Appliquant des principes très classiques à cette situation pourtant spécifique, la Haute juridiction a considéré que le livreur était bien lié à la plateforme par un contrat de travail. Selon la Cour de cassation, la plateforme disposait d'un pouvoir de direction, de contrôle et de sanction sur le livreur. Cass.soc.28.11.18, n°17-20079."
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