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"Alors que Donald Trump et ses alliés s'efforcent de donner une bonne image de l'État hébreu et de lui accorder une place centrale dans les relations internationales, ce pays multiplie les provocations envers son voisin, le Liban, dans une logique guerrière. Pour Netanyahu, en poste depuis 2009, la guerre est le meilleur moyen de se maintenir au pouvoir. Le premier ministre israélien, de plus en plus contesté par ses propres concitoyens, joue son avenir politique et même son avenir tout court car sa fonction lui évite d'être jugé dans plusieurs affaires [1]"

"Alors que le conflit au Moyen-Orient s'enlise, Lucie Castets et Bertrand Badie appellent les dirigeants français à « ouvrir les yeux sur la réalité du pouvoir israélien actuel ». Proposant plusieurs mesures diplomatiques, ils militent pour une dénonciation des crimes commis en Palestine et au Liban"

"Le 8 mai, M. Trump annonçait le retrait américain de l'accord nucléaire avec l'Iran. Le 9 mai, M. Netanyahou était à Moscou pour les fêtes commémoratives de l'armistice de 1945. Dans la nuit du 9 au 10, les Israéliens procédaient à une frappe massive sur des positions iraniennes en Syrie en riposte à une attaque d'une vingtaine de missiles sur le Golan. Ajoutons à cela que des élections générales ont eu lieu au Liban le 6 mai et en Irak le 13 tandis que l'ambassade américaine à Jérusalem était inaugurée le 14 mai. Ce même jour, à la veille du 15 mai, anniversaire des 70 ans d'Israël mais aussi de la Nakba (la "catastrophe" pour les Palestiniens), une cinquantaine de militants palestiniens trouvaient la mort sous des balles israéliennes à Gaza."

"Le philosophe, né au Liban, vient de recevoir le prix Fémina pour son essai Tenir Tête. Un texte écrit en écho à la recrudescence de l'antisémitisme depuis un an. Il s'est entretenu avec Elisabeth Quin, à propos de ce livre."

"Des responsables chrétiens et musulmans libanais se sont réunis jeudi 14 décembre au Patriarcat maronite pour adopter une position commune à la suite de la décision de Donald Trump, de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël."

"Fratelli Tutti (Tous frères), l'encyclique du pape François, rendue publique dimanche 4 octobre, résonne de puissants accents sociaux. « La Croix » donne la parole à cinq personnalités qui, dans leurs domaines respectifs, ont expérimenté l'amitié sociale que le pape appelle de ses vœux."