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"Chiffre d'affaires du secteur, part des ventes de livres, part des ventes numériques, nombre d'exemplaires vendus et chiffre d'affaires généré par la littérature... le SNE dévoile ses statistiques pour l'année 2013. [...] 4,1 % : c'est la part du numérique dans le chiffre d'affaires de l'édition. Le numérique a généré un chiffre d'affaires de 105,3 millions d'euros, en progression de 28,6 %. Si le marché professionnel représente encore la majeure partie de l'activité (56 %), la progression du numérique a surtout été portée par le doublement des ventes vers le grand public. Hors édition professionnelle, la part du numérique se situe à 2,3 % (46 millions d'euros)."

"A l'occasion de l'assemblée générale du Syndicat National de l'Edition, le président Vincent Montagne a présenté les chiffres du secteur de l'édition pour l'année 2014. Le chiffre d'affaires global de l'édition s'élève à 2.652 millions d'euros pour 422 millions d'exemplaires vendus. En baisse de 1,3% en valeur et de 1,2% en volume par rapport à 2013. En 2014, le chiffre d'affaire du numérique représente pour les éditeurs 161,4M€, soit 6,4% du secteur global en hausse de 53% par rapport à 2013. Le marché professionnel (juridique, science et technique) en représente 64% (58% en 2013). "Dans l'édition professionnelle, les ventes numériques et les services associés représentent plus de 50% du CA pour certains éditeurs" souligne le rapport. La part des ventes grand public, bien plus médiatisée est aussi plus modeste, à 2,9% des ventes de livres (2.517M€), contre 2,3% en 2013."

"Selon les données, le numérique aurait atteint 6,4 % des ventes de livres l'an passé, soit une croissance de 53,3 %, par rapport à 2013, raccord avec les autres pays européens. « Il reste cependant difficile de collecter les chiffres de ventes, mais également d'établir une distinction entre les ventes professionnelles et les achats du grand public », commente-t-on au SNE."

"Nous disposons rarement d'éléments chiffrés de la part des éditeurs de littérature générale. C'est encore moins le cas du côté des éditeurs de livres illustrés. Le groupe Fleurus propose une infographie sur leurs catalogues numériques. Plus de 1400 titres au total répartis au travers des quatre marques (Fleurus, Mango, Mame et Rustica), avec les thématiques et les meilleures ventes. Le format ePub très largement favorisé à 71% du catalogue complet. A signaler bien sûr que Fleurus défend une politique sans DRM. On regrettera qu'il n'y ait comme d'habitude aucun chiffres de ventes. C'est très difficile d'avoir des retours des ventes dans l'illustré, je crois bien qu'il n'y a jamais eu aucun chiffre qui ne soit sorti en France, black-out total. Bien dommage pour apprécier le numérique dans l'illustré au sens large, bande dessinée, jeunesse, cuisine, pratique."

"Journée d'étude et de formation interprofessionnelle Lundi 11 mai 2015 à Poitiers (86) Restitution de l'étude sur la librairie indépendante en Poitou-Charentes : Conférence, présentation d'éléments de promotion. Table ronde sur l'accompagnement public de la librairie indépendante : bilan en Poitou-Charentes et perspectives Comment vendre et acheter des livres numériques ? Présentation de PNB et autres solutions de vente de livres numériques aux bibliothèques. Expériences individuelles de vente et achat de livres numériques."

"Les livres jeunesse et les polars ont dominé les ventes de l'Apple iBooks Store cette année. Leader des ventes de romans, John Green a bénéficié de la sortie de l'adaptation de Nos étoiles contraires. "

"Depuis 2010, LEKTI dispose d'un service de fabrication et travaille avec de nombreux éditeurs au passage de leur catalogue au format ePub, commercialisé par les plate-formes telles qu'Apple, Kobo, Google, Amazon (avec son format voisin fermé, le mobipocket, et maintenant le KF8). Il est important que les éditeurs puissent prendre en main la réalisation des ePubs, au moins pour les nouveautés, afin qu'ils puissent se familiariser avec le format, et ne plus dépendre de structures tierces. Mais l'une des difficultés majeures demeure dans la validation des ePubs produits par les éditeurs. En effet, chaque plate-forme, outre les tests classiques tels que l'ePubcheck, dispose de certaines spécificités et d'un cahier des charges propres (taille de l'image de couverture, structuration de l'ePub, etc.). Les principaux distributeurs rencontrent de nombreuses difficultés pour assurer la mise en vente des ePubs, puisqu'il est très difficile pour un éditeur de connaître l'ensemble des spécifications de chaque plate-forme de vente. Pour cette raison, nous avons mis en place, depuis plusieurs mois, un service de validation des ePubs éditeurs, qui permet à chaque éditeur de s'assurer de la validité des ePubs produits, avec des corrections éventuelles que nous traitons, afin qu'il ne puisse pas y avoir de problème lors de la mise en vente."

"Après un conflit de plusieurs mois, la plateforme de vente en ligne et l'éditeur français sont parvenus à un accord. Amazon et Hachette s'opposaient sur le prix de vente des livres numériques de l'éditeur aux États-Unis. Amazon voulait imposer une baisse du prix des livres et n'avait pas hésité à utiliser des mesures de rétorsion, comme l'allongement des délais de livraison ou l'impossibilité d'effectuer une précommande sur les livres publiés par Hachette. L'accord, qui sera effectif début 2015, laisse la possibilité à Hachette de choisir ses tarifs, mais incite l'éditeur à pratiquer des baisses de prix. Le conflit a mis en évidence la position dominante d'Amazon dans le secteur des ventes des livres et deux syndicats d'auteurs américains, l'Authors Guild et Authors United sont en train d'engager une procédure d'enquête à ce sujet auprès du département de la Justice aux États-Unis." Source : http://www.nytimes.com/2014/11/14/technology/amazon-hachette-ebook-dispute.html

"2014 est une bonne année pour TEA puisque les ventes ebooks ont augmenté de plus de 60% ! Le catalogue atteint plus de 180 000 références. Les catégories littérature française et polars représentent près de 50% des ventes et la Romance atteint le trio de tête."

"Un peu moins de cinq ans après la sortie de l'iPad, les ventes de tablettes ont reculé pour la première fois fin 2014. Selon le cabinet d'études IDC, elles ont baissé de 3,2% au quatrième trimestre. Seulement 76,1 millions d'unités ont ainsi été écoulées pendant la période des fêtes, contre 78,6 millions fin 2013. De quoi remettre en cause les prédictions qui voyaient les tablettes rapidement dépasser les PC en termes de ventes."

"2015 a été une année charnière dans l'histoire de TEA, notamment grâce au lancement de CARE, première implémentation en Europe de la spécification LCP, et à l'accueil d'un nouveau partenaire, Chapitre.com. Le bilan côté ventes ebooks est aussi très positif puisque qu'elles ont augmenté de 50% ! Le catalogue atteint plus de 230 000 références. Les catégories Littérature française et Polars représentent toujours près de 50% des ventes et la Romance s'installe dans le trio de tête, sans encore dépasser les deux autres rayons."

"Les ventes de livres numériques enregistrent une légère hausse en Allemagne, à l'issue du troisième trimestre de l'année : elles représentent désormais 5,3 % des ventes totales de livres. En un an, la croissance se chiffre à 6,9 % par rapport aux résultats de l'année passée, un ralentissement assez impressionnant depuis 2013 et ses 62,6 % de hausse par rapport à 2012."

"Selon les données du cabinet GfK pour le premier trimestre 2013, les Pays-Bas accusent une légère baisse du chiffre d'affaires dans le secteur du livre, avec les ventes de best-sellers qui accusent le coup. Mais le marché du livre papier, avec 1,4 % de recul sur son CA connaît cependant un vrai bond du côté des ouvrages numériques."

"Digital Book World, qui établit une liste régulière des meilleures ventes de livres numériques vient de présenter un classement des éditeurs, sur l'ensemble du premier trimestre 2013. Avec 88 titres présents dans la liste, l'éditeur accaparerait en effet 27 % des places."

"Ce samedi 27 avril jusqu'à minuit, Vivants d'Isaac Marion (éditions Bragelonne) sera vendu 0,99 € au lieu de 9.99 €. Rendez-vous sur ePagine pour consulter ce titre. Faisant suite aux précédentes opérations qui ont fait beaucoup parler d'elles, les éditions Bragelonne proposent dès demain un nouveau rendez-vous à leurs lecteurs. Appelé ailleurs « vente flash », celui-ci est rebaptisé ici « Saturday Book Fever » (ou #sbf pour les utilisateurs de twitter)." Une nouvelle forme de vente flash qui dit moins son nom.

"Francis Esménard, PDG des Editions Albin Michel, a révélé dans le magazine Livres-Hebdo vendredi dernier, que les ventes numériques réprésentait d'ores et déjà 3% du chiffre d'affaires de la maison. "C'est ce que nous avons prévu et qui nous convient, d'autant que cela ne se fait pas au détriment du papier". Un chiffre d'affaire global d'Albin Michel en hausse de 3,5% en 2012."

"Basée sur un panel d'interviews d'acteurs représentatifs du marché et sur une analyse de données publiques, la version mise à jour de cette étude a été présentée au « Digital Book World », la semaine passée." Beaucoup d'informations, par exemple "les ventes de livres numériques ne représentent que 0,5% des ventes totales en France".

Bilan de Bowker Market Research UK, qui fait état d'un marché du livre ayant chuté de 9 % depuis 2008. Le cabinet d'analyse pointe que la valeur globale des achats, autrement dit, le panier moyen, a pris du plomb dans l'aile, au royaume de Sa Majesté... [...] Les indépendants ont permis d'accélérer l'essor des ventes [de livres numériques], note l'étude."

"Le libraire du Quartier Saint Michel compte développer ses ventes en ligne. Il propose sur son site Web des biens culturels : livres, CD, DVD, ebooks et presse numérique. Afin de booster ses ventes Gibert Joseph se lance dans le marketing participatif, le client devient un ambassadeur de la marque par le bouche à oreille."

"Et si la révolution venait de la CJUE ? La Cour de justice de l'Union européenne fait indéniablement bouger les frontières. C'est un nouveau coup de tonnerre, sans nul doute, que cet arrêt du 3 juillet 2012 ! L'arrêt a trait au droit de distribution, un droit qui s'épuise après la première vente légale d'un exemplaire physique d'une œuvre. Ainsi, lorsqu'il s'agit d'un logiciel, par exemple, et que celui-ci est vendu de manière licite, le titulaire des droits ne peut plus s'opposer à sa vente ultérieure au sein de l'Union européenne. Ce que vient d'affirmer la CJUE, c'est que « l'épuisement s'applique non seulement aux exemplaires physiques du logiciel, mais aussi aux logiciels qui sont téléchargés légalement sur le serveur de l'acheteur »."