"Le pape François a nommé jeudi 22 octobre Mgr Bertrand Lacombe archevêque d'Auch (Gers). Jusqu'ici évêque auxiliaire de Bordeaux, Mgr Lacombe manifeste depuis le début de son ministère une préoccupation particulière pour les jeunes et les vocations."
"Quelles politiques les Églises protestantes adoptent-elles à l'endroit de la jeunesse ? Pour quel résultat ? Existe-t-il une différence fondamentale entre les approches réformée et évangélique ? Tour d'horizon." [RDP du 22 octobre 2020]
"Cet été, les locaux du collège-lycée Notre-Dame d'Orveau ont accueilli discrètement l'Academia Christiana, l'université d'été des jeunes identitaires catholiques. Faut-il ou non s'en inquiéter ?" [RDP du 16 octobre 2020]
" En étudiant les Journées mondiales de la jeunesse (JMJ), ces rassemblements internationaux de jeunes catholiques inventés par Jean Paul II, l'historien Charles Mercier explore la façon dont l'Église catholique s'inscrit dans la mondialisation et le dialogue des cultures."
"Samedi 3 octobre 2020, la Pastorale des Jeunes du diocèse de Saint-Brieuc a organisé sa rentrée diocésaine - qui a lieu tous les deux ans - à l'église Saint-Yves (Saint-Brieuc), en présence de près de 300 jeunes et de familles. Ce temps-fort s'est tenu en présence de Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, et du groupe de musique Avelig qui a donné une veillée en fin de journée."
"Inaugurée dimanche 27 septembre en présence de Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, la Maison des jeunes de St-Vincent-de-Paul rouvre ses portes après trois ans de travaux et de rénovation de ses locaux historiques, hérités de l'œuvre de Frédéric Ozanam."
"Tu es jeune, tu as des idées pour faire grandir l'Église ?
Tu aimerais pouvoir les partager et faire entendre ta voix ?
Rejoins le Synode diocésain, on t'explique tout dans la vidéo réalisée par le Pôle Jeunes….
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"Grâce à une équipe de travail composée de jeunes issus de divers mouvements (Scouts, Éclaireurs, MEJ, St Vincent…) sont nées deux nouvelles initiatives du label œcuménique : le "Pollen d'Église Verte" et le label "Église Verte - jeunes"."
Chaque année, j'ai écrit une « lettre aux diocésains » pour rendre compte de mes découvertes, de mes questions et suggérer des points d'attention. Celle que je vous adresse en cette rentrée pastorale est plus consistante. Elle s'intitule « En chemin vers les ostensions » et veut s'inscrire dans le sillage de la belle lettre pastorale de mon prédécesseur, « Un peuple en marche », datée de la Toussaint 2014. Elle vise à donner quelques perspectives pour qu'ensemble, nous marchions vers l'achèvement du Royaume, puisque c'est pour cela qu'existe l'Église. Nous ne pouvons, en effet, avancer qu'ensemble, l'Église étant « dans le Christ, en quelque sorte le sacrement, c'est-àdire le signe et le moyen de l'union intime à Dieu et de l'unité de tout le genre humain ».
Avancer ensemble, c'est un des axes majeurs du pontificat du Pape François, qui invite à une Église « synodale » c'est-à-dire soucieuse d'accueillir les dons et les charismes que l'Esprit Saint répand dans la communauté. Nos paroisses, mouvements et services, notre diocèse, ne manquent pas de lieux d'expression et de mise en œuvre de cette synodalité. Je souhaite que nous continuions de les favoriser. L'équipe d'éveil synodal initiée en septembre dernier vise à chercher des pistes concrètes pour faire vivre partout cette synodalité et rester ainsi à l'écoute du monde et des communautés de notre diocèse.
C'est suite au travail de cette première année de l'équipe d'éveil synodal, croisé avec celui du conseil épiscopal, que j'écris ces lignes, à la lumière de nos échanges et de ce que je crois que le Seigneur m'inspire.
Le but de cette lettre n'est ni d'indiquer des réformes de structures ni de proposer un modèle paroissial original ou d'instituer de nouveaux ministères. Certains en seront peut-être déçus. Je ne suis pas opposé aux réformes. Mais il me semble que les structures pastorales issu
"Le P. Nicolas DUMAS vient d'être nommé délégué épiscopal auprès des jeunes. Une mission dans un champ à 360° tant les acteurs de la pastorale des jeunes sont diversement situés et les propositions multiples, mais une mission dont la formulation définit bien le souhait de déplacement et de proximité, « auprès » des jeunes certes, mais aussi « auprès » des communautés chrétiennes que le P. Dumas aura à stimuler dans le domaine de la jeunesse."
"La fête diocésaine du MEJ aura lieu le dimanche 18 octobre au Centre diocésain. Une journée autour du thème de la fraternité durant laquelle les enfants (et leurs parents) vivront différents temps forts !"
PARTIE 1 : La perspective d'un monde peu accueillant pour la nouvelle génération, en particulier en termes d'emploi
PARTIE 2 : Quels acteurs pour soutenir les jeunes face aux difficultés qu'ils rencontrent, et notamment l'insertion professionnelles ?
PARTIE 3 : L'accompagnement et l'éducation : une mission qui incombe d'abord aux parents, mais impliquant aussi des tiers aux rôles complémentaires
PARTIE 4 : La construction de soi, prérequis incontournable à la réussite des jeunes
PARTIE 5 : Les perceptions des inégalités et de l'échec scolaire
Dans le contexte actuel de recrudescence de l'épidémie et d'aggravation de la situation économique et sociale, La Tribune a missionné l'IFOP pour réaliser une grande enquête d'opinion auprès des jeunes Français âgés de moins de 30 ans. Alors qu'ils sont directement impactés par la dégradation de la situation économique, cette étude vise notamment à faire le point sur leur état d'esprit et leurs perceptions à l'égard de la place des jeunes dans la société française. En voici les principaux enseignements :
En dépit de l'aggravation de la situation sanitaire et économique, le niveau d'optimisme des jeunes se maintient à un niveau comparable à celui mesuré avant le confinement (62% contre 60% en septembre 2019). Ces derniers sont par ailleurs significativement plus optimistes que leurs ainés (Seulement 44% des Français déclaraient ainsi en aout être optimistes à l'égard de l'avenir).
Invités à qualifier leur état d'esprit actuel face à la société française, les moins de 30 ans font néanmoins appel à des qualificatifs négatifs : 52% se déclarent ainsi révoltés ou résignés, et 25% sont indifférents. Moins d'un quart d'entre-eux se déclarent au contraire confiants ou enthousiastes.
Santé, éducation et environnement sont les trois sujets perçus comme étant prioritaires pour les moins de 30 ans. Ces derniers sont moins nombreux que leurs ainés à mettre en avant les thématiques économiques et sociales.
Concernant l'arbitrage entre risque sanitaire et risque économique lié à la crise du Covid 19, les jeunes Français se montrent très partagés. 51% estiment que les pouvoirs publics doivent avant lutter contre l'épidémie alors qu'à l'inverse 49% pensent qu'ils doivent favoriser l'amélioration de la situation économique.
"Redonner un souffle missionnaire à des églises et chapelles peu utilisées dans le monde rural : c'est le coeur de la Mission belle étoile, une initiative venue d'un groupe de jeunes Lyonnais."