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Group items matching
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When Your Company Culture Isn't Ready for Social Media - The Conversation - Harvard Bus... - 6 views

  • The company implements an internal-only social networking platform that allows rating, tagging, and comments on products and services. A new service, offered by HR, receives very low ratings and negative, but not mean-spirited, comments. The head of HR requests that all the comments and the ratings be taken down. Would your company approve this request?
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Knowledge Plaza - 3 views

  • Where those who search meet those who know
  • Learn the benefits of introducing the Enterprise 2.0 framework in your organization to drive your business forward. Download it here.
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The Über-Connected Organization: A Mandate for 2010 - The Conversation - Harv... - 0 views

  • Lot of organizations have posted their Social Media Guidelines (Policies????) on the internet:
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Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
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6 Foursquare Marketing Tips - 0 views

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    some tips for venue's and Foursquare junkies who want to help their local venue's get on the bandwagon
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Votre entreprise est elle douée pour le multiplexage ? | Bloc-Notes de Bertra... - 0 views

  • Lorsqu’on est propriétaire de quelque chose on l’utilise pour soi.
  • Dircom par DRH, DSI, direction de l’innovation ou business unit, le résultat est le même. Et il ne sert à rien de blâmer les personnes en question
  • un réseau social interne sert à la communication, à la collaboration, à l’innovation, à la détection voire au management des talents
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  • L’entreprise va devoir apprendre la culture du multiplexage
  • comprendre que je dois lâcher prise sur l’utilisation qui en sera faite par les autres
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L'entreprise 2.0 : Besoin de sécurité ou d'éducation ? - 2 views

  • Le web 2.0 a permis l'avènement des usages collaboratifs, de la participation des utilisateurs au travers des sites publics. L’entreprise 2.0 utilise quant à elle les mêmes concepts, mais cette fois afin de mettre à la disposition de ses collaborateurs, clients ou partenaires d'affaire, des outils riches tels que les blogs, les wiki, ou même les réseaux sociaux.
  • Ces nouvelles pratiques amènent la SSI à se voir attribuer un rôle nouveau, où la communication et le "marketing de la sécurité" prennent une place plus importante. Le métier du RSSI change ainsi pour passer d'une position autarcique à un rôle de facilitateur du business, en permettant notamment une utilisation efficace et sûre de ces nouveaux outils.
  • L'efficacité, ici, consiste à éduquer l'utilisateur et l'aider à s'approprier les outils, bien sûr. Mais aussi être en mesure de contrôler ensuite l'utilisation qui en est faite.
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  • Cette éducation passe notamment par la sensibilisation des utilisateurs aux risques liés à la communication d'informations via le web 2.0, et à l'impact que la divulgation pourra avoir sur l'entreprise.
  • A noter que pour réussir dans sa mission, le RSSI se doit de maîtriser parfaitement ces outils afin d'aider les utilisateurs à comprendre comment et quand les utiliser. Le RSSI se doit en outre d'utiliser de tels outils afin de bien cerner les moyens de contrôle à sa disposition. A ce sujet, rappelons que le contrôle ne peut pas être seulement technique, mais qu'il devra aussi prendre en compte la dimension d'usage des outils (qu'est ce qui fait sens pour l'utilisateur, donc que peut-on/doit-on contrôler ?).
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    Les nouveaux usages du web appliqué dans l'entreprise modifie profondément le rôle du rssi qui passe d'un rôle autarcique à un rôle de facilitateur et d'éducateur.
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Cisco ruffles feathers with new collaboration tools | Business Tech - CNET News - 2 views

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    a new competitor in the field.
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    a new competitor in the field.
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Management 2.0 : comment le web 2.0 influence notre manière de travailler en ... - 8 views

  • Il y a une véritable conduite du changement à mener et tout ne peut pas changer en un jour. Il s’agit de trouver vos champions qui vont apporter leur énergie au projet et vous aider à faire changer les choses.
  • Même s’il ne faut pas sous-estimer le potentiel d’une expérience lancé dans un service ou une direction et qui finit par faire tâche d’huile dans l’ensemble de l’entreprise. Mais dans ce cas encore, cet élargissement n’a été possible que par l’intermédiaire d’un sponsor haut placé qui a été convaincu par le projet. De fait, plutôt qu’opposer top-down et bottom-up autant trouver comment ces initiatives vont se compléter afin de donner de meilleurs résultats et produire des « guidelines » concrètes.
  • l faut un accompagnement et ce ne sont pas les outils qui sont déterminants, mais les modes de management qui y sont liés. Il faut laisser le temps aux collaborateurs de comprendre ce qu’on attend d’eux et qu’ils identifient les gains potentiels pour eux. Le deuxième point est la frilosité et le refus de prendre un petit risque pour introduire ces nouveaux modes de fonctionnement.
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  • Des exemples comme ceux de Lockheed Martin, une société mondiale dans le secteur de l’aérospatiale et de la défense, montrent que malgré tout on peut basculer vers l’entreprise 2.0 (pourtant la question de la sécurité et du secret est au coeur de son business model). Ils ont eu la garantie qu’en cas de problème il pourrait identifier d’où cela proviendrait (pour le moment cela n’a jamais été le cas).
  • Il conclue enfin sur la question récurrente du ROI. Il ne s’agit pas de mesurer de nouveaux process avec d’anciennes recettes. Il s’agit plutôt d’identifier ses besoins et enjeux et voir si ces technologies peuvent y répondre.
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    Retour sur une interview d'Andrew McAfee
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Portals and KM: Forrester on Enterprise 2.0 for KM Professionals - 1 views

  • Some of these tools can be cloud based but they also need to be business based.
  • They picked the same 11 technologies studied in the vendor report: blogs, forums, mashups, microblogs, podcasts, prediction markets, RSS, social bookmarks, social networks, widgets, and wikis
  • But microblogging will only become valuable to the enterprise once it truly integrates with other enterprise processes and applications, and only after a whole set of additional tools are added to help filter content and refine the value of aggregated information.
    • Christophe Deschamps
       
      Est-ce vraiment la solution? Est-ce que l'intérêt du micro-blogging n'est pas justement dans le fait de plugger ces solutions sur l'existant et d'attendre... Micro-blogging as usual.
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  • On the other hand, in talking with a few implementers, they have not yet seen the big wave of demand for enterprise 2.0 tools.
  • I think the preconditions for making microblogging useful will appear sooner than later
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    Bill Ives revient sur un rapport de Forrester consacré aux technologies du web social pour l'entreprise qui s'adresse aux responsables KM et souligne les opportunités qu'ils peuvent en tirer.
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