"Les 18-30 ans ont tendance à bouder les urnes et les partis politiques traditionnels, mais ils sont de plus en plus nombreux à s'impliquer dans la vie de la cité.
C'est ce que montre un baromètre commandé par le ministère de la jeunesse et publié mardi 18 octobre."
"A l'heure actuelle, on se rend compte avec étonnement que beaucoup de ceux qui ont participé aux premières Journées Mondiales de la Jeunesse sont d'âge mûr, mais les trajectoires de nombreuses vies ont été modifiées par cette expérience particulière du Christ dans son Eglise universelle."
"La mobilité internationale en cours d'études est généralement considérée comme un atout au moment d'entrer sur le marché du travail. De fait, les jeunes diplômés partis à l'étranger au cours de leur dernier cursus ont une insertion plus favorable en France. Mais cet avantage apparent est en réalité lié aux filières de formation et aux milieux sociaux dont ils sont issus."
Créés en 2012, les emplois d'avenir ont pour objectif de faciliter l'insertion sur le marché du travail des jeunes peu ou pas qualifiés en leur proposant un emploi à temps plein de longue durée incluant un projet de formation. Un an après la signature de leur contrat, 3 jeunes sur 4 en emploi d'avenir ont bénéficié d'une formation et 1 jeune sur 2 d'une formation certifiante. Cet accès plus facile à la certification résulte d'un effort de formation qui bénéficie notamment aux non-diplômés et aux plus jeunes. Elle passe en particulier par l'accès à des habilitations et des permis.
Les jeunes formés ont passé 26 jours en moyenne en formation pendant la première année. Toutefois, la durée en formation varie fortement selon le niveau de qualification préparé, les métiers et le sexe des jeunes. Plus diplômées, les jeunes femmes accèdent moins souvent à une formation certifiante.
A l'occasion de la première édition du Salon de l'Etudiant Spécial Parents organisé ce samedi 8 octobre porte de la Villette à Paris, l'Etudiant a commandé à l'Ifop une enquête auprès des parents de lycéens et d'étudiants qui met en lumière leurs craintes quant à l'orientation scolaire et l'avenir professionnel de leurs progénitures.
Les principaux enseignements de l'enquête :
Un portail APB considéré comme " flou" par une majorité de parents "Plutôt flou". C'est ainsi qu'une majorité (61 %) de parents de lycéens et d'étudiants connaissant APB décrivent le système d'affectation dans le supérieur. Or, durant l'année du bac, tous les élèves de terminale ont l'obligation de classer sur ce portail, par ordre de préférence, les formations dans lesquelles ils souhaitent poursuivre leurs études.
Des chiffres qui témoignent des limites de cette procédure mais également de l'appréhension qu'elle suscite : plus d'un utilisateur sur deux exprime un sentiment de malaise avec cet outil (54%). Et qui s'explique en partie par les polémiques récurrentes dont elle est l'objet. Depuis plusieurs années, en effet, l'association Droit des lycéens dénonce l'opacité d'APB et se bat pour que le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche publie l'algorithme utilisé. Une demande pour l'instant restée sans suite…
Autre enseignement : la forte corrélation entre la notoriété du portail et la catégorie socioprofessionnelle. En effet, 66 % des parents ouvriers en ont déjà entendu parler contre 100 % des cadres supérieurs. En moyenne, 85 % des parents interrogés connaissent APB.
Un degré d'information sur ces questions qui varient beaucoup en fonction du niveau social des parents … Deux parents sur trois (64%) se sentent bien informés pour aider leur enfant. De manière plus générale, on constate également une forte relation entre le sentiment d'être bien informé pour aider son enfan
"Le pèlerinage annuel du Rosaire, animé par les Dominicains, se tient du 5 au 8 octobre à Lourdes. La « Croix » a demandé à de jeunes pèlerins ce que signifiait concrètement la miséricorde, thème du pèlerinage."
"Théocampus : la rentrée 2016 pour les étudiants cathos de Rennes.
Comme chaque année à Théocampus, plus de 500 étudiants font leur rentrée pastorale. Une soirée organisée par les Aumôneries catholiques de Rennes (ACER)"
"Etudiants La nouvelle saison de l'aumônerie des étudiants de Cergy vient d'ouvrir. Leur aumonier, le P. Olivier Massamba, les a invité à être porteurs de l'Evangile dans le monde."
De manière générale, les jeunes semblent aborder leur avenir avec sérénité. Plus des trois quarts d'entre eux (76%) se disent optimistes (27%) ou confiants (49%) quand ils pensent à leur avenir sur le plan personnel. Ils sont également très majoritairement confiants dans leur avenir professionnel (65%).
55% des jeunes âgés de 18 à 29 ans aimeraient créer ou reprendre une entreprise : 6% l'ont même déjà fait et 49% l'envisagent à plus long terme.
C'est avant tout par esprit d'indépendance que les jeunes souhaitent créer leur entreprise (49%) mais le fait de pouvoir faire de leur passion un métier (39%) ou de réaliser un rêve (25%) sont également des facteurs incitatifs importants.
Les 18-29 ans sont loin de se satisfaire de la société dans laquelle ils vivent. Ainsi, 79% pensent qu'un autre modèle économique et sociale est possible. Cela leur semble d'autant plus envisageable que les deux tiers d'entre eux estiment que la société évolue dans un sens négatif (65%). En terme d'engagement la question environnementale est la cause pour laquelle ils seraient le plus prêts à s'engager (44%).
A l'image de la société française dans son ensemble, ils se montrent particulièrement réticents à l'égard des partis politiques et des syndicats, qu'ils ne jugent guère efficaces pour faire évoluer la société.
Par ailleurs, les jeunes attendent beaucoup des entreprises, qu'ils considèrent comme des acteurs ayant un véritable rôle à jouer dans la société. Les entrepreneurs leur apparaissent ainsi, après les citoyens (50%) et les scientifiques (43%), comme les catégories de personnes qui contribuent le plus à faire évoluer la société.
Enfin, pour les jeunes, une entreprise engagée est une entreprise qui considère ses salariés, que ce soit en prenant en compte leur bien-être (39%, et même 43% des employés et ouvriers), ou en les associant aux décisions de l'entreprise (27%).
Sondage 06.10.2016
Etat d'esprit et comportements des lycéens et étudiants
Près des trois quarts des jeunes interrogés, qu'ils soient lycéens ou étudiants se déclarent optimistes pour leur avenir (73%), un optimisme toutefois assez mesuré, seule une minorité d'entre eux (9%) se projetant de manière « très optimiste » pour leur avenir. Ce résultat s'inscrit dans la lignée de ce que nous mesurons depuis 2010. Si le degré d'optimisme des lycéens de terminale (71%) est proche de celui des étudiants (74%), quelques disparités sont à noter notamment en fonction du milieu social dans lequel ils évoluent (78% pour ceux qui issus d'un foyer à dominante CSP+ contre seulement 67% chez eux appartenant à un foyer plus modeste) et de la filière dans laquelle ils étudient. On trouve ainsi les plus optimistes au sein des étudiants évoluant dans les filières médicales (84% en santé à l'université ou 75% dans les formations paramédicales) et dans les écoles de commerce (100% d'optimisme déclaré).
Ce premier résultat s'avère toutefois en forte opposition avec le climat et les projections à l'échelle du pays, moins du tiers des jeunes interrogés se déclarant optimistes pour l'avenir de la France (31% dont seulement 1% se déclare « très optimiste »). Ce résultat est en baisse de 7 points par rapport à ce que nous mesurions en 2014, signe d'un contexte économiques et social qui s'est durcit et qui inquiète les jeunes interrogés. Si cette tendance d'un fort pessimisme pour le Pays et d'un relatif optimisme pour sa propre situation est assez habituelle lorsque l'on pose ces deux mêmes questions à l'ensemble des Français, l'écart n'est toutefois pas aussi conséquent. Parmi les moins pessimistes on trouve notamment les étudiants les plus âgés (41% pour ceux ayant plus de 22 ans) et logiquement les plus diplômés (41% au sein des diplômés du supérieur) ainsi que ceux évoluant dans les grandes
"Intitulée «Les jeunes du Nord et du Sud de la Méditerranée: relever les défis de sécurité et améliorer les possibilités », la rencontre de deux jours examinera les meilleures pratiques pour arrêter l'extrémisme violent, la radicalisation et le terrorisme."
"Une fois par mois, vous êtes invités à une soirée de rencontre et de formation avec les étudiants autour du Père Jean-Michel.
La soirée débute à 19h15 par un temps de formation et se prolonge par un repas. Chacun amène un plat ou une boisson à partager.
Rendez-vous devant l'église"
"TEMPS DE REFLEXION ET DE PARTAGE pour les Jeunes de 17 à 30ans (proposé par le SDV) le Dimanche 23 OCTOBRE au Pensionnat de Versailles et à Pointe d'Or Abymes de 9h à 14h.
Inscriptions et renseignements auprès du Père Gérard : pgerardfoucan@gmail.com 0690 954256.
Venir avec de quoi écrire, sa Bible et le repas tiré du sac."
"Parcours « Célibataires, Chemins de Vie ! »
Samedi 5 novembre 2016 Ce parcours est destiné aux personnes célibataires de 25 à 45 ans, sur préinscription. Il est co-animé par père Barthélemy et Emmanuelle Vignes"
"Après deux années de travail, le synode du diocèse de Créteil se conclut dimanche 16 octobre. Parmi les priorités, figurent l'évangélisation des jeunes générations et la conversion des institutions ecclésiales. La démarche synodale a eu pour particularité d'associer aussi des chrétiens qui n'avaient pas l'habitude de prendre des responsabilités dans l'Église"