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Veronique Routin

Ne prenons pas (tous) les scouts numériques de l'économie collaborative pour ... - 3 views

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    Interrogation autour du partage, sharing dans économie collaborative : - s'appuie sur les utilisateurs : la multitude (Colln Verdier,) le travail du consommateur (Marie-Anne Dujarier), la pollinisation de l'économie (Yann Moulier-Boutang), - se fonde sur une désintermédiation là où ces sociétés via des plateformes sont de nouveaux intermédiaires - s'inspire du mode de travail open source -
marinealbarede

Qui sommes-nous ? | 123envoiture.com | iDVROOM - 1 views

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    La SNCF lance sa plateforme de covoiturage, IdVroom.
hubert guillaud

La montée de l'anti-capitalisme - NYTimes.com - 3 views

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    Nous commençons a assister à un paradoxe au coeur du capitalisme, estime Jeremy Rifkin, le dynamisme inhérent aux marchés concurrentiels fait que de nombreux biens et services parviennent à un coût si bas, qu'ils n'y sont plus soumis. Si les économistes ont toujours évoqué la réduction du coût marginal, ils n'ont jamais envisagé qu'une révolution technologique pourrait les faire tomber à zéro. Depuis Napster, le numérique est venu considérablement perturber les industries culturelles et s'attaque désormais à l'énergie, la fabrication, l'éducation... Le phénomène est sur le point d'affecter l'ensemble de l'économie estime Rifkin. Que se passera-t-il quand nous pourrons produire des biens et des services pour presque rien ? Les biens communs, la collaboration, l'accès, la participation de tous inaugure une nouvelle économie de partage et l'internet des objets est la plateforme qui permet au bien commun de se développer aux côté du marché capitaliste, estime Rifkin. De nombreux économistes estiment que le secteur sans but lucratif n'est pas une force économique autonome, mais un parasite. Reste qu'il est aujourd'hui un moteur puissant de nos économies et qu'il dessine un avenir pour le partage des biens communs mondiaux.
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    Le système capitaliste (à part dans le titre, il ne parle finalement pas de capital'isme') comme simple « aggrégateur de service »; j'avoue n'être pas sûre qu'il s'agisse, au premier degré, d'une prospective, ou bien d'un stratagème argumentaire destiné à neutraliser la dimension idéologique du sujet (exacerbée dans le titre). On retrouve souvent ce type de décentrement rhétorique chez Rifkin. Il joue avec habileté de sa double posture d'augure, volontiers sybillin, et de protagoniste actif, disposant d'une influence sur les hauts cercles de la décision. Je parle en simple lecteur, il y a sans doute bien plus spécialistes aux alentours!
marinealbarede

Berlin 'borrowing shop' promotes the benefits of sharing | World news | theguardian.com - 1 views

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    Leila, une "librairie" pour les objets implantée à Berlin a si bien marché, que de tels projets ont essaimé ailleurs en Allemagne. Avec une vision locale, ancrée dans le territoire du partage, contrairement aux grandes plateformes, et centrée sur le "partage", plus que l'économie.
marinealbarede

Franchise redux: The professionalization of the sharing economy has deep implications -... - 1 views

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    Comment le développement de certaines plateformes de la consommation collaborative (Uber, AirBnb,..) et de leurs utilisateurs reprennent des éléments classiques des franchises pour les renouveler.
marinealbarede

Airbnb : la justice française a condamné son premier utilisateur pour une sou... - 2 views

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    Alors qu'AirBnb continue son développement, c'est une première en France. Jamais un locataire français n'avait été condamné pour avoir sous-loué son appartement via Airbnb, c'est aujourd'hui chose faite, alors qu'à NY, la plateforme devra bien livrer les données de ses utilisateurs au Procureur.
marinealbarede

The collaborative economy is for everyone - OuiShare - 1 views

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    Et si malgré toutes les aspects critiquables des grosses plateformes de la consommation collaborative, qui grossissent toujours plus, il fallait en passer par là vous voir émerger d'autres modèles ? (coopératifs, etc.)
marinealbarede

For Airbnb and Uber, an Uneven Response by Regulators - NYTimes.com - 0 views

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    L'économie du partage, les grandes plateformes internationales doivent composer avec une ensemble de lois et de régulations diverses en Europe, spécifiques à chaque pays dans lequel ils opèrent, nécessitant pour eux de fonctionner de façon spécifique dans chaque contexte.
marinealbarede

Travis Kalanick, l'homme qui veut tuer l'industrie du taxi | Silicon 2.0 - LeMonde - 2 views

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    Portrait de Travis Kalanick, le fondateur d'Uber, et enjeux du développement de la plateforme, jusqu'à se diversifier vers de la logistique....
pierremallet

Collaborer entre acteurs de la consoCo : ils l'ont fait ! | - 2 views

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    "Ces entreprises travaillent toutes les trois sur des secteurs d'activités différents mais elles ont toutes la même ambition: satisfaire leurs clients et répondre à un besoin croissant. En effet, les consommateurs veulent consommer mieux et malin ! L'objectif est donc simple : proposer un complément de service à leurs utilisateurs. En s'alliant, Samboat et JeLoueMonCampingCar proposent désormais une solution d'hivernage aux propriétaires inscrits sur leur plateforme, grâce aux services de JeStocke. "
marinealbarede

Les pratiques "co" ont le vent en poupe ! - Presse Ademe - 1 views

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    "Se mettre en contact directement entre particuliers pour acheter, vendre, louer, échanger… sans passer pas les intermédiaires traditionnels, c'est ce qu'on appelle des pratiques « collaboratives ». Entre la colocation, le covoiturage, l'achat de biens, la location de logements via des plateformes en ligne, le succès des pratiques « co » est croissant." Ispos a réalisé pour l'Ademe un état des lieux de l'économie collaborative aujourd'hui, durant l'été 2014.
pierremallet

2015 sera collaboratif - DANS LE MONDE - l'ADN - 8 views

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    "En conclusion, et pour 2015, Jeremiah Owyang prédit cinq tendances : - Les start-up vont investir massivement chacun des secteurs du Honeycomb. Ce sont les investissements et la réalisation des projets qui permettra d'ériger certaines initiatives en réelles opportunités, - Les plateformes déjà matures vont développer leurs APIs, - Un débat global sur la sécurité des utilisateurs, la protection et le partage des données en lieu est inévitable, - Les utilisateurs réclameront que les start-up partagent la valeur avec eux - Les gouvernements et grandes entreprises prendront conscience qu'ils doivent adopter le modèle collaboratif, popularisant le mouvement"
marinealbarede

BlaBlaCar avale le covoiturage local, c'est grave ? - Rue89 - L'Obs - 0 views

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    "Le leader du covoiturage a brusquement fusionné des plateformes locales avec son propre site. De quoi être accusé de « faire rimer économie collaborative avec ultralibéralisme, dents longues et business agressif ». Pour certains, une simple stratégie économique, pour d'autres, une opportunité d'améliorer réellement un système.
marinealbarede

ShareVoisins : « J'ai rencontré mon voisin de palier sur Internet » - Rue89 -... - 0 views

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    Zoom sur quelques tranches de vie des utilisateurs de la plateforme de partage de proximité ShaREvoisins.
marinealbarede

Un chantier participatif c'est quoi ? - Twiza Réseau - Les chantiers particip... - 0 views

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    Dans le sillon de la consommation collaborative, certaines formes participatives sont renouvelées : Twiza est ainsi une "plateforme communautaire de chantiers participatifs", permettant d'autoconstruire ou de co-construire de l'habitat.
marinealbarede

Start-up collaboratives vs municipalités: le choc des cultures - Dossiers - T... - 1 views

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    Le Groupe Chronos s'intéresse dans cet article aux liens entre les collectivités et l'économie collaborative : de l'irruption inattendue des plateformes de la consommation collaborative au sein des villes, à leur positionnement comme acteur urbain, en mettant parfois en avant la valeur économique générée sur le territoire… Face à ces acteurs, le positionnement des collectivités évolue, passant parfois de l'opposition à des formes de coopération, décidant de saisir les opportunités que ces nouveaux services font émerger.
Aurialie Jublin

[Dossier] Le barter, nouvel enjeu de l'économie collaborative entre professio... - 2 views

  • Version moderne du ‘troc” dépoussiéré et remis au goût du jour par des plateforme online type réseaux sociaux BtoB, ce mode de commerce peu connu et pratiqué en hexagone à l’instar des pays anglosaxons n’en est pas moins efficace dans le contexte économique actuel… Il permet aux entreprises d’utiliser leurs actifs inutilisés, leurs stocks ou capacités disponibles comme mode de paiement.
  • Le Barter a pour vocation de rester un mode de commerce alternatif qui arrive en complément des rapports commerciaux classiques permettant des rentrées d’argent pour financer les postes de dépenses difficilement échangeables (principalement loyers et salaires) dans l’entreprise. Une des règles aux USA et Canada, pays dans lesquels les échanges se comptabilisent en milliards chaque année entre les acteurs économiques, est de dire qu’une entreprise ne doit pas dépasser 20% de son CA en Barter. En France, l’échange est voué à jouer un rôle de plus en plus important car il soulage les entreprises sur des besoins ponctuels (séminaires, mobilier de bureau ou matériel informatique, cabinet de recrutement, appli mobile ) comme structurels (expertise comptable, publicité, transport, nettoyage… ) tout en permettant à celles-ci la conquête de nouveaux clients.
    • Aurialie Jublin
       
      Les 8 règles d'or des échanges interentreprises :  - adopter un esprit coopératif - analyser ses besoins autant que ses offres - échanger à titre complémentaire et non principal - ne pas devenir dépendant des échanges pour le processus de création de valeur de l'entreprise - éviter de créer sa propre concurrence - préserver les actifs stratégiques - compenser pour revenir à l'équilibre rapidement - échanger au bon prix
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    "Créée en 2010, b2b EN-TRADE, est la 1ère Bourse aux échanges inter-entreprises online avec aujourd'hui plus de 1800 entreprises référencées de manière confidentielle et qui publient leurs offres (geolocalisées) et leurs besoins. Des algorithmes de "matching" et un service de courtage assurent les mises en relation et leurs suivis."
Jacques-Francois Marchandise

La France au miroir du "Bon Coin" - 0 views

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    Les nouvelles pratiques de consommation au travers du Bon Coint
hubert guillaud

Le piège de la consommation collaborative - Medium - 0 views

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    Le piège de la consommation collaborative : que se passera-t-il quand nous partagerons tous nos vêtements pour de revenus tout juste suffisants ? Le risque de dépendance de ces services et plateformes pour un revenu tout juste suffisant, une des principales tensions de la consommation collaborative?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
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    Qu'advient-il de notre sécurité financière quand nous louons nos canapés, nos voitures ou nos maisons ? interroge Mark Egerman. Dans "Le piège du double revenu", Elizabeth Warren et Amelia Tyagi, décrivent comment les familles de la classe moyenne deviennent plus vulnérables financièrement quand les deux parents travaillent. Certes, ils ont plus de revenus, mais ils demeurent en concurrence sur les mêmes ressources limitées (maisons, garde des enfants...) ce qui fait monter les prix, les coûts jusqu'à finir par consommer le revenu supplémentaire généré. Au final les familles avec deux revenus avec moins de revenus de garde dans les années 2000, que les familles où un seul parent travaillait dans les années 70. Enfin, les familles où un seul parent travaillait avaient un filet de sécurité possible. N'est-ce pas ce qui risque de se passer avec l'économie collaborative ? Certaines personnes ne peuvent payer leur loyer si elle ne loue pas un canapé chez elles. Les gens qui en sont à louer les vêtements de leurs placards ne sont pas dans une position de négociation. Est-ce que l'économie du partage est vraiment un avantage, à terme ?
Aurialie Jublin

L'économie collaborative ne partage que les restes - Influencia - 0 views

  • Ceci est le point culminant logique d’un processus qui a commencé il y a trente ans lorsque les entreprises ont commencé à sacrifier des emplois à temps plein pour des travailleurs temporaires, indépendants ou freelancers et consultants. C’était un moyen de déplacer les risques et inconnues sur le travailleur et une façon de contourner les lois du travail imposant des standards minimums de salaire, du nombre d’heures et des conditions de travail. Celles là mêmes qui permettent aux employés de se mettre ensemble pour négocier des salaires et bénéfices plus intéressants.
  • Les partisans de l’économie collaborative soulignent également que comme le travail à la demande continue de grandir, les travailleurs assemblent leur force pour acheter une assurance et d’autres bénéfices en groupe. Mais, clairement, ils ne se rassemblent pas pour négocier une part plus importante du revenu ou des horaires plus fixes. Cela s’appellerait un syndicat – quelque chose dont Uber, Amazon et les autres entreprises à la demandent ne veulent pas entendre parler.   Certains économistes font l’éloge du travail à la demande car c’est une façon plus efficace d’utiliser une force de travail. Mais le plus gros challenge économique auquel nous faisons face n’est pas l’efficacité. C’est la distribution du travail et une redistribution plus équitable de ses gains. Sur ce dernier sujet, l’économie de partage (des restes), sur certains points, nous renvoie encore bien en arrière...
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    "Et si l'économie collaborative en plus de ne pas profiter à tout le monde tuait le rêve du partage équitable et nous renvoyait à une époque où les droits et la protection des employés étaient inexistants ? La thèse de Robert Reich, l'ancien ministre du travail de Bill Clinton, méritait bien une traduction."
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