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"A l'Appart', les étudiants de Cergy se sont réunis afin de préparer les Hope'N Dinners : 3 dîners ouverts au plus grand nombre pour partager autour de thèmes existentiels tels que « Qu'est-ce que réussir sa vie ? »..."

"Qu'avons-nous fait de la libération sexuelle ? Thérèse Hargot, philosophe et sexologue intervenant en milieu scolaire depuis une dizaine d'années, s'interroge face à la jeunesse d'aujourd'hui. Banalisation de la « culture porno », course à la performance, défiance à l'égard de la contraception, retour des stéréotypes, obsession de l'orientation sexuelle… Si les jeunes se sentent sexuellement libérés, ils sont prisonniers de nombreux diktats. Quelle est cette liberté qui condamne à choisir en permanence son identité, ses amours, ses pratiques comme n'importe quel produit de consommation ? Fondé sur de nombreux témoignages, ce livre ose affronter de vraies questions exprimées par les adolescents et les jeunes adultes. Il invite à repenser l'apprentissage de la vie affective, relationnelle et sexuelle, pour devenir soi-même afin d'entrer en relation avec les autres."

"La sexologue Thérèse Hargot n'y va pas avec le dos de la cuillère quand elle s'en prend à la libéralisation sexuelle, qui rend soi-disant libre, mais exerce une pression et génère l'angoisse. Depuis douze ans qu'elle intervient en « éducation affective et sexuelle » auprès des petits-enfants de la génération 68, elle a tout entendu (ou presque). Dans un essai sociétal vivant, elle alerte sur la progression exponentielle de la pornographie via les smartphones et tacle le tout-contraceptif qui réduit l'amour au plaisir immédiat. Elle s'en prend aux parents « cools » qui énoncent des injonctions contradictoires - « L'amour c'est beau, mais protège-toi » - , comme aux discours moralisateurs ou hygiénistes qui tombent à côté de leur cible. Mais la sexologue, philosophe de formation, dénonce aussi la saturation d'informations sur les questions sexuelles. Éduquer à la sexualité ? À devenir une personne, plutôt, car « avant d'être avec quelqu'un, il faut être quelqu'un ». Un ouvrage décapant, qui invite tout éducateur à clarifier son rapport à l'amour. "

"Banalisation de la pornographie, (tyrannie de la jouissance…( La révolution sexuelle n'a-t-elle pas, finalement, imposé des diktats ?( Sexologue et intervenante en milieu scolaire, Thérèse Hargot s'interroge( dans un livre* qui vient de paraître. "

"Il y a vingt ans, Jacques Chirac annonçait aux Français la suspension du service militaire. Après les attentats du 13 novembre, une large majorité de Français plébiscitent son retour."

"Faire dialoguer les disciplines, mieux articuler la théorie et la pratique : tel est la conviction de l'université catholique, pour éviter la marchandisation des savoirs et retrouver le sens du bien commun. Entretien avec Dominique Vermersch, recteur de l'Université catholique de l'Ouest à Angers."

"Hors norme, voici une aumônerie qui réunit chaque semaine près de cent cinquante étudiants, et suscite des baptêmes. Reportage."

"Des réfugiés pourront bientôt suivre des cours de français et d'anglais à Sciences Po Paris. L'initiative portée par une étudiante, est faite en partenariat avec l'association Kiron, qui aide à l'accueil des migrants en France. Une vingtaine de migrants, agés de 20 à 40 ans, pourront donc suivre des cours de perfectionnement en langues."

"Le pèlerinage de Chartres à destination des 18/30 ans rassemblant tous les diocèses d'Île-de-France est lancé.... Le diocèse de Nanterre propose comme tous les ans, 2 routes : - un départ le vendredi soir à 20h - un départ le samedi en début d'après-midi NOUVEAUTÉ en 2016 ! Nous arriverons à Chartres le samedi soir pour partager une veillée festive dans la Cathédrale de Chartres avec le diocèse de Créteil et en présence de notre évêque Mgr Aupetit."

"En déclarant illégale la sélection entre les deux années de master, le Conseil d'État a relancé un débat bien plus vaste : alors que certaines filières sont saturées ou n'offrent que peu de débouchés, les universités doivent-elles pouvoir davantage sélectionner leurs étudiants, comme le font notamment les grandes écoles ?"