les entreprises commencent, selon M. d'Iribarne, à s'éloigner d'une optique exclusivement gestionnaire. "Elles comprennent qu'il faut réhabiliter des espaces qui ont longtemps été déclassés comme les restaurants d'entreprise, les cafétérias, les jardins, les agoras. Ces lieux de rencontre permettent de réinventer le puits ou le lavoir d'autrefois : ils créent des moments d'échanges privilégiés, riches et spontanés. C'est important, car si les gens ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, n'ont pas envie de travailler ensemble, le travail collectif ne fonctionne pas. Il faut restaurer la valeur du travail informel."