Le Corps - Innovation Numerique

"Avec le tatouage centralisateur de mot de passe ou la pilule à ingérer, Motorola pourrait remédier au casse-tête des mots de passe oubliés. Au prix d'une stratégie digne de Georges Orwell."

"Le rapport d'ON World insiste sur la place prépondérante que les appareils mobiles sont amenés à prendre dans le cadre de la santé. 60% des produits analysés par les auteurs de l'étude ont été lancés en 2012, et 43% d'entre eux sont consacrés à la surveillance du taux de glucose dans le sang, des signes vitaux d'une personne ou encore font office d'électrocardiogramme. Une autre étude liée d'ON World auprès de consommateurs américains indiquait par ailleurs que de plus en plus de consommateurs se déclarent intéressés par la gestion de leur bien-être et de leur suivi sportif. 40% des consommateurs seraient ainsi tentés par l'achat d'une montre intelligente, et la moitié d'entre eux le ferait dans un but de monitorage de leur santé, plus particulièrement pour calculer leur pression artérielle et leur rythme cardiaque."

"Les interfaces tactiles sont-elles déjà dépassées ? C'est la question que pose le Smashing Magazine dans un récent article illustré d'interfaces d'applications mobiles qui prônent la suppression des éléments d'interface traditionnels (boutons, menus…) : Beyond The Button, Embracing The Gesture-Driven Interface. Si l'on peu difficilement anticiper la disparition des interfaces tactiles (qui font encore largement référence), les choses sont en train de bouger pour la prochaine génération d'interface, les interfaces gestuelles, qui font de plus en plus parler d'elles."

"Les robots font lentement leur trou dans les emplois de service."

Documentaire sur l'homme augmenté, les cyborgs, ... Visible pendant 7 jours

Résumé Le Monde Des entrepreneurs new-yorkais ont eu l'idée de réunir les approches des réseaux sociaux et du jeu vidéo dans une application mobile dédiée à la pratique sportive. Fitocracy, disponible sur IOS et Android, et déjà téléchargée par un million d'utilisateurs, transforme l'activité physique en un jeu dans lequel on peut gagner des points, passer au niveau supérieur, gagner des badges. Plutôt que de valoriser la performance pure, Fitocracy se concentre sur la notion de progrès, en encourageant les utilisateurs à en faire "juste un peu plus". Selon Brian Wang, directeur de la start-up, "nous aidons (les utilisateurs) à célébrer les petites victoires et à se sentir toujours plus motivés."

"L'idée de base de la biologie synthétique est de construire autour du gène une série de compilateurs, de langages de haut niveau, voire des systèmes d'exploitation susceptibles de rendre invisible la structure chimique du gène, pour se concentrer sur sa fonction. Ainsi, comme l'explique Omri Amirav-Drorydans, créateur d'un "Genome Compiler" dans une vidéo, personne ne code plus ses programmes en utilisant des chaines de 1 et de 0. Pourtant, lorsqu'on entre dans le domaine de la biologie, il faut continuer à travailler avec les composants de bases A, C, G, et T ce qui est particulièrement complexe. "

"Sun Jifa, un agriculteur de la province du Jilin (nord-est de la Chine), est devenu une star à l'échelle nationale : ayant perdu ses mains il y a neuf ans en pêchant à l'explosif, cet homme de 53 ans s'est fabriqué ses propres prothèses afin de pouvoir continuer à travailler dans son exploitation. Complètement autodidacte, il assure avoir depuis vendu plus d'un millier de prothèses artisanales, à un dixième du prix auquel s'acquiert normalement ce type de membre artificiel en milieu hospitalier."

"Tous les grands noms de la tech planchent actuellement sur les prochaines générations d'équipements connectés , à porter directement sur soi, et Tim Cook a son avis sur la question. Ces produits seront « une branche très importante de l'arbre », a lancé le patron de la marque à la pomme. « Je pense qu'il va y avoir beaucoup d'entreprises qui vont se lancer sur ce terrain ». Aujourd'hui, celui qui porte un FuelBand en estimant que Nike a fait du « bon boulot », constate qu'« il y a beaucoup de gadgets sur le marché, mais rien de vraiment bon. La plupart de ceux qui sont bons ne font qu'une seule chose. Ceux qui font plusieurs choses ne font rien de particulièrement bien ». Quant aux Google Glass, deja presentees au public par le moteur de recherche, elles ont des qualités, selon Tim Cook, mais ciblent la mauvaise partie du corps et ne pourraient capter que certains marchés. « Je porte des lunettes parce que je dois en porter. Je ne connais pas beaucoup de personnes qui en portent sans être obligées de le faire. Il faut qu'elles soient légères, discrètes et qu'elles reflètent leur style. Je ne pense pas qu'elles puissent devenir un produit de consommation de masse. » En revanche, « je pense que le poignet est intéressant. Le poignet est naturel ». Un postulat qui semble confirmer les recherches d'Apple sur une « smart watch », une montre intelligente que la planète geek pense avoir apercue dans un spot publicitaire pour l'iPhone . Mais Tim Cook n'en dira, là encore, guère plus. Quand son interlocuteur lui demande si « Apple sera l'une des sociétés à explorer le marché » des « wearables », les équipements connectés portables, il dit : « Je ne veux pas répondre à cette question ». L'enjeu, souligne Tim Cook plus tard, est de « convaincre les gens que cela vaut la peine d'être porté ». Car la plupart des jeunes ne portent pas de montres o

Courir sans se faire mal, c'est possible à vélo, mais debout !

Nos étoffes deviendront-elles un jour aussi smart que nos téléphones ? La fringue connectée n'a pas seulement balisé le terrain pour le prêt-à-porter 2.0, elle a aussi inspiré le développement des habits intelligents, symbolisés par les créations de Studio Roosegaarde.

Angélina Jolie a fait le choix d'une double mastectomie pour prévenir un risque très élevé de cancer du sein et des ovaires, 87%, du à la présence dans son adn du gène BRCA1. Après ces deux opérations, le risque n'est plus que de 5%. Angélina Joie a aussi fait le choix de l'annoncer dans le New-York Times

Polémique entre Laurent Alexandre, Doctissimo, DNA Vision, et un collectif international de scientifiques autour d'une tribune du premier sur un projet chinois de détection des gènes de l'intelligence.  Réponse trés argumentée d'Alexandre à ses détracteurs, avec lesquels au final il est d'accord ...

"Si les jeux vidéos sont parfois décrits comme mauvais pour les enfants, ils seraient au contraire bons pour les plus de 50 ans, mobilisant et améliorant leurs facultés cognitives, affirme une étude américaine publiée mercredi 1er avril. Les centaines de personnes de plus de 50 ans observées par des chercheurs de l'Université de l'Iowa ont montré des signes d'amélioration de leurs capacités cognitives et de recul de plusieurs années du déclin lié à la vieillesse. "

"Standard tissue engineering involves seeding types of cells, such as those that form ear cartilage, onto a scaffold of a polymer material called a hydrogel. But the researchers said that this technique has problems replicating complicated three-dimensional biological structures. Ear reconstruction "remains one of the most difficult problems in the field of plastic and reconstructive surgery," they wrote. To solve the problem, the team turned to 3D printing, its first use to interweave tissue with electronics, the researchers say. The technique allowed them to combine the antenna electronics with tissue within the highly complex topology of a human ear. (Top) Optical images of the functional materials, including biological (chondrocyte cells), structural (silicone), and electronic (AgNP-infused silicone) used to form the bionic ear. (Bottom) 3D printer used for the printing process. (Credit: Manu S Mannoor et al./Nano Letters) The researchers used a Fab@Home 3D printer to combine a matrix of hydrogel and calf cells with silver nanoparticles, which form an antenna. The printed bioelectronic hybrid ear construct was then cultured in vitro to enable cartilage to grow" Support for the project was provided by the Defense Advanced Research Projects Agency, the Air Force Office of Scientific Research, NIH, and the Grand Challenges Program at Princeton University.

Heather Dewey-Hagborg est artiste. Plus précisément, elle prépare un doctorat en arts électroniques à New York. Elle a aussi étudié la biologie moléculaire. Et en quelques années, elle a ramassé toutes sortes d'objets et de résidus humains trouvés dans la rue ou des lieux publics. Des mégots, des chewing-gums, des cheveux, des ongles. (...) Ensuite, elle a fait analyser ses trouvailles en laboratoire et à partir de l'ADN trouvée dessus, a pu en savoir plus sur leurs propriétaires : - leur origine ; - la couleur de leurs yeux ; - leur sexe ; - leur poids approximatif

"An emerging tech-driven industry is trying to merge man and machine. Yet we have barely begun to understand what constitutes our humanity."

"La saison 2, en cours de tournage et la saison 3, en cours d'écriture, vont pouvoir développer et préciser ce thème. Avec pas moins de trois catégories de hubots en présence. Ceux qui resteront au stade d'appareils de confort à l'apparence humaine. Ceux qui auront été libérés grâce au programme de David Eischer. Et, enfin, les hubots clones d'humains décédés. Tout cela au milieu des humains à 100%..." " A la question de la définition de l'humanité, que posent crûment les relations que les hommes peuvent entretenir avec des machines, s'ajoutera celle d'une nouvelle définition de la mort. Les êtres humains accepteront-ils plus facilement, ou trop facilement, de mourir s'ils savent qu'ils renaîtront via leur clone? Quelle relation entretenir avec le clone de la personne aimée ou d'un enfant? Quels rapports entre les hubots libérés et les hubots clones?"

"Mais entre faire repousser un morceau de phalange et un doigt voire un membre entier, il y a un monde. Même si, comme les salamandres, l'embryon humain peut recréer entièrement un bras coupé, cette capacité de régénération est mise en sommeil par la suite et le corps ne connaît plus qu'un procédé nettement plus sommaire, la cicatrisation. Pour l'heure, même s'il a obtenu des résultats encourageants sur des souris, Stephen Badylak sait qu'il ne peut remonter le Meccano complexe d'un doigt humain entier, avec ses os, ses articulations, ses muscles, ses tendons, ses vaisseaux sanguins, etc. Mais il sait également que la demande de « réparation » est immense dans un pays en guerre comme les Etats-Unis. Il a donc collaboré avec l'armée sur une étude impliquant des soldats revenus blessés d'Irak et d'Afghanistan, tout en continuant à tester les limites de sa matrice extracellulaire sur d'autres tissus."