"A quelques jours du premier tweet de Benoît XVI, le 12 décembre prochain, le directeur de la salle de presse du Saint-Siège publie un éditorial sur l'événement, l'occasion pour le père Lombardi d'analyser les réactions provoquées par l'arrivée du Pape sur le réseau social ainsi que sa portée."
"Tout ça pour ça ?
Trois ans et demi de présence sur Twitter, presque trente et un mille tweets, ce qui représente mille deux cents pages Word.
Des followers, des followés, des bloqués, des unfollow.
D'innombrables réactions.
Pour quoi ?
Aucune idée. Ni d'ailleurs aucun moyen de le savoir.
J'ai le sentiment très net, depuis septembre, que l'atmosphère sur ce réseau est encore plus violente que dans le semestre précédent. Et cela n'ira pas s'arrangeant."
"Sur le réseau social, qui compte 26 millions d'utilisateurs actifs en France sur 1,2 milliard dans le monde, le "mariage homosexuel" (7e sujet le plus commenté) et la "manif pour tous" (8e) ont également provoqué un grand nombre de réactions cette année."
"Plus d'un million 1 000 000) de pages vues au cours de sept-cent mille (700 000) consultations durant l'année 2013. De quoi parlons-nous ? De ce site qui a fêté cette année ses dix ans et qui n'a cessé depuis de progresser. Pour fêter avec vous cette anniversaire, le Service de communication du diocèse vous propose de jouer : l'internaute qui s'approchera au plus près du nombre de pages visitées entre le 1er et le 31 décembre 2013 (minuit) se verra offrir… une boîte de chocolats fins. Vous avez jusqu'au 5 janvier minuit pour jouer et nous faire part de vos réactions !"
Les attentats du 13 novembre à Paris ont provoqué un nombre historique de réactions et de commentaires sur les réseaux sociaux. On aurait pu imaginer assister à un déferlement de haine. C'est tout le contraire.
"À l'occasion du "Pride Month", Facebook a proposé à ses utilisateurs un petit drapeau arc-en-ciel pour réagir aux posts. Des catholiques américains n'ont pas tardé à réclamer que soit également proposé un crucifix parmi les réactions possibles."
Les médias publics ne peuvent être défendus que s'ils se transforment radicalement pour s'adapter à la révolution numérique et aux nouveaux usages qu'elle génère. Telle est la conviction de Mathieu Gallet, actuel président de Radio France. Dans la présente note, il liste les priorités de cette transformation : placer le public et ses usages au cœur de l'offre, maîtriser les data, se préparer au Web vocal et sémantique, s'organiser en média global… Cette mutation de l'audiovisuel public passe par de nouvelles formes de management. Mais elle appelle aussi de nouveaux moyens de la part de la puissance publique : d'une part, la mise en place d'un environnement réglementaire plus responsabilisant pour les nouveaux réseaux numériques ; de l'autre, une réforme du mode de financement de l'audiovisuel public, non pour entretenir l'existant, mais pour accompagner l'effort de transition à moyen et long termes afin de mettre en œuvre une stratégie globale pour les médias de service public.
Avec cette proposition, Terra Nova ouvre le débat sur l'avenir des médias publics et accueillera volontiers de nouvelles contributions sur le sujet, ainsi que réactions ou droits de réponse à l'initiative des parties prenantes ou des syndicats.
"Le titre de la troisième encyclique du Pape François, avec son incipit "Fratelli tutti", suscite des réactions parfois fortes. De fait, François d'Assise, qui est ici cité, s'adresse à tous les croyants, frères et sœurs dans le monde entier. La contribution suivante illustre la source qui donne son nom à la nouvelle encyclique et demande des traductions soignées."
"Ce qui est exposé médiatiquement (évènements, nouvelles) fait beaucoup plus que relayer ce qui s'est simplement passé. La neutralité du traitement journalistique ne signifie pas la neutralité des effets chez le spectateur. L'information façonne nos représentations jusqu'à pouvoir susciter des réactions de crise, de peur ou d'angoisse. En mobilisant l'émotion, - nul ne l'ignore - le média sème des éléments dans l'esprit des gens qui auront ensuite un effet dans la vie sociale.
La vie présentée dans les médias n'est si clairement la vie réelle : puisque le mental de l'auditeur-spectateur est sollicité à 100% dans les médias, plus que l'expérimental (le vécu) il s'en suit que l'impact des informations est la cause des représentations mentales et parfois de troubles mentaux. Qui n'a pas entendu quelqu'un dire : « quand il a vu cette image, ça l'a rendu fou… »
Le fait de ne pas être le témoin ou le participant d'évènements et de vous les faire vivre à distance - par médias interposés comme si cela vous concernait très directement - crée le sentiment de subir une actualité qui s'impose à nous sans pouvoir agir sur le cours des évènements. Il n'est possible que de réagir en soi-même. La pression monte et le spectateur se parle à lui-même. Contrairement à l'idée selon laquelle le fait de ne pas être directement concerné aurait moins d'effets psychiques négatifs est probablement faux, et cela pourrait même être le contraire. La non implication des gens dans la plupart des nouvelles graves et violentes dont ils sont les destinataires, cause un trouble plus profond précisément parce qu'ils ne sont pas directement concernés. Il reste en eux une trace dont le traitement sera une surproduction de l'activité mentale : une mise en parole pour expliquer et évacuer la charge négative de ces nouvelles. La plupart du temps nous sous-estimons les effets des nouvelles sur n
"Samedi 28 août, la Conférence des évêques de France et le diocèse de Sens et Auxerre ont réagi à la polémique autour du père Matthieu Jasseron. Star du réseau de partage de vidéos TikTok, ce jeune prêtre affirmait dans l'une d'entre elles que l'homosexualité n'était pas un péché, provoquant des réactions dont l'impact a largement dépassé les frontières du réseau social. Cet épisode pose la question de la parole publique des prêtres."
"Prêtre célèbre sur le réseau social TikTok, le père Matthieu Jasseron a suscité de vives réactions après la publication de certaines vidéos. Il revient, sur le fond, sur celles concernant le diable et l'homosexualité."
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Religion
Radios, télés : le Vatican comme si vous y étiez
Le 28 février 2013, à 20 heures, Benoît XVI redevient Joseph Ratzinger. Voici le guide des éditions spéciales consacrées à cet événement exceptionnel par les médias français."