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[pop-up] urbain

'#weareNOTgymnastics': parkour fights to retain its soul | Andy Bull | Sport | The Guar... - 0 views

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    Over at the Motus Projects, which makes and sells parkour streetware, it is flogging "Fuck the FIG" T-shirts. Online the parkour community has rallied around the hashtag #weareNOTgymnastics, while the national parkour federations of the UK, Australia, New Zealand and the United States, among others, have published open letters complaining about what the FIG is doing. Eugene Minogue, the chief executive of Parkour UK and the nascent international federation Parkour Earth, describes it as "the encroachment, misappropriation and the attempt to usurp parkour as a 'discipline' of gymnastics under the auspices of the FIG."
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Parkour : Rencontre avec ceux qui font de la ville un terrain de jeu (Vidéo) ... - 0 views

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    "Dans sa définition la plus pragmatique, le Parkour consiste à se rendre d'un point A à un point B de la manière la plus efficace possible. Ainsi, loin d'entretenir le sensationnalisme, le sport tend à la recherche du meilleur mouvement. Il est un art de se déplacer à part entière, aussi inné pour l'être humain que de marcher ou courir. "Le Parkour fait partie de toi. On en a tous déjà fait en étant jeune. Je ne vois pas pourquoi à un moment donné dans la vie on se dit, maintenant j'arrête parce que je suis un adulte" nous explique Thibaut. Thomas rajoute : "Ce que je recherche, c'est revenir à l'instinct naturel. Tout le monde devrait être capable d'en faire". A voir les sauts de mur à mur réceptionnés sur la pointe des pieds, et les cascades vertigineuses à plusieurs mètres du sol, on reste quand même un peu sceptique. "Le Parkour peut très bien se pratiquer à 1 ou 2 cm du sol. Un petit muret, une barrière, deux trottoirs et c'est bon. Il suffit juste d'utiliser son corps pour monter, grimper, sauter". "
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Le parkour : approche ethnographique de communautés juvéniles de loisirs dans... - 0 views

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    "Le sport informel a le vent en poupe », tel est le constat majeur d'une enquête du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (CREDOC) publiée en 1994. Cette tendance a été confirmée par les enquêtes de l'Institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP), du ministère des Sports (2002) et de l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE, 2004), détaillant les effets d'âge, de genre et de territoire. Chez les jeunes, la pratique sportive auto-organisée de loisir est légèrement plus importante que le sport associatif encadré. Cette modalité d'organisation concerne davantage certaines activités physiques en milieu naturel, mais aussi et surtout en milieu urbain. Les études qualitatives (voir une synthèse dans Vieille Marchiset, Cretin, 2007) ont insisté sur les modes d'appropriation de l'espace urbain et sur les rapports au politique et à l'institutionnalisation, notamment la défense d'une démocratie directe par des groupes de circonstance institués (Vieille Marchiset, Cretin, 2007 ; Vieille Marchiset, 2010). Concernant les relations sociales créées et maintenues, les recherches francophones et surtout anglophones ont insisté sur leur ancrage dans des communautés dites « contre-culturelles » à l'image du skate (Borden, 2001). La réalité des groupements de sportifs auto-organisés dans la ville a aussi été rattachée à des groupes de circonstance, qui se font ou se défont au gré de la pratique. Pour autant, au vu du recours systématique aux technologies de l'information et de la communication dans la transmission des savoirs, des codes et des valeurs, il semblerait que les relations sociales se poursuivent au-delà des pratiques sur les réseaux sociaux, les blogs et les sites internet spécialisés (Cretin, 2007 ; Vieille Marchiset, 2010). Les sports auto-organisés juvéniles seraient ainsi le lieu de formation de nouve
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Le parkour peut-il tracer sa route olympique? | Slate.fr - 0 views

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    "Après le basket 3x3, admis aux Jeux olympiques en 2020, au tour du parkour: ce sport urbain cherche également, non sans divisions, à se faire une place au soleil des JO. "
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GRATTE-CIEL - Expédition secrète en haut de la plus haute tour de Chine | Big... - 0 views

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    "Deux photographes russes et « ninjas urbains » autoproclamés ont escaladé secrètement la Tour Shanghaï, gratte-ciel en construction qui domine la ville à 650 mètres de hauteur, deuxième plus haute tour du monde après la Burj Khalifa de Dubaï (820 mètres). Lors d'une expédition en Chine retranscrite sur le site du Wall Street Journal, Vitali Raskalov et Vadim Makhorov se sont rendus au pied de la tour, caméra à la main, dans le but de filmer leur exploit. Pour réussir leur coup, ces deux mordus d'escalade urbaine expliquent sur leur blog avoir attendu le 31 janvier, Nouvel An chinois et jour férié, avec donc moins de sécurité, peu d'ouvriers, et des grues hors-service."
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Portrait sportif d'une métropole | Demain la Ville - 0 views

  • Il suffit de mettre un pied dehors pour s’en rendre compte : depuis quelques années, le sport a colonisé la rue. Des joggeurs aux skateurs en passant par les adeptes de la marche nordique et du parkour, les citadins ont fait de la pratique sportive leur loisir de plein air favori. Fini le temps où il fallait forcément aller au stade ou s’enfermer dans des salles moites pour suer.
  • Le sport comme laboratoire
  • « Le sport est un laboratoire privilégié pour réfléchir aux évolutions de la ville contemporaine », écrit Thierry Mandoul, pour qui la pratique sportive est un « outil de création urbaine », de par « sa capacité à organiser et mettre en avant des situations où l’espace produit est à la fois un vecteur d’usages et une fin en soi. »
  • ...3 more annotations...
  • Des hippodromes aux skateparks L’histoire du sport à Paris démarre au milieu du XIXe siècle, avec la construction des premiers stades, gymnases et piscines. Vient ensuite le temps des hippodromes et des vélodromes, très prisés à la fin du siècle.
  • Invention d’une ville mixte Si l’exposition revient en images sur l’histoire de enceintes les plus fameuses de Paris et sa banlieue (Parc des Princes, Roland-Garros, Stade de France, etc.), son grand mérite est de nous faire (re)découvrir des projets trop vite oubliés, dont certains ne manquaient pourtant pas de panache. C’est le cas, par exemple, du projet de Grand Stade (100 000 places) imaginé en 1936 par Le Corbusier. Censé prendre place dans le Bois de Vincennes, cette arène en demi-cercle était creusée dans le sol, telle une mine à ciel ouvert… Il fallait oser ! Autre enceinte improbable, celle conçue par Bernard Tschumi suite à l’appel à projets lancé en 1989 pour la construction de la Bibliothèque Nationale de France (BNF). L’architecte franco-suisse souhaitait combiner l’espace culturel avec… une piste d’athlétisme. Un « évènement architectural » qui n’a jamais vu le jour,
  • Sport en Ile-de-France : les chiffres clés 28 000 équipements sportifs recensés dans toute la région (dont 2 688 à Paris) 459 : nombre de courts de tennis à Paris 126 hectares : espace occupé par les équipements sportifs autour du périphérique, soit 95% de l’offre d’activités sportives en plein air à Paris. 100 000 emplois liés au sport en Ile-de-France 2,3 millions de licenciés, soit 20 licenciés pour 100 habitants 62% des Franciliens âgés de 15 ans et plus font du sport au moins une fois par semaine
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    "L'exposition « Sports, portrait d'une métropole », à découvrir jusqu'au 31 août 2014 au Pavillon de l'Arsenal, à Paris, retrace l'histoire de la capitale à travers celle de ses enceintes et de ses pratiques sportives."
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