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Home/ VEILLE STRATÉGIQUE EN TRANSFORMATION ALIMENTAIRE/ Group items tagged maïs

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Patrick Tirard-collet

Prix du porc : amélioration à la fin 2017 | Le Bulletin des Agriculteurs - 0 views

  • qu’il faudra attendre la fin de 2017 avant de voir la situation s’améliorer
  • Variables macroéconomiques
  • Les élections américaines et le ralentissement économiques en Chine créent de l’instabilité sur les marchés
  • ...24 more annotations...
  • L’endettement des ménages est à niveau record
  • on doit s’attendre à un dollar plutôt stable
  • La politique sur l’étiquetage du pays d’origine est plus importante
  • relation commerciale entre les États-Unis et la Chine
  • Variables liées au secteur porcin
  • 40% du maïs américain est destiné à la fabrication d’éthanol.
  • l’Europe
  • 70 000 tonnes de porcs aditionnel sur le marché européen. Ce qui
  • au point de vue macroéconomique
  • plutôt positif
  • occasion pour le Canada de se faufiller pour entrer sur le marché
  • l’offre de viandes augmente pour toutes les protéines animales, et ce, plus vite que l’accroissement de la population
  • Malgré l’augmentation des prix en 2014 et 2015, le consommateur a continué à manger de la viande rouge
  • la diminution des prix n’entraînera pas nécessairement une plus grande consommation.
  • continuer de miser sur les marchés d’exportation pour 2017 
  • augmentation des exportations de 8% en 2016
  • la Chine reste quand même l’une des clés en terme de profitabilité
  • capacité d’abattage aux États-Unis. Or, l’augmentation de capacité d’abattage est significative. L
  • Au niveau de l’entreprise
  • regarder le coût d’alimentation animale
  • . La production augmente partout dans le monde.
  • , les entreprises auraient atteint le creu en terme de ratio porc/maïs
  • profitabilité serait donc au rendez-vous en 2017
  • Le dollar canadien reste primordial. S’il monte de 10% par rapport au dollar américain, on parle d’une diminution des marges de 2,5%
Marie-Christine Boucher

Campbell modifiera ses étiquettes aux États-Unis - 1 views

  • McDonald’s a déjà annoncé qu’il ne l’utiliserait pas
  • À compter du mois de juillet, les produits alimentaires vendus au Vermont devront déclarer la présence d’OGM.
  • Le Vermont devient donc le premier État américain à imposer l’étiquetage obligatoire.
  • ...5 more annotations...
  • À partir de 2018, ceux qui vendent leurs produits dans les épiceries Whole Foods des États-Unis et du Canada devront faire de même.
  • « À cette étape, l’étiquetage obligatoire des OGM ne concerne que les produits vendus aux États-Unis
  • étant donné que 90 % du soya, du maïs et du canola cultivés au Canada sont génétiquement modifiés, les produits Campbell contenant ces ingrédients peuvent contenir des OGM
  • Au Québec, le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, Pierre Paradis, a de nombreuses fois évoqué la possibilité d’imposer l’étiquetage obligatoire des OGM.
  • Il y a des problèmes en ce qui concerne l’environnement, mais pas pour la santé. 
Patrick Tirard-collet

Revue des marchés 2016, suite et fin | Le Bulletin des Agriculteurs - 0 views

  • production exceptionnelle de maïs américain à l’automne
  • marché du soya à Chicago aura fait bande à part, atteignant son creux 2016
  • Malgré une mauvaise récolte en Europe, et un manque à gagner du côté de l’Inde, les surplus s’accumulent toujours
Patrick Tirard-collet

Elevage bovin et changement climatique - 0 views

  • l’activité d’élevage incluant les maillons production-transport-transformation représente 14,5% des émissions de gaz à effet de serre
  • L’élevage de ruminants représentant 72% des émissions de la filière, il contribue par ses productions (viande et lait) à l’équivalent de 10,4% des émissions mondiales, dont 5,1% liés à l’élevage allaitant, 4,3% à l’élevage laitier et 1,0% à l’élevage des petits ruminants
  • L’Irlande,
  • ...27 more annotations...
  • la moitié des fermes irlandaises (45 000 fermes viande, 18 000 fermes laitières) qui ont fait l’objet d’une évaluation des impacts environnementaux à l’aide de l’outil "Carbon navigator".
  • L’Italie,
  • L’agriculture, dont les émissions de GES ont baissé de 16% entre 1990 et 2012, contribue à hauteur de 8% aux émissions nationales (50% provenant de l’élevage).
  • réduction des effectifs animaux (6%) et à une baisse du recours aux engrais de synthèse (15%
  • contribue à hauteur de 9% aux émissions nationales de GES
  • l’agriculture,
  • Aux Pays-Bas
  • une meilleure valorisation agronomique des déjections animales et à une meilleure efficience de la gestion azotée, a permis de réduire de 20% les émissions de GES du secteur
  • En Nouvelle-Zélande
  • l’agriculture contribue à 7% des émissions de GES nationales
  • Un outil intitulé "Farm Smart" a été développé afin de déterminer la contribution aux émissions et construire des plans d’action en ferme
  • le programme "Cow of the future" porté par les professionnels de la filière vise à optimiser la gestion des troupeaux (productivité, résistance aux maladies…) et de leur alimentation (efficience de la ration) avec l’objectif de réduire les émissions de méthane entérique.
  • Aux États-Unis
  • l’agriculture, qui repose essentiellement sur l’élevage de ruminants, contribue à hauteur de 50% aux émissions de GES nationales
  • le gouvernement ambitionne de réduire de 20% les émissions de GES en 2020
  • techniques concernent les mélanges prairiaux améliorant la digestibilité et réduisant les émissions de méthane, l’amélioration génétique
  • Au niveau français
  • contribution de l’agriculture aux émissions nationales de GES est évaluée à 18%
  • dont 8% relèvent de l’élevage de ruminants
  • du cheptel laitier permise par l’augmentation de la productivité laitière
  • réduction des émissions de GES du secteur bovin de 14% entre 1990 et 2010
  • L’agriculture émet essentiellement du protoxyde d’azote (N2O), du méthane (CH4) et du dioxyde de carbone (CO2).
  • l’élevage de ruminants possède la particularité de valoriser des surfaces importantes de prairies ayant la capacité de stocker de fortes quantités de carbone dans les sols
  • prairie permanente fait aussi bien que les sols forestiers et beaucoup mieux que les vergers
  • Ainsi en 2030, au-delà du maintien des prairies permanentes, des haies, des prairies temporaires et du retour au sol des déjections animales, plusieurs pratiques additionnelles seront mises en place en élevage bovin: Allongement de la durée des prairies temporaires ; Développement de l’agroforesterie sur prairies permanentes et terres cultivées ; Implantation de haies bocagères sur prairies permanentes et terres cultivées ; Mise en place de cultures intermédiaires avant culture de maïs sur les exploitations hors zone vulnérable.
  • en France, les émissions "brutes" de GES (sans prise en compte du stockage/déstockage de carbone) s’élèvent en moyenne à 14,3 kg CO2 eq / kg de poids vif
  • Avec la prise en compte du stockage de carbone des prairies et des haies et du déstockage sur cultures annuelles, l’empreinte carbone nette moyenne de la viande est de 8,7 kg CO2 eq / kg de poids vif.
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