Group items tagged

"La ministre de la culture veut offrir un passe à tous les jeunes de 18 ans. Mais quel doit être son contenu ? « Star Wars » ? Netflix ? Des places de théâtre, d'opéra ? Notre reporter Culture Sandrine Blanchard met en lumière les contradictions de ce débat."

"Un sondage de l'Ifop pour le quotidien « Le Monde », publié à la veille de l'Assomption, et reprenant des questions déjà posées en 1988, montre une relative persistance de la culture chrétienne au sein de la société, mais aussi une nette diminution de cette culture chez les moins de 35 ans."

"La mission d'une université catholique consiste à former des étudiants qui soient « la conscience critique de la culture actuelle au service de la citoyenneté et du bien commun mais aussi de cette personne que nous portons dans notre cœur qui s'appelle le Christ », estime le cardinal Bertello."

"En ce temps de crise, le pape François met en garde contre les dangers de la déception, de la désillusion, qui paralysent « l'intelligence et l'action »,font fuir la réalité. Il désigne pour cela l'université comme un antidote : « un lieu d'élaboration et de transmission du savoir, de formation à la « sagesse » dans le sens le plus profond du terme, d'éducation intégrale de la personne ». Parce qu'elle est un lieu de « discernement » où l'on nourrit « l'espérance », où s'élaborela culture de la proximité, du dialogue, un lieu de formation à la solidarité, explique le pape. Le pape François avait en effet rendez-vous avec le monde de la culture, dimanche après-midi, 22 septembre, à Cagliari, dans l'auditorium de la faculté pontificale de théologie régionale, dirigée par les jésuites, en présence des professeurs et étudiants des universités publiques de Sardaigne. Voici notre traduction intégrale du texte du pape, à partir du texte écrit préparé, en italien, et publié par le Saint-Siège, complété par les incises improvisées sur le moment, d'abondance du coeur."

"A la rentrée 2014, la faculté de théologie de l'Université catholique de Lyon proposera un nouveau master appelé "Annonce, dialogue et cultures contemporaines"."

"Nous ouvrons au mois de septembre un « Café culturel catholique et espace de co working » : Le Simone . Il s'agit d'un café associatif jouxtant un espace de coworking, c'est-à-dire un lieu de travail qui accueille une communauté d'auto-entrepreneurs, de créateurs d'entreprise et de travailleurs indépendants. "Culture, convivialité et création" sont les trois grands piliers du projet Simone. "Culture" car nous voulons nourrir la soif de savoir qui existe aujourd'hui chez les jeunes. Même si notre génération se sent déshéritée, le désir de redécouvrir notre patrimoine culturel nous anime, comme en témoigne le mouvement des Veilleurs (deux des co-fondateurs sont membres des Alternatives Catholiques). simone 3"Convivialité" car nous désirons nous ouvrir au monde, créer une ambiance propice au partage et au débat. L'espace de coworking permet de rompre la solitude des travailleurs et de produire une émulation féconde. Selon Ivan Illich, la convivialité est un mot très précis : c'est ce qui permet à nos existences de n'être pas limitées au travail, en les ouvrant à la dimension anthropologique fondamentale de la relation à l'autre."

"Lorsque que les acteurs du patrimoine, démunis après la période du confinement, ont demandé au ministère de la Culture une aide au titre du plan de relance, une polémique a surgi sur les réseaux sociaux. Polémique nourrie par ceux qui pensent que l'argent doit aller d'abord au secours des personnes plutôt qu'aux pierres, aussi vieilles soient-elles."

"Le commissaire européen à l'éducation et à la culture, Tibor Navracsics, préconise un renforcement de « l'attrait social » du programme Erasmus et invite à cet égard les États membres à octroyer les fonds nécessaires. "

Depuis quelques mois, de prestigieuses universités ouvrent gratuitement leurs cours en ligne au public. Au carrefour de l'enseignement, du marketing et de la créativité numérique, le phénomène prend de l'ampleur aux États-Unis et se développe en France.

"Le bénévolat, l'engagement, une culture, un état d'esprit ! Camille Mejat est Volontaire Civique au Secours Catholique du diocèse d'Annecy. Elle est chargée, de missions pour les actions internationales et pour le développement du réseau jeunes, un challenge exaltant. "

"Ils étaient 60, venant de toute l'Europe, réunis en Alsace, du 30 mai au 2 juin 2016. Leur point commun ? L'engagement : ils avaient tous entre 18 et 27 ans et se sont impliqués pendant 10 mois dans une mission d'intérêt général (la solidarité, la santé, l'éducation pour tous, la culture et loisirs, l'environnement, la mémoire et citoyenneté) au travers d'un programme de volontariat européen (Service Civique, Service Volontaire Européen, Internationaler Jugendfreiwilligendienst)."

"La ville est une matrice lumineuse et obscure à la fois. Elle peut se transformer en Babel, le lieu où les hommes sont juxtaposés sans se comprendre, parlant des langues différentes, ou en Jérusalem, la ville de la paix, de lumière et d'espérance, où chacun trouve sa place, en adéquation avec son voisin. Cette problématique était au cœur de la rencontre du « parvis des étudiants », organisée lundi matin par le Conseil pontifical pour la Culture au MAXXI de Rome, le Musée national des arts du XXI° siècle. Les intervenants ont été écoutés par un public de lycéens. "

"A Rome, ce lundi matin, le Musée national des arts du XXI° siècle accueillera une nouvelle édition du Parvis des Gentils consacrée spécialement aux étudiants. Cette initiative se situera dans le cadre du dialogue entre croyants et non-croyants lancé sous les auspices de Benoît XVI en 2011 dans un contexte de forte sécularisation en Europe. La première édition s'était déroulée à Paris : à la Sorbonne, à l'Unesco, à l'Académie française et à Notre Dame. Les Parvis des Gentils sont organisés par le Conseil pontifical de la Culture."

"La congrégation des Sr de la Croix de Chavanod propose aux jeunes de 18 à 35 ans de vivre cette expérience indienne Découvrir une autre culture dans toutes ses diversités et ses richesses... Kérala 2015 "

"Le rassemblement national étudiant qui vient de se tenir à Grenoble sous l'enseigne d'Ecclésia Campus devrait retenir l'attention de tous ceux qui sont impliqués dans une même mission d'évangélisation. L'expérience passée montre que c'est à cette période de la vie que se prennent souvent les grandes décisions, tandis que la foi personnelle mûrit en préparant les engagements les plus solides. C'était la conviction de notre grand ami, l'historien Yves-Marie Hilaire qui vient de nous quitter et qui avait vécu, juste après guerre, les grandes heures du Centre Richelieu fondé par l'abbé Maxime Charles. Des générations entières se sont ainsi formées grâce à un approfondissement intellectuel et une pratique assidue de la prière. Certes, le cours des temps modifie les mentalités au gré des transformations de la culture. Il y a eu bien des crises et des reprises dans les aumôneries étudiantes exposées aux oscillations de la société et à celles de la pensée. Leur vitalité a été souvent en prise directe avec leur réactivité intellectuelle et spirituelle."

Diocèses Toulouse Conférences et ateliers sur les jeunes adultes et l'évangélisation par le numérique CS - Vu le 18/11/2011

"Les étudiants interrogés «sont de plus en plus pragmatiques» observe Didier Mayon, directeur des études de Campus France. Ce qui compte c'est un peu moins la langue française, la culture française, un peu plus la qualité des enseignants et des enseignements ainsi que la qualité des méthodes d'enseignement. Les principales raisons du choix de la France sont ainsi la qualité de la formation pour 51%, la connaissance de la langue française pour 42%, la réputation des établissements ou des enseignants en France pour 37%, la valeur des diplômes pour 35% et l'intérêt culturel pour 35%. A l'issue de leur séjour en France 89% des étudiants présents et 91% de ceux ayant achevé leurs études en sont satisfaits ou très satisfaits. L'art de vivre en France, les possibilités de sorties et de découverte en séduisent plus de 80%. Parallèlement, 86% sont à l'usage satisfaits de la qualité de l'enseignement et de la valeur des diplômes, 80% des méthodes d'enseignement et 77% de la qualité des infrastructures sur le campus, mais aussi 77% du coût des études." Les motifs d'insatisfaction sont à lire dans l'article.

"Meilleur encadrement, meilleur taux de réussite… Le succès des universités catholiques s'explique aussi par un rapport au savoir plus humain et moins technocratique. Sur près de 2,5 millions étudiants inscrits dans l'Enseignement supérieur en France, les cinq grandes universités catholiques de Paris, Lyon, Lille, Toulouse et Angers en rassemblent 62 000. Une goutte d'eau, mais qui ne cesse de grossir. Depuis 2012, les instituts catholiques ont gagné presque 20 000 étudiants (soit + 30 %). Des filières novatrices et bien encadrées, de petits effectifs qui tranchent avec l'anonymat des amphis surpeuplés, des partenariats qui ouvrent les cursus à d'autres horizons, l'attention portée à la culture générale… Si très peu d'étudiants s'inscrivent pour des motifs religieux, la plupart viennent pour cet esprit maison hérité de la tradition catholique."

" Ayez le courage d'être heureux » : c'est l'exhortation lancée par le Pape François dans son message adressé aux jeunes à l'occasion de la Journée mondiale de la jeunesse 2015 qui aura lieu comme tous les ans le dimanche des Rameaux. Sur la route de Cracovie et des JMJ 2016, le Pape a décidé de poursuivre sa réflexion sur les Béatitudes, développant la sixième Béatitude : « heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt, 5,8). Le Pape François invite les jeunes à refuser la culture du provisoire et à être révolutionnaires."

"Qu'avons-nous fait de la libération sexuelle ? Thérèse Hargot, philosophe et sexologue intervenant en milieu scolaire depuis une dizaine d'années, s'interroge face à la jeunesse d'aujourd'hui. Banalisation de la « culture porno », course à la performance, défiance à l'égard de la contraception, retour des stéréotypes, obsession de l'orientation sexuelle… Si les jeunes se sentent sexuellement libérés, ils sont prisonniers de nombreux diktats. Quelle est cette liberté qui condamne à choisir en permanence son identité, ses amours, ses pratiques comme n'importe quel produit de consommation ? Fondé sur de nombreux témoignages, ce livre ose affronter de vraies questions exprimées par les adolescents et les jeunes adultes. Il invite à repenser l'apprentissage de la vie affective, relationnelle et sexuelle, pour devenir soi-même afin d'entrer en relation avec les autres."