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La construction médiatique de l'aura comme enjeu philosophique de la série de... - 0 views

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    En ce qui concerne la théorie de la série télévisée, les derniers travaux qui portent sur cet objet ne laissent pas d'insister sur la dimension « transmédiatique » de son fonctionnement communicationnel. Comme nombre d'objets médiatiques, la série gagne en effet à être appréhendée en fonction de multiples circulations, hybridités et complémentarités.
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Awake ou la multiplication des réalités | Implications philosophiques - 2 views

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    Le synopsis de la série Awake semble relativement simple de prime abord. Suite à un accident de la route qu'il a eu avec sa femme et son fils, l'officier Michael Britten se retrouve dans une situation particulière. À chaque fois qu'il se réveille, il semble changer de réalité.
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Harry Potter ou le passage à l'âge adulte ? - 0 views

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    Harry Potter est le personnage principal d'une série de livres écris par Joanne Rowling et de films sorties entre 2001 et 2011 sur nos écrans.
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Community. Sitcoms et contrat social. S01E01 - 1 views

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    "Sitcom". Le mot vient comme l'on sait de la contraction de "Situation comedy". On suggère par ce nom que les personnages ne sont pas développés pour eux-mêmes. L'intérêt provient plutôt de leurs interractions comiques. Et si on déploie le concept jusqu'au bout, on peut en déduire que dès qu'un personnage se met à changer en profondeur et devient l'enjeu de la série, cela signifie qu'on est en train de basculer dans le genre du drame, où l'action n'est plus fragmentaire ou cyclique, mais linéaire. La plupart des sitcoms, pour ancrer leurs situations comiques nécessitent donc un cadre très défini, quasi rituel, où rien ne change qui affecte directement les personnages. Elles supposent par exemple une bande d'amis, où chacun connaît sa place. A la qualité d'être comique s'appose alors une deuxième qualité peut-être aussi importante : avoir passé un pacte social.
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Analyse de Lost Highway (David Lynch, 1997) by Peter Chung - 1 views

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    Peter Chung est récemment le réalisateur de « Matriculated », peut-être le plus décalé et original des films Animatrix (2003), il est aussi le créateur de nombreux court-métrages d'animation, dont la série MTV « Aeon Flux » et à l'origine des fameux Razmokets. L'article qui suit est un hommage de Peter Chung sur le film Lost Highway de David Lynch. Cadrage publie ce texte inédit car, outre notre vif intérêt et amitié portés à l'originalité des films de Peter Chung, il nous semble intéressant, voire fondamental, de mettre en lumière les réflexions écrites des réalisateurs. Les grands cinéastes sont nécessairement, par définition, de grands critiques. La réciproque est on le sait moins évidente.
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Phoebe & Ross, l'argument de la méta-induction pessimiste - 1 views

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    "C'est dans le cadre d'une discussion sur Montaigne et l'argument de la méta-induction pessimiste que j'ai fait référence à cet extrait de la série Friends" par Cédric Eyssette.
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Dossier pédagogique sur le film Bamako, film réalisé par Abderrahmane Sissako - 1 views

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    Dossier pédagogique conçu et réalisé par une enseignante de Philosophie et une enseignante de Français. Ce dossier propose une série d'approches thématiques et formelles ("Atim, un Hamlet à rebours", "Justice et vérité", "Polyphonie du silence"…), ainsi qu'un choix de textes littéraires (Shakespeare, Hugo, Sartre, Jean Hatzfeld) et philosophiques (Nietzsche, Hegel, Jankelevitch, Foucault) pour mener une réflexion autour du film de Mahamat-Saleh Haroun.
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« Le cinéma fantastique » - Dossier de présentation - 1 views

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    De toutes les émotions provoquées par le cinéma, la peur est sans doute la première de toutes. On raconte que les spectateurs de L'Entrée du train en gare de la Ciotat (1896) des frères Lumière quittèrent la salle terrifiés par ce procédé surnaturel (et ce train fantôme qui fonçait vers eux). A leur suite, des générations de spectateurs allèrent chercher le frisson dans les salles obscures. Aujourd'hui encore le « fantastique » au sens large est sans doute le plus populaire parmi les genres cinématographiques, le seul en tout cas à avoir ses propres fans et à générer une abondante production éditoriale (presse spécialisée, sites internet). On a d'ailleurs souvent souligné que le cinéma et le vampirisme étaient nés au même moment (le roman Dracula de Bram Stoker est publié en 1897) : des Vampires (1916) de Louis Feuillade jusqu'à la série Twillight, en passant par les versions de F.W. Murnau (Nosferatu, 1922), Carl Dreyer (Vampyr, 1932), Tod Browning (Dracula, 1931) Terence Fisher (Le Cauchemar de Dracula, 1958), Werner Herzog (Nosferatu, 1978), et Francis Ford Coppola (Dracula, 1992), le cinéma n'a d'ailleurs eu de cesse de réactualiser le mythe, comme s'il lui était consubstantiel.
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