Toward a network hospitality - First Monday - 0 views
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La popularité croissante des réseaux et plateformes proposant une nouvelle forme d'hospitalité, tels Couchsurfing ou Airbnb semblent signifier un nouveau paradigme de sociabilités, dans laquelle les médias et les nouvelles technologies jouent un rôle pré-pondérant. Cet article introduit la notion de "network hospitality" (hospitalité en réseau) pour décrire ces nouvelles formes sociales qui émergent autour de réseaux sociaux mobiles, de de pair à pair et online autant qu'off-line ; il explique comment cette hospitalité en réseau joue un rôle essentiel aujourd'hui dans la façon dont les gens "font communauté" en ligne et hors ligne. Une hospitalité en réseau qui va de pair avec différentes tendances socio-techniques, telles la consommation collaborative, la culture pop-up, etc.
Revues.org - La consommation collaborative, le versant encore équivoque de l'... - 4 views
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La consommation collaborative a le vent en poupe ; elle peut être définie comme le versant "consommatoire" de l'économie de la fonctionnalité, son extension naturelle dans le domaine tu BtoC ou du C2C. Mais quelles sont leurs interrelations ? Comment la consommation collaborative peut-elle contribuer à l'économie de fonctionnalité (et d'ailleurs, le peut-elle?) dans une logique de durabilité ? Cet article de recherche souligne aussi la dualité du consommateur, qui s'engage dans de nouvelles pratiques "hors système" tout en restant dans le système marchand. Sans doute, la consommation collaborative doit-elle interroger plus qu'elle ne le fait aujourd'hui la dimension politique de la consommation, tout en s'articulant mieux avec l'économie de fonctionnalité, pour être véritablement soutenable.
100 sites de consommation collaborative | - 1 views
1 | The Collaborative Economy Is Exploding, And Brands That Ignore It Are Out Of Luck |... - 1 views
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Some other big takeaways from the report: Most people share because of convenience and price, not an overwhelming desire to live sustainably. Still, they associate qualities like sustainability and community with sharing services more than they do with retail stores. Urban centers are more likely to contain people who have borrowed or lent vehicles and money, but this may be partially because cities have more 18 to 34 year olds compared to suburban and rural areas. The "neo-sharing" population could double over the next year, since there are nearly equal numbers of both recent and prospective sharers in all neo-sharing categories (transportation, money, etc.). Neo-sharers are slightly less likely likely to own a home or be married, but are more likely to have kids. They're also a bit more progressive than the general population (39% of neo-sharers in the U.S. are Democrat, compared to 34% of non-sharers and 29% of re-sharers). More than 90% of sharers surveyed said they would recommend the service they most recently used.
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Breather, Like Zipcar For Workspaces, Launches In NYC | Fast Company - 0 views
Pourquoi Paris s'en prend aux propriétaires qui louent aux touristes - Challe... - 1 views
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Et oui, les investissements spéculatifs font s'envoler l'offre locative très lucrative que permet la location de courte durée type AirBNB... Au détriment du parc de logement et de location de longue durée... D'où le besoin de réguler !
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Et oui, les investissements spéculatifs font s'envoler l'offre locative très lucrative que permet la location de courte durée type AirBNB... Au détriment du parc de logement et de location de longue durée... D'où le besoin de réguler !
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"Adjoint au maire en charge du logement, Jean-Yves Mano prévient ceux qui utilisent les sites spécialisés comme Airbnb que la ville de Paris va se montrer implacable."
Founders of FoodCloud have broken new ground in the redistribution of surplus food - Bu... - 1 views
Le tourisme partagé, une nouvelle filière ? - OuiShare - 0 views
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La consommation collaborative commence sous plusieurs formes à conquérir le coeur des Français. Et si elle est souvent perçue comme une solution anticrise, elle est aussi une alternative moins désincarnée que les modes de consommation traditionnels. Surtout, propulsée par les possibilité qu'offre Internet, elle pourrait bien remettre en question des pans entiers de l'économie traditionnelle. Le tourisme est un des secteurs qui pourrait bien se voir bouleverser. "
Racial Discrimination In The Sharing Economy - Forbes - 0 views
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Un nouveau papier de la Harvard Business School montre comment certaines places de marché en ligne de l'économie collaborative - du type AirBnB - peuvent involontairement conduire à des discriminations raciales à l'encontre des offreurs. Le problèmes ? L'ubiquité des photos de profil, le design de la plateforme et le cadre de confiance qu'elle instaure.
Frustrée, la jeunesse française rêve d'en découdre - Le Monde - 1 views
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"L'autoportrait est sombre. Amenés à définir leur génération, ce sont les mots « sacrifiée » ou « perdue » qui leur viennent le plus souvent à l'esprit. A l'automne 2013, les jeunes de 18 à 34 ans étaient conviés par France Télévisions à répondre à un long questionnaire en ligne sur eux-mêmes et leur génération. 210 000 se sont pris au jeu de cette opération « Génération quoi ? ». Leurs 21 millions de réponses fournissent un matériau de recherche exceptionnel pour les deux sociologues de la jeunesse Cécile Van de Velde et Camille Peugny, maîtres de conférences respectivement à l'EHESS et à l'université Paris-VIII, qui ont contribué à concevoir le questionnaire. Ils en tirent aujourd'hui pour Le Monde les principaux enseignements, en se focalisant sur la tranche d'âge des 18-25 ans, centrale pour l'analyse."
The Tyee - Finding Hope in the 'Sharing Economy' - 0 views
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Et si la "génération Y" était en train de faire évoluer notre compréhension des crises planétaires et de l'autre, via l'économie du partage ? Les pratiques, les valeurs semblent aller vers moins de possession ; mais les externalités positives - dont l'impact environnemental - de ces nouvelles pratiques n'est pas pour autant facile à mesurer, et les incertitudes sont encore nombreuses : des solutions pour un futur plus durable pour notre planète, et sortir de crises (notamment environnementale), ou de nouvelles difficultés sociales ?
Top 10 Things a City Can Do To Become a Shareable City - Collaborative ConsumptionColla... - 1 views
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Le site Shareable poursuit sa réflexion sur les "Villes en partage", les "SharEable Cities", en proposant des pistes d'action (politiques, économiques, urbaines,...) pour les villes qui souhaiteraient s'engager sur cette voie : Créer des "cellules" ou services dédiés à établir une stratégie de l'économie collaborative sur le territoire, cartographier les actifs de la ville sous-utilisés, réfléchir et lancer des actions pour promouvoir la création de plateformes, pour créer un terreau favorable à l'émergence de telles initiatives, investir différemment dans l'écosystème de l'économie collaborative...
Une ville verte au pays des gueules noires - Page 1 | Mediapart - 2 views
You're not fooling us, Uber! 8 reasons why the "sharing economy" is all about corporate... - 2 views
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Malgré les avantages de la consommation collaborative, elle se prête à un certain nombre de critiques ; parmi celles-ci, cet article liste 8 raisons pour lesquelles "l'économie du partage" n'est finalement qu'une couverture pour l'appétit toujours plus important de la Silicon Valley : des lobbys qui s'organisent, à l'importance mineure du "partage" pour les investisseurs, en passant par la fraude fiscale... la consommation collaborative cristallise décidément les avis contraires.
Drôle de monnaies, une ethnographie des monnaies locales - Ethnography Matters - 3 views
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L'ethnographe Mario Campana s'est intéressé aux monnaies complémentaires, et notamment à celle de Brixton en Grande-Bretagne. Si la plupart des travaux mettent en avant l'impact positif de ces systèmes sur la communauté locale (favorisant la résilience, la cohésion sociale...), le chercheur pointe les différences de perception de cette monnaie. Alors que les émetteurs, les initiateurs de cette monnaie la voit avec une forte composante idéologique, les utilisateurs sont plus pragmatiques. Ceux-ci sont surtout de jeunes professionnels de la classe moyenne bien éduqués et disposant de bons revenus et l'utilisent pour son côté pratique et économique (la monnaie de Brixton est disponible au format électronique et payer avec permet d'avoir une réduction de 10%), donc assez hédoniste. Quant aux entreprises qui acceptent cette monnaie, on se rend compte qu'elle marche mieux dans les pubs et restaurants que pour acheter de la viande ou des légumes locaux, mais montre un certain engagement idéologique avec les créateurs. Enfin, la plupart de la communauté locale rejette cette monnaie considérée comme un gadget qui appartient à la nouvelle communauté gentrifiée de Brixton. Pour Campana, la monnaie locale reproduit un discours de pouvoir local.
Vivre sans argent en France, pas si difficile que ça - Le nouvel Observateur - 2 views
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Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
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Le projet Eotopia de Benjamin Lesage... http://www.eotopia.org Vivre sans argent en communauté...
Arrêtons avec l'«économie du partage» | Slate.fr - 4 views
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Bien que j'aime beaucoup des entreprises qui tombent sous cette appellation, je suis de plus en plus agacé par le terme d' «économie du partage» [«sharing economy» ], qui est utilisé comme raccourci pour catégoriser un éventail assez divers d'entreprises, dont pratiquement aucune n'implique sérieusement le partage. Dans ces circonstances, j'ai été heureux de voir la présentation de Rachel Botsman sur le fait que l'économie du partage manque d'une définition partagée , dans laquelle elle tente de sauver le concept en adoptant une typologie plus fine.
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L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
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L'économie du partage manque d'une définition partagée, expliquait déjà Rachel Botsman, en tantant de préciser la définition : http://www.fastcoexist.com/3022028/the-sharing-economy-lacks-a-shared-definition . Pour Matthew Yglesias, cela ne sert à rien. On ne devrait pas parler d'une économie de partage, quand, pour l'essentiel, elle propose surtout des location de court-terme ou de la vente ou de la location de biens usagés. "Mon voisin et moi partageons une pelle à neige parce que nous partageons des escaliers qui doivent être déblayés quand il neige, et nous partageons la responsabilité du travail à faire. Si j'étais propriétaire des escaliers et que je lui facturais une petite somme à chaque fois qu'il entre ou sort de la maison, ce serait l'inverse du partage."
Etes-vous prêt à partager votre frigo? | Slate.fr - 1 views
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"Un tiers de la production alimentaire mondiale destinée aux hommes termine à la poubelle. En 2013, on a beaucoup entendu ce chiffre impressionnant et beaucoup parlé de lutte contre le gaspillage alimentaire, devenue grande cause nationale et internationale. Plein de solutions ont été évoquées, comme mieux réfléchir avant de faire les courses, apprendre l'art subtil de cuisiner les restes, participer à des «Disco Soupe»… Selon Manon Carre, l'une des fondatrice de l'association Partage ton frigo, «il y a beaucoup sensibilisation, mais peu de solutions»"
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1/3 de la production alimentaire mondiale termine à la poubelle. Pour Manon Carre de Partage ton frigo - http://www.partagetonfrigo.fr - des solutions existent pour partager les contenus de nos frigos, voire même imaginer développer des frigos communs dans les hall d'immeubles. Reste à partager les dates de péremption. Pas si simple dans la pratique malgré tout.
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1/3 de la production alimentaire mondiale termine à la poubelle. Pour Manon Carre de Partage ton frigo - http://www.partagetonfrigo.fr - des solutions existent pour partager les contenus de nos frigos, voire même imaginer développer des frigos communs dans les hall d'immeubles. Reste à partager les dates de péremption. Pas si simple dans la pratique malgré tout.
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