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Véronique Ginouvès

Jemaa el fna: Appellation de la place - 0 views

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    "Au début du XVIIIème siècle, la place est pour la première fois mentionnée dans une chronique en tant que lieu de spectacle, à travers la référence à la halqa, cette sphère créée entre le conteur et son public. Par-delà le divertissement, c'est toute la société marocaine de l'époque que l'historien al-Youssi dépeint dans ses différentes composantes, ethniques et linguistiques, rurales et citadines. Survolons les siècles jusqu'à l'année 1921, date à laquelle un arrêté viziriel de Mohamed El Mokri propose pour la première fois le classement de Jemaâ el Fna parmi les sites à sauvegarder. La place commence à prendre l'aspect actuel : les bâtiments de la poste et de la banque du Maroc viennent d'y être aménagés, plusieurs hôtels et cafés-restaurants sont ouverts autour de la place. Mais la promulgation du dahir interdit toute construction qui mettrait en péril l'identité de Jemaâ el Fna. Le travail architectural du lieu consiste à optimiser l'espace en dedans, l'idée étant que le spectacle est sur la place. C'est tout le peuple qui fait l'attrait de cet endroit légendaire. En 1985, la médina de Marrakech et donc la place Jemaâ el Fna qui en fait partie intégrante sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. En mai 2001,Jemaâ el Fna est proclamée patrimoine oral et immatériel de l'Humanité. Les activités de la place sont issues d'une tradition ancestrale, en perpétuel renouvellement, liées à la ville. De plus elle constitue un témoignage unique d'une tradition vivante mais menacée. "
Véronique Ginouvès

Nouveaux regards sur l'interprétation et les centres d'interprétation - 0 views

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    "Dans un dossier déjà ancien de la Lettre de l'OCIM (n° 61, 1999), nous avions publié une série de textes sur l'interprétation 1. L'interprétation y était décrite comme une notion singulière, polysémique, mais plutôt appétissante au point d'être de plus en plus employée dans le monde des musées. Parler dorénavant d'un équipement en précisant qu'il s'agit d'un centre d'interprétation (et non pas d'un musée) ou d'un parcours d'interprétation et non pas d'un sentier pédagogique ou d'un itinéraire de découverte est devenu presque banal. Certes, le flou de la notion de musée et les difficultés de désigner une offre culturelle aménagée hors d'un bâtiment dédié à cet effet appellent à renouveler le vocabulaire de la communication. Rappelons pourtant que les centres d'interprétation ne sont nouveaux qu'en Europe puisque c'est sur le modèle des parcs nationaux, de l'autre côté de l'Atlantique, qu'ils ont été importés vers la fin des années 1970."
Véronique Ginouvès

Le Cor des Alpes suisses en concert à la place Jamaâ El Fna - 0 views

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    " Grand ensemble de l'Académie suisse des Cor des Alpes mettra le cap la semaine prochaine sur Marrakech et Essaouira, avec à l'affiche des concerts envoûtants sur la mythique place Jamaâ El Fna à Marrakech, à Essaouira ou encore à Imlil, au pied de l'imposante montagne de Toubkal. "C'est l'une des rares représentations en dehors de la Confédération helvétique pour ce groupe d'amateurs désireux de promouvoir un instrument traditionnel plein de symboles tout en faisant appel à l'amitié, aux cinq sens et à la culture", a déclaré à la MAP le président de l'Académie, Francis Scherly."
flomaz

Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralité invent... - 0 views

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    Article d'une intervention colloque "La réinvention du "lien" en Méditerranée. Figures, formes, métamorphoses à Marrakech. Abdelmajid Arrif, La place Jamaâ Lafna, lieu patrimonial d'une oralite inventive «Actualiser, c'est conférer une fonction temporelle à ce qui est "hors du temps". Prise comme une finalité déterminante de la muséographie, l'actualisation est une manière de combler l'intemporel.Or, le temps est inactuel. Il est rendu actuel par l'effet voulu d'une simultanéité temporelle que produit le mirage d'une équivalence représentative entre le passé et le présent, dans la mise au futur de la transmission. Cette gestion anticipée du temps, développée par le traitement patrimonial du devenir des cultures, annule toute possibilité d'accident de la transmission. Anticiper ce qui doit se transmettre, c'est gouverner le processus d'actualisation ensupprimant la puissance de l'inactuel. (…) Si la transmission du sens semble bien se construire (et le musée en serait une preuve parmi d'autres), elle demeure pourtantimprévisible, elle est un appel à l'inconnu.3»
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    Marrakech, actes du colloque (2011) à paraitre...
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