SoftPlace

"Avec ou sans l'aide d'un mécanicien, une soixantaine de garages en France proposent à leurs clients de réparer ou d'entretenir eux-mêmes leur véhicule afin de faire des économies."

"Est-ce un nouveau modèle d'organisation des labs? Plus de deux ans après sa création, le LabFab de Rennes défend le Lab étendu. Son co-fondateur Hugues Aubin explique comment co-construire la Fab City sur 40 communes de la métropole rennaise."

"Les fablabs, hackerspaces, livinglabs, biohacklabs et même museumlabs fleurissent sur tous les territoires et semblent remettre en cause profondément la façon dont les projets émergent et dont les gens travaillent ensemble. De façon apparemment contradictoire, l'autonomie et le travail collaboratif sont mis en avant dans chacune de ces initiatives."

"C'est tout naturellement qu'est née l'idée du café-restaurant sur le mode associatif comme prolongement de la convivialité. Lieu de rencontres intergénérationnelles donc, sorte de plateforme expérimentale et éducative (sur la nutrition notamment), il sera élaboré avec l'aide et la complicité active des habitants (en complémentarité avec le pôle cuisine du Centre d'animation et en clin d'œil à l'histoire du site, ancien lycée hôtelier). Par le développement de relations avec différentes structures (Pôle emploi ou Cité des métiers) il deviendra un « Bon coin » de proximité, lieu d'activités, d'échanges d'idées et de compétences, instrument indispensable et concret de la cohésion sociale locale et du mieux vivre ensemble"

En 2013 le succès de "Spot Mairie" n'était apparemment pas au rende-vous.

LaVille de Nice et la Métropole Nice Côte d'Azur expérimentent actuellement Spot Mairie, un lieu / module permettant aux citoyens de faire leurs démarches administratives en ligne, accompagné par un téléconseiller, le tout depuis un centre commercial ou un autre lieu. Si l'expérimentation est concluante, les collectivités pourront envisager de déployer d'autres cabines Spot Mairie et d'élargir la gamme de services disponibles.

"Que reste-t-il de Motor City, de la flamme Motown, de la fièvre techno ? Une ville fantôme déclarée en faillite où résiste encore le rêve américain. Ateliers d'artistes, potagers communautaires, start-up philanthropiques… Incitation à l'optimisme."

"Mercredi 11 mars, l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) a publié un inventaire des commerces et son évolution sur trois ans à Paris [PDF], parsemé de jolies cartes avec plein de jolis points colorés. En surface, rien de bien passionnant : le nombre de commerces et services commerciaux a légèrement augmenté ; il y en aurait un peu plus de 62 000 dans la capitale. (...) mais l'e-commerce, dont les résultats croissent à un « rythme soutenu », pour ne pas dire insolent."

"Si nous désirons sauver le musée, peut-être devrions nous choisir la ruine publique contre la rentabilité privée. Et si cela n'est pas possible, peut-être le temps est-il venu d'occuper collectivement le musée, le vider de ses dettes et y monter des barricades de sens. Y éteindre les lumières pour que, sans aucune possibilité de spectacle, il puisse fonctionner comme le parlement d'une autre sensibilité."

Et si après avoir créé les tiers-lieux, le digital était en train de tuer cette notion en la vidant de son sens ? Ou dit autrement :  et si tout lieu était, aujourd'hui, devenu un tiers-lieu ? et si en étant partout, les tiers-lieux étaient nulle part ?

"86% des contacts entre les clients et leurs banques s'effectuent d'ores et déjà via le numérique", comment les agences bancaires vont-elles évoluer, quelles formes auront-elles demain ?

La banque polonaise Idea Bank a lancé un café qui reprend les codes du co-working avec une offre de services destinée aux entrepreneurs (outils de facturation et un coffre-fort virtuel). Ce café est destiné aux petites et moyennes entreprises cibles privilégiées de la banque.

"La réponse est oui pour 85 % des Français, estimant qu'une ville dotée d'un café est plus attractive qu'une autre qui en est dépourvue. D'autant plus que 48% vont même jusqu'à déclarer qu'en cas de déménagement à la campagne, la présence d'un café serait un critère déterminant dans leur choix. Malheureusement, la réalité est telle que ces lieux incontournables de convivialité ont tendance à disparaître. D'après un sondage Ifop de novembre 2014, 1 maire sur 4 a vécu la fermeture du dernier café de sa commune, ce qui met en danger non seulement les rencontres autour d'un comptoir, mais aussi l'attractivité des communes rurales"

Le collectif Babylone lance un appel à participation à son projet le CUBE dans l'Est Parisien. Cet espace d'expérimentation se base sur trois formes: un Laboratoire d'agriculture urbaine, une ressourcerie et un café. Le projet s'appuie notamment sur le programme de budget participatif de la ville de Paris pour se lancer.

Le café sauvage est un lieu d'accueil associatif, participatif et "sauvage" qui a ouvert ses portes au début de l'année 2015. C'est un lieu ouvert et partagé où on peut venir y boire des boissons "bio", ou issues de producteurs locaux, assister à des concerts, proposer des projets ou venir donner un coup de main pour le fonctionnement de cet espace.

Le café sauvage est un lieu d'accueil associatif, participatif et "sauvage" qui a ouvert ses portes au début de l'année 2015. C'est un lieu ouvert et partagé où on peut venir y boire des boissons "bio", ou issues de producteurs locaux, assister à des concerts, proposer des projets ou venir donner un coup de main pour le fonctionnement de cet espace.

La mutation du modèle barcelonais en ville créative s'appuie sur l'implantation d'une dizaine de fablab et implique selon son auteur, Raphaël Besson, un nouveau droit à la ville. Cet article est un retour sur la genèse du projet et des modifications induites pour les systèmes locaux.

CoworkCrèche, c'est un local unique de 300 m2 en plein coeur de Paris, tout près de Bastille, qui offrira aux jeunes parents actifs un espace de travail lié à une crèche associative.