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Home/ Numérique dans le domaine du livre/ Group items tagged Nicholas Carr

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antoinef

Du livre au web : l'usage du livre électronique diminue-t-il ? - La Feuille - 0 views

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    "L'homothétie ("c'est-à-dire reproduisant à l'identique l'information contenue dans le livre imprimé, tout en admettant certains enrichissements comme un moteur de recherche interne, par exemple") et le skeuomorphisme des liseuses (le skeumorphisme est "un élément de design dont la forme n'est pas directement liée à la fonction, mais qui reproduit de manière ornementale un élément qui était nécessaire dans l'objet d'origine", par exemple le fait de tourner les pages d'un livre électronique sur une liseuse ou une tablette) nous a fait croire, qu'en passant du papier à l'électronique, nous pourrions conserver la page du livre. Cette technostalgie n'aura eu qu'un temps. Avec le passage des pages des liseuses à l'écran des tablettes, les lecteurs sont bel et bien en train de passer de la page à l'écran. Ce n'est pas qu'une question de support ou de technologie, comme l'expliquait Nicholas Carr, mais bien un changement de dispositif qui va avoir d'importantes conséquences dans la manière dont on pense et produit du livre au format électronique. L'ebook à l'heure des tablettes ne ressemblera pas à l'ebook à l'heure des liseuses. Comme le soulignait encore Nicholas Carr, si les lecteurs de livres continuent à passer de la page à l'écran, comme le suggère une récente étude du Pew Internet, "les textes des livres finiront par être affichés dans un cadre radicalement différent de celui de la page imprimée". "
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Fred Turner : Google, Uber et l'idéologie de la Silicon Valley en treize mots... - 1 views

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    "Minitel, Dieu, Google : nous avons soumis une liste de treize mots à Fred Turner, prof à l'université de Stanford. Pour lui, la Silicon Valley est héritière des rêves hippies de l'Amérique des années 60." Extraits : "Dans les années 60, les hippies avaient une vision écologique du monde, au sens où ils voyaient le monde comme un système interdépendant. Et se mettre à l'informatique s'intégrait dans cette vision, à travers l'idée fantasmatique que les ordinateurs n'ont pas de corps, que l'information évolue dans un espace invisible. C'est une vision erronée. Les ordinateurs ont des corps gigantesques. Ils ont des serveurs. Ils faut les refroidir. Ils consomment énormément d'énergie. Leurs batteries contiennent par exemple du coltan qu'il faut extraire du sous-sol africain dans des conditions très pénibles. Il faut des humains. Même les cuisines de Google ont besoin de travailleurs. Il y a donc toujours une infrastructure matérielle qui sous-tend l'informatique. Et ceci est ignoré. Le fantasme qu'on aide la nature en travaillant dans l'informatique est faux. C'est même le contraire. Et il y a l'autre versant, la géo-ingénierie, le fantasme d'un changement technologique global. L'idée que si on trouve la bonne technologie, on pourra régler les problèmes environnementaux. Ce fantasme est très présent dans la Silicon Valley. Il est possible que la géo-ingénierie connaisse un jour de vrais succès, et ce serait bien - je pense par exemple à la capture du carbone ou à la géothermie. Mais le fantasme qu'on peut maîtriser l'environnement par la technologie nous empêche de faire le travail politique nécessaire pour que ces changements adviennent. [...] Je suis partagé. D'un côté, je pense que l'exposition à Internet rend la concentration, et donc la lecture, plus difficile. Je pense que Nicholas Carr a raison quand il dit que nous perdons une aptitude à la lecture longue. Ce qui m
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Containers and their contents - Rough Type - 0 views

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    Discussion entre Nicholas Carr et Clay Shirky à propos du livre, numérique.
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Trop de livres : quelles distinctions de valeurs faisons-nous entre les pratiques et le... - 0 views

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    "La lecture de la semaine, il s'agit d'un passage dans un magnifique article du dernier numéro de la Hedgehog Review. L'article s'intitule "Pourquoi Google ne nous rend pas stupides… ni intelligents". On le doit à Chad Wellmon. Il s'agit d'une critique du fameux livre de Nicholas Carr, Internet rend-il bête ? (issu de son fameux article, "Est-ce que Google nous rend idiot ?"). Je n'ai traduit qu'une seule partie de l'article, intitulé "Trop de livres"."
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Never Mind E-Books: Why Print Books Are Here to Stay - WSJ.com - 1 views

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    Résumé d'Actualitté : "Après quelques années de révolution numérique, et tandis que des experts ont prophétisé un avenir du livre en format ebook et parfois jusqu'à une hypothétique disparition des imprimés d'ici 2015, l'année 2012 aura connu un ralentissement de la croissance des ventes du livre électronique. Pendant que les tablettes tactiles connaissent un boum commercial, les acquisitions de simples ereaders auraient plongé de 36 %. Et selon l'écrivain Nicholas G. Carr, relayé par The Wall Street Journal, les rapports sur la mort du format traditionnel auraient été exagérés."
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Pas d'intellectuels critiques dans le numérique - InternetActu.net - 0 views

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    "Il manque au monde numérique des intellectuels critiques. Tel est le constat qu'un professeur de théorie politique américain, Henry Farrell (@henryfarrel), dresse dans le dernier numéro de la revue Democracy. Pourquoi est-ce important ? Parce dès que vous vous intéressez au numérique, vous découvrez une petite constellation d'intellectuels, américains ou travaillant aux E-U, qui tiennent le haut du pavé. Ils s'appellent Nicholas Carr, Clay Shirky, Ethan Zuckerman ou encore Jeff Jarvis. Ils tiennent des blogs très lus, écrivent des livres à succès, participent à toutes les conférences importantes, et la moindre de leur analyse fait le tour des réseaux du monde entier. Alors quand quelqu'un avance que ces intellectuels ne sont pas critiques, ça nous intéresse jusqu'ici, dans notre vieux pays."
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