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Depuis septembre 2016, la Jeunesse Ouvrière Chrétienne (JOC) vit sa nouvelle campagne nationale d'action « Dignes et Travailleurs, notre défi pour demain ». Les responsables du mouvement ont voté cette campagne sur deux ans pour conscientiser les jeunes aux questions de dignité et d'épanouissement au travail et par le travail. 80% des jeunes se disent enthousiastes à l'idée d'entrer dans le monde du travail(1). L'entrée dans la vie active est aujourd'hui toujours considérée par les jeunes de la JOC comme la clé pour entrer dans la « vraie vie » : une vie d'adulte libre et autonome, avec la possibilité de mener des projets d'avenir et une vie épanouissante. Mais alors qu'ils expriment le souhait d'être libres de construire leur vie et leur avenir par eux-mêmes, les jeunes déclarent être souvent obligés de vivre au jour le jour et d'assumer des choix de vie que les circonstances leur imposent. Dans un contexte où 45% des jeunes en quartiers populaires sont privés d'emploi en 2015(2), les jeunes rejoints par la JOC mettent parfois leurs exigences matérielles et morales de côté, pour accepter n'importe quel travail dans n'importe quelles conditions. « Je travaille beaucoup et mes heures ne me sont pas payées. Pourquoi je devrais me plaindre car pour tous mes collègues c'est pareil. Même si je voulais ne pas me laisser faire, je ne fais pas le poids face à mon patron » Alan, 21 ans. Ceux qui sont privés d'emploi éprouvent, quant à eux, des difficultés à se projeter et mettre en place des projets.

"Week-end pour les jeunes de la cinquième aux jeunes professionnels organisé par le service jeunes diocésain"

Les enjeux de l'apprentissage sont différents selon que l'on se place du point de vue des responsables politiques, des jeunes ou de la collectivité. Pour les politiques, à court terme, dans la mesure où l'apprentissage est un contrat de travail, l'apprenti ne rentre pas dans les statistiques du chômage. De ce point de vue, l'exemple de l'Allemagne est instructif[1] : le taux de chômage des jeunes y est trois fois moins élevé qu'en France, mais plus de la moitié de la différence s'explique par la place de l'apprentissage dans le système de formation de nos voisins (16,8% des jeunes de 15 à 24 ans en Allemagne contre 6,2% en France). Pour les jeunes, à moyen terme, l'apprentissage est un mode de formation qui se révèle particulièrement efficace à chaque fois que la formation a une finalité directement professionnelle. À formation et diplôme équivalents l'insertion de ceux qui ont suivi leur formation par la voie de l'apprentissage est 10 à 15 points supérieure à celle de ceux qui ont été formés par une voie strictement scolaire. Pour la collectivité, à long terme, la place de l'apprentissage dans les formations professionnelles contribue significativement à accroître la qualification de la population active dans son ensemble comme l'illustrent les exemples allemand et suisse. Or, en économie ouverte, le niveau de vie et d'emploi est directement commandé par le niveau de formation. Pour pouvoir mettre en œuvre des équipements et des modes de production et d'organisation compétitifs qui permettent d'accéder à la fameuse « montée en gamme », il faut disposer d'une main d'œuvre hautement qualifiée. Les pays avancés ne pourront continuer à vendre du travail cher au reste du monde et à leurs propres consommateurs qu'en le « dopant » à l'éducation, c'est-à-dire en investissant fortement dans leur main d'œuvre. La Grande-Bretagne l'a compris qui s'est engagée en 2010 dans un

"Dans notre diocèse, de nombreux jeunes, collégiens, lycéens, étudiants, jeunes professionnels, se sont constitués en groupe de prière perpétuelle : chaque personne, dans ces groupes créés à l'appel de jeunes, d'accompagnateurs, de prêtres, a choisi un créneau de prière quotidien, afin que jamais la prière ne s'arrête de monter vers le Ciel."

Alors que la France est l'un des pays de l'OCDE où l'origine sociale conditionne le plus la réussite scolaire et où la reproduction des inégalités de revenus d'une génération sur l'autre est la plus forte, faut-il se résigner à ce que l'avenir de certains jeunes paraisse déjà écrit dès leurs toutes premières années ? Constituée à l'initiative du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, la mission d'information sur les politiques en faveur de l'égalité des chances et de l'émancipation de la jeunesse a examiné les actions à développer pour réduire les inégalités de trajectoire à chaque stade du parcours des jeunes dans quatre domaines : - la politique de la petite enfance, pour que les enjeux d'égalité des chances soient pris en compte dès le plus jeune âge ; - les correctifs à apporter au système scolaire, afin qu'il n'accentue plus les inégalités de départ ; - l'accompagnement des jeunes hors école et milieu familial, afin qu'ils trouvent des points d'appui pour élargir leurs horizons ; - la recherche d'une plus grande efficacité dans les multiples dispositifs visant l'insertion sociale et professionnelle des jeunes.

Alors que la France est l'un des pays de l'OCDE où l'origine sociale conditionne le plus la réussite scolaire et où la reproduction des inégalités de revenus d'une génération sur l'autre est la plus forte, faut-il se résigner à ce que l'avenir de certains jeunes paraisse déjà écrit dès leurs toutes premières années ? Constituée à l'initiative du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain, la mission d'information sur les politiques en faveur de l'égalité des chances et de l'émancipation de la jeunesse a examiné les actions à développer pour réduire les inégalités de trajectoire à chaque stade du parcours des jeunes dans quatre domaines : - la politique de la petite enfance, pour que les enjeux d'égalité des chances soient pris en compte dès le plus jeune âge ; - les correctifs à apporter au système scolaire, afin qu'il n'accentue plus les inégalités de départ ; - l'accompagnement des jeunes hors école et milieu familial, afin qu'ils trouvent des points d'appui pour élargir leurs horizons ; - la recherche d'une plus grande efficacité dans les multiples dispositifs visant l'insertion sociale et professionnelle des jeunes.

Proposition n° 1 : Étendre les dérogations (aménagements d'horaire, crédits d'enseignement…) prévues à l'article L. 611 1 du code de l'éducation aux sujétions liées à la participation aux conseils de jeunes des collectivités territoriales. Proposition n° 2 : Introduire, à chaque niveau du collège, une semaine de la citoyenneté, y compris européenne, composée de modules de sensibilisation, notamment à la défense et la sécurité, à l'engagement, aux droits et devoirs, à la mémoire. Proposition n° 3 : Renforcer l'enseignement moral et civique par une augmentation substantielle du volume horaire annuel, tant au collège qu'au lycée, et une évaluation obligatoire, distincte de celle de l'histoire-géographie. Proposition n° 4 : Renforcer la participation des élus à l'enseignement moral et civique au sein des établissements scolaires. Proposition n° 5 : Élargir les possibilités de stage de troisième aux domaines relevant de l'engagement citoyen. Proposition n° 6 : Renforcer la composante civique des programmes d'insertion professionnelle destinés aux jeunes : formation des volontaires en service civique mais aussi garantie jeunes et contrat d'engagement jeune. Proposition n° 7 : Centraliser les offres et demandes d'engagement y compris des réserves, sur un portail commun. Proposition n° 8 : Créer une plateforme centralisant les appels à projet en matière de citoyenneté. Proposition n° 9 : Faciliter les aménagements d'horaires pour les apprentis engagés dans la société civile. Proposition n° 10 : Mieux valoriser dans Parcoursup les engagements associatifs des candidats. Proposition n° 11 : Introduire dans les examens nationaux une évaluation de l'engagement des élèves au cours de leur scolarité. Proposition n° 12 : Recenser les engagements personnels dans un portefeuille dédié. Proposition n° 13 : Certifier selon un référentiel commun les compétences acquises à l'occasion des a

"Le 21 novembre prochain, l'Observatoire des inégalités organise à Paris une formation professionnelle sur le thème « La jeunesse face aux inégalités ». Objectif : mieux comprendre les réalités des jeunes d'aujourd'hui.Les générations se suivent mais ne se ressemblent pas. La jeunesse d'aujourd'hui est frappée de plein fouet par la crise. Qui est cette « jeunesse » dont on parle tant ? Comment mesurer et agir sur la situation sociale des jeunes ? Pour tenter de mieux cerner le phénomène, l'Observatoire des inégalités organise le 21 novembre prochain à Paris une journée de formation pour les professionnels concernés par cette question."

"Après le succès de l'édition 2012 qui avait rassemblé près de 800 jeunes à Compiègne, Mgr Jacques Benoit-Gonnin, évêque de Beauvais, Noyon et Senlis convie une nouvelle fois les jeunes catholiques de l'Oise (les collégiens dès la 4ème jusqu'aux étudiants et jeunes professionnels), à se retrouver pour un grand temps fort et un week-end de partage les samedi 12 et dimanche 13 avril 2014 à Mortefontaine et Senlis. Grâce à son Amour, le Christ nous invite à aimer. Chacun est appelé à oser la rencontre avec ses frères et à rejoindre cet événement important pour l'Église catholique de l'Oise"

"INVITATION pour tous les jeunes… Vendredi 17 octobre 18h00 à l'aumônerie Samedi 18 octobre 6h45 à la gare routière pour un temps entre jeunes de tous les âges : collégiens, lycéens, étudiants, jeunes professionnels de l'agglo d'Annemasse et des environs, pour mieux se connaître et vivre le temps fort avec tout le diocèse de Diaconia 74. "

"Dans cet esprit, le studium de Notre-Dame de Vie a invité les jeunes acteurs de l'évangélisation et de la pastorale des jeunes, les étudiants et les jeunes professionnels à venir s'exprimer sur leur foi et leur mission au cours d'un forum réalisé les 3 et 4 mars 2018."

"CHARGÉ(E) DE PROJET POUR RÉSEAUX SOCIAUX ET COMMUNICATION Le Service Diocésain des Jeunes (SDJ) est au sein du diocèse de Lille une cellule de coordination, d'écoute et de soutien des différents acteurs de la pastorale des jeunes (Enseignement catholique, Aumôneries d'Enseignement Public, paroisses et doyennés, mouvements de jeunes, aumôneries étudiantes, groupes de jeunes professionnels…)."

Dans le contexte actuel de recrudescence de l'épidémie et d'aggravation de la situation économique et sociale, La Tribune a missionné l'IFOP pour réaliser une grande enquête d'opinion auprès des jeunes Français âgés de moins de 30 ans. Alors qu'ils sont directement impactés par la dégradation de la situation économique, cette étude vise notamment à faire le point sur leur état d'esprit et leurs perceptions à l'égard de la place des jeunes dans la société française. En voici les principaux enseignements : En dépit de l'aggravation de la situation sanitaire et économique, le niveau d'optimisme des jeunes se maintient à un niveau comparable à celui mesuré avant le confinement (62% contre 60% en septembre 2019). Ces derniers sont par ailleurs significativement plus optimistes que leurs ainés (Seulement 44% des Français déclaraient ainsi en aout être optimistes à l'égard de l'avenir). Invités à qualifier leur état d'esprit actuel face à la société française, les moins de 30 ans font néanmoins appel à des qualificatifs négatifs : 52% se déclarent ainsi révoltés ou résignés, et 25% sont indifférents. Moins d'un quart d'entre-eux se déclarent au contraire confiants ou enthousiastes. Santé, éducation et environnement sont les trois sujets perçus comme étant prioritaires pour les moins de 30 ans. Ces derniers sont moins nombreux que leurs ainés à mettre en avant les thématiques économiques et sociales. Concernant l'arbitrage entre risque sanitaire et risque économique lié à la crise du Covid 19, les jeunes Français se montrent très partagés. 51% estiment que les pouvoirs publics doivent avant lutter contre l'épidémie alors qu'à l'inverse 49% pensent qu'ils doivent favoriser l'amélioration de la situation économique.

"Quel jeune chrétien qui prend au sérieux sa vie de foi et qui cherche avec vérité à accorder sa vie avec l'évangile ne s'est jamais interrogé personnellement : Qu'est ce que je vais faire de ma vie ? A quoi Dieu m'appelle ? quelle est ma vocation ? Toute vocation chrétienne est le fruit d'une rencontre personnelle avec Jésus-Christ. Cela peut venir lors d'une brusque conversion, ou tout au long d'une lente maturation par l'approfondissement d'une foi vécue dans la prière, la méditation de la Parole de Dieu, dans une vie rythmée par l'eucharistie et la réconciliation, et aussi dans un esprit de service. Pour avancer dans son discernement, il est important de ne pas rester seul ! Alors le Service diocésain des Vocations propose des temps de rencontre destinés aux jeunes (garçons et filles) souhaitant échanger sur ses questions, pour y voir plus clair … Pour avoir des réponses à tes questions (merci de cliquer sur les liens) Pour les 15-18 ans (lycéens) : Rencontres « Why not ? » Pour les 17-30 ans (étudiants, jeunes professionnels…) Parcours « Chemins d'Evangile »"

"Tous les deux ans, les jeunes lycéens, étudiants et jeunes professionnels (15-35 ans) du diocèse sont invités à se rassembler pendant le week-end des Rameaux. Un temps fort qui regroupe entre 200 et 300 jeunes de notre diocèse, venus de tous les secteurs et de tous les mouvements (lycées, aumônerie des étudiants, JOC, scouts ...) pour vivre ensemble un grand moment de convivialité. Cette année rendez-vous du : samedi 19 Mars à 14 h 30 au dimanche 20 Mars à 15 h 00 (nuit sur place) à Charleville-Mézières"

SITE DEDIE Quels produits psychoactifs les jeunes Français consomment-ils ? Comment leurs usages évoluent-ils? Filles et garçons sont-ils également concernés? Qui sont les jeunes les plus fragiles? L'OFDT fait le point sur toutes ces questions et de nombreuses autres dans Jeunes et addictions. Cet ouvrage décrit les pratiques addictives des 11-25 ans et ambitionne de mieux les comprendre tout en évoquant leurs conséquences. L'étude de ces comportements tout au long de l'adolescence et au début de l'âge adulte est en effet essentielle puisque c'est à cette période de la vie, faite d'initiations et d'expériences, que débutent et s'installent certaines conduites addictives qui perdureront.

"Claire Caralp, 29 ans, vit et travaille à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Du 19 au 24 mars 2018, elle sera à Rome avec 300 jeunes du monde pour le des jeunes."

"« Les jeunes doivent être respectés dans leur liberté, mais ils doivent être aussi accompagnés » (§ 242, Christus Vivit, pape François, 2019). La jeunesse, un âge pour les rêves et les choix. Si l'Eglise propose aux adultes un accompagnement spirituel, cela s'adresse aussi aux jeunes. Comment un jeune peut-il choisir son accompagnateur ? vers qui se tourner ? Quels critères pour choisir celui ou celle qui pourra l'aider à faire des choix de vie ? Témoignage et points de repères dans Vies de Famille."

"Cette page est consacrée au pélérinage Assise 2004 - 2014 (anniversaire des 10 ans) Du 19 au 25 Juillet 2014. Au fur et à messure de l'avancée du projet, des informations seront publiées. Ce pèlerinage à Assise du 19 au 25 juillet 2014 est proposé aux les lycéens, étudiants et jeunes professionnels. Ce rendez-vous célèbrera les dix ans du premier pèlerinage à Assise, qui fut la pierre fondatrice de la pastorale des jeunes."

epuis quelques années, le débat autour de l'entrepreneuriat, et notamment celui des jeunes, est en plein essor. Qu'il soit porté par des institutions internationales (Commission européenne, OCDE, Banque mondiale..) ou par des organisations nationales (universités) voire locales (associations, couveuses), il trouve sa source d'inspiration dans une certaine interprétation de la société et de la place des jeunes. L'ambition de ce dossier est d'éclairer les dimensions pédagogiques et ontologiques de l'enseignement de l'entrepreneuriat, les enjeux de l'insertion professionnelle et le rôle de l'école. Par leur analyse des pratiques de formation à l'entrepreneuriat, les auteurs montrent la diversité des questionnements liés aux expériences d'éducation à l'entrepreneuriat, quel que soit le profil des jeunes concernés et des espaces de socialisation.