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47 000 étudiants étaient inscrits en Pass ou en LAS 1 et 2 en 2021-2022, selon une note d'information du Sies, publiée le 15 décembre 2022. Le taux de passage en un an des néobacheliers atteint 25 % à la session 2021, "soit 6 points de plus que pour la cohorte précédente des inscrits", issus de la Paces, qui a disparu à la rentrée 2020. Les néobacheliers inscrits en Pass sont ceux qui réussissent le mieux, avec un taux de passage qui s'élève à 28 %. Si le taux de réussite est plus élevé que dans l'ancien système, la réforme n'a pour l'instant pas permis une réelle diversification des profils. Source : SIES MESR

"L'Apec publie un recueil d'informations statistiques sur les salaires des cadres en poste. 111 familles de métiers sont présentées. Pour chaque famille, une liste des métiers correspondants est également proposée, avec une description complète accessible sur le site apec.fr" Source : APEC

"Parmi les 48 000 étudiants diplômés de DUT en 2019, moins d'un sur dix n'a pas poursuivi ou repris des études dans les 30 mois suivants. Parmi eux, plus de neuf sur dix occupent un emploi au 1er décembre 2021." Source : enseignementsup-recherche.gouv.fr

Les diplômés de DUT en 2019 ont un taux d'insertion professionnelle à 30 mois quasi égal à celui de la promotion 2017 (+1 point), malgré un taux d'insertion à 18 mois, en décembre 2020, en baisse de 4 points, indique une Note Flash du Sies le 8 décembre 2022. Le taux d'insertion à 30 mois des diplômés de DUT en 2019 atteint ainsi 91 % en 2021. Mais la reprise de l'insertion professionnelle en 2021 s'est faite "au détriment de la qualification des emplois". Quant au taux de poursuite d'études dans les 30 mois après la diplomation (91 %), il reste inchangé entre les diplômés de 2017 et 2019 Source : SIES MESR

"En 2021, la formation continue dans l'enseignement supérieur public sous tutelle du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche génère un chiffre d'affaires de 472 millions d'euros et concerne 324 000 stagiaires." Source : MESR

"Le Livre blanc part du constat que le travail social n'a jamais connu une crise d'attractivité aussi intense dans son histoire : difficultés sérieuses de recrutement, turn-over, désaffection des jeunes générations pour les formations. Cette dégradation est une alerte sur la situation d'état d'urgence qui touche le secteur. Elle engendre également une baisse de la qualité des accompagnements et du service rendu à la population. Passant des constats aux propositions, le Livre blanc promeut une revalorisation significative des métiers avec des actes de reconnaissance et des mesures qui redonnent du sens et un projet au travail social en faveur des personnes accompagnées." Source : | Ministère des Solidarités et des Familles et Haut conseil du travail social