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"Le concept du Web FC est né dans l'esprit de Frédéric Gauquelin, un soir de mars 2000. Ce professeur d'EPS, fan d'informatique, a alors l'idée de développer un club de football dont les supporters décideraient de tout via un site Internet. Ces « entraînautes » pourraient choisir le contenu des entraînements, la formation utilisée pour les matchs et composer une équipe en chair et en short pour les gagner. « Tout ce qu'un coach peut faire dans un club normal », précise Frédéric Gauquelin quand il replonge dans ses souvenirs. Il s'associe alors avec Stéphane Lemarchand, ancien joueur professionnel passé par le stade Malherbe de Caen et « garant footballistique du système ». Deux ans après sa révélation, Frédéric Gauquelin crée le Web FC auprès de la Fédération française de football, dans le district du Calvados."

"A Paris, un groupe d'étudiants en design industriel a lancé la construction d'un skatepark à eux tout seuls… ou presque. Ils ont fait appel aux internautes de Kisskissbankbank, le site de financement participatif, pour mener à bien leur projet, Skate-O-Rama, dont l'inauguration est prévue pour le 1er août. En un mois, grâce aux dons récoltés (1 690 € par 85 donateurs) ces riders DIY ont monté, pièce par pièce, leur lieu de glisse à la Cité de la Mode et du Design (source : kisskissbankbank)"

"Oui, je travaillais comme ça. Je m'enfermais tout un week-end ou le soir après le bureau. Je jouais entre 30 et 50 heures par semaine. T'as déjà joué à Football Manager, tu vois comme c'est prenant, ça prend un temps fou. Je connais le jeu par cœur, j'y joue depuis 1996. Il est très proche de la vie réelle. En gros, quand j'arrivais au bureau, j'avais trois écrans. Sur le premier, j'allumais Football Manager. Sur le second, une page internet avec les outils de statistiques du club. Un enfin, un écran relié à un lecteur DVD pour visionner des vidéos. Mais oui, FM était toujours allumé."

"« La discipline est née quand les ricains ont commencé à balancer leurs vidéos sur Internet. Les gens confondent souvent avec la gymnastique, mais c'est très différent. Le street workout consiste à faire du muscle où tu veux, quand tu veux. »"

"Le sport informel a le vent en poupe », tel est le constat majeur d'une enquête du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC) publiée en 1994. Cette tendance a été confirmée par les enquêtes de l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP), du ministère des Sports (2002) et de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE, 2004), détaillant les effets d'âge, de genre et de territoire. Chez les jeunes, la pratique sportive auto-organisée de loisir est légèrement plus importante que le sport associatif encadré. Cette modalité d'organisation concerne davantage certaines activités physiques en milieu naturel, mais aussi et surtout en milieu urbain. Les études qualitatives (voir une synthèse dans Vieille Marchiset, Cretin, 2007) ont insisté sur les modes d'appropriation de l'espace urbain et sur les rapports au politique et à l'institutionnalisation, notamment la défense d'une démocratie directe par des groupes de circonstance institués (Vieille Marchiset, Cretin, 2007 ; Vieille Marchiset, 2010). Concernant les relations sociales créées et maintenues, les recherches francophones et surtout anglophones ont insisté sur leur ancrage dans des communautés dites « contre-culturelles » à l'image du skate (Borden, 2001). La réalité des groupements de sportifs auto-organisés dans la ville a aussi été rattachée à des groupes de circonstance, qui se font ou se défont au gré de la pratique. Pour autant, au vu du recours systématique aux technologies de l'information et de la communication dans la transmission des savoirs, des codes et des valeurs, il semblerait que les relations sociales se poursuivent au-delà des pratiques sur les réseaux sociaux, les blogs et les sites internet spécialisés (Cretin, 2007 ; Vieille Marchiset, 2010). Les sports auto-organisés juvéniles seraient ainsi le lieu de formation de nouve

"Cette tendance générale au gadget, au tout connecté, participe du succès actuel du running. Mais Laurent Boquillet, vice-président de la Fédération française d'athlétisme (FFA) et lui-même marathonien, tient à tempérer: "les nouvelles technologies sont des outils de motivation, qui ont rendu la pratique ludique. Le running est devenu branché, mais dans le fond, rien n'a changé". "

"The LegShocker is -although usefull in many of the game industry's agreeable products- most suitably designed for EA Sport's FIFA 2002 and FIFA World Cup 2002. The players, before putting on their football footwear, each slip into a hand-sewen shinpad and step onto a piece of professional lawn. With the controllers in their hands they face the first opponent between them and the screen. The ball. It's used to shoot. Yes, you know this. But you can also tackle others by kicking it… A human opponent wearing the LegShocker will probably not like it…."

"SwimIO2, c'est une application qui est faite pour fonctionner avec votre montre connectée Peeble, étanche jusqu'à 50 mètres. Les données sont accessibles après synchronisation via votre Smartphone (iOS et Android). Le coach électronique, qui se nomme Kevin Pacey (surement en hommage à l'acteur) fait vibrer votre montre quand vous approchez du but fixé pour votre entraînement. Quand vous allez trop vite ou pas assez, et quand vous pouvez vous accordez une période de repos. Beaucoup d'autre objets connectés mentionnés."

"Vous trouverez ici une liste non exhaustive de différents objets connectés pour le sport au sens large à destination du grand public. Ce travail n'a pas pour but de faire la promotion d'un produit en particulier mais de donner des exemples permettant de faire prendre conscience de la réalité et des enjeux autour de ce phénomène. Il s'agit ici d'objets qui sont déjà disponibles sur le marché ou qui sont opérationnels mais en recherche de financement (crowdfunding) pour être commercialisés (n'ont pas été retenu les objets pour lesquels la campagne de financement a déjà échoué)."

"Faute d'aller dans les salles et les stades, les adeptes se sont tournés vers les plateformes numériques : entraînements à distance, compétitions sans rassemblement mais avec un temps à battre malgré tout. Et le retour progressif des activités sportives ne devrait pas stopper cette nouvelle tendance."