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Laurent Bordet

A propos de l'évaluation des initiatives d'excellence, et pour commencer des ... - 0 views

  • Si la « modélisation mathématique » est invoquée dans beaucoup de projets, les mathématiques à proprement parler n’ont été lauréates d’aucun projet. Le projet d’une plate-forme documentaire pour les mathématiques n’a pas été sélectionné.
  • En tout cas, la seconde de ces caractéristiques n’est pas sans conséquence. De même que la plate-forme numérique de la communauté mathématique n’a pas été retenu, de même, aucun des projets d’infra-structure numérique en SHS (il y en avait plusieurs) n’a été retenu. Dans le cadre d’une société de la connaissance bien pensée, il serait assurément important de privilégier le libre-accès à la littérature scientifique existante
Laurent Bordet

Le classement européen des universités sur les rails ? - educpros.fr/ - 0 views

  • Si l’élaboration du classement mondial des universités, U-Multirank, initié par l'Union européenne continue doucement son chemin, des initiatives nationales et internationales fleurissent en parallèle.
  • En France, une cartographie baptisée CERES En attendant la définition précise d’U-Multirank, les initiatives nationales se multiplient. Côté français, le projet s’intitule CERES (Cartographie des établissements d’enseignement supérieur et de recherche). “C’est un exercice qui pourrait alimenter le projet européen”, confirme Ghislaine Filliatreau, directrice de l’OST, l’organisme porteur du projet. L’initiative a été présentée lors du dernier colloque annuel de la CPU à Marseille et en accord avec la CDEFI et la CGE.
Laurent Bordet

Etudiants étrangers diplômés: des projets de vie menacés - 0 views

  • Je suis un étudiant algérien, âgé de 24 ans et arrivé en France le 25 août 2009, je m'étais inscrit en première année de Master à l'université d'Angers, une année réussie qui m'a permis d'avoir accès à une formation très sélective en Master 2 à l'université d'Angers en partenariat avec l'ESSCA (école de commerce).
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Les facs françaises se lancent dans la bataille du numérique - Le Figaro Étud... - 0 views

  • La ministre de l’Enseignement supérieur annonce la création de France Université numérique, une cellule qui doit réinventer la pédagogie à l’heure du Net et mettre 20% des cours des universités en ligne d’ici 2017. Un fonds de financement sera aussi crée.
  • D’un côté, Harvard, le MIT, Stanford, qui embrassent la révolution numérique. Ces prestigieuses universités américaines proposent désormais leurs cours en ligne et touchent déjà des millions d’étudiants de par le monde, attirés par la qualité et la gratuité… De l’autre, l’université française ,qui fait figure de vieille dame découvrant l’ordinateur. «On est en retard», reconnaît la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso.
  • lle doit annoncer dans les prochains jours le lancement de FUN, «oui, FUN», assume-t-elle, France université numérique, une structure chargée de piloter la mise au Net des facs françaises.
  • ...5 more annotations...
  • L’Espagne ou le Royaume-Uni se sont lancés avant nous, en créant des universités totalement virtuelles d’où sortent des diplômés qui n’ont jamais fréquenté d’amphis.
  • Et certains, comme le patron de Stanford ,un brin provocateurs, prédisent la fin des cours en amphi…
  • Le projet devrait d’abord être testé sur des sites pilotes
  • les universités américaines ont pris une avance considérable. En proposant gratuitement des cours que leurs étudiants paient normalement des fortune, les géants américains pensent capter les futures élites mondiales.
  • . «Et dans quelques années, les compétences acquises en ligne seront reconnues», assure Jacques Froissant, du cabinet de recrutement 3.0 Altaide. Laissant entrevoir un étudiant «mondialisé», butinant d’un cours de Harvard à un module de Centrale.
Laurent Bordet

Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs - 1 views

  • Trente-quatre mathématiciens ont dénoncé "un système dans lequel les éditeurs commerciaux font des profits sur la base du travail de mathématiciens et de frais d'abonnement des bibliothèques".
  • Un des litiges vient de la "loi sur les travaux de recherche", un projet présenté au Congrès américain en décembre 2011 qui interdit aux agences fédérales d'exiger le libre accès à des résultats scientifiques, même si ces recherches sont financées par l'Etat fédéral américain.
  • L'université de Harvard, à Boston, vient de rejoindre le combat. Elle a beau être la seconde institution à but non lucratif la plus riche dans le monde, sa collection de revues académiques spécialisées plombe aussi ses comptes. Le prix des abonnements par les éditeurs universitaires lui coûte chaque année en moyenne 3,75 millions de dollars. Une note publiée sur son site et envoyée à ses 2 100 professeurs et chercheurs, les encourage à mettre à disposition, librement, en ligne leurs recherches.
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  • Ce mouvement met Harvard au centre d'un débat qui prend de l'ampleur : l'accès aux travaux de la recherche universitaire, dont une grande partie est financée par le contribuable.
  • De plus en plus d'universités à travers le monde commencent à exiger de leurs chercheurs de rendre disponible leurs publications en libre accès, et non plus par le biais de ces revues - qui permettent pourtant aux spécialistes de faire valider leurs travaux, de les diffuser, et participer à leur réputation et à celle de leur laboratoire universitaire. Un sondage international, réalisé à la demande du Comité pour la mutualisation des systèmes d'information de l'enseignement supérieur britannique, révèle que 81 % des chercheurs seraient prêts à déposer leurs articles dans des archives en libre accès.
Laurent Bordet

Ce que "l'enfer des prépas" ne dit pas - LeMonde.fr - 0 views

  • Est-on si sûr en fin de compte que les premiers cycles universitaires soient moins "infernaux" et plus épanouissants que les prépas, avec leurs amphis bondés, leurs classes de TD surchargées, leur absence de suivi individualisé, leurs emplois du temps en forme de gruyère, leur spécialisation précoce, et leurs professeurs trop souvent inaccessibles ? Et moins socialement inégaux, quand les enfants d'ouvriers à l'université sont 12,3 % en licence, 7,7 % en master et 4,7 % en doctorat ? Sur-sélection insidieuse car progressive et silencieuse. Aucune statistique ne permet d'ailleurs d'affirmer que la consommation d'anti-dépresseurs ou le taux de suicide sont plus élevés chez les jeunes en prépa plutôt que dans les premiers cycles universitaires.
  • L'idéal, sans doute, serait d'allier le meilleur de l'université (mixité sociale plus grande en premier cycle, lien avec la recherche, autonomie des étudiants) et le meilleur de la prépa, en créant des "Collèges universitaires" accessibles à tous, qui délivreraient les diplômes de Licence. Mais à en croire les projets des candidats déclarés à la prochaine élection présidentielle, aucun d'entre eux ne semble jusqu'à présent mesurer l'importance d'une réforme indispensable pour une jeunesse qui n'a pas le temps d'attendre.
Laurent Bordet

Que financent vraiment les investissements d'avenir ?, Technologies - 0 views

  • emier constat étonnant : les projets purement technologiques, qui sont surtout concentrés sur la R & D dans la santé, le numérique, le développement durable et les secteurs industriels stratégiques (nucléaire, automobile, aéronautique...) bénéficient pour l'instant d'une enveloppe de seulement 5,5 milliards d'euros.
  • Après avoir raté la première vague des énergies renouvelables, la France ne lâche pas prise et se positionne dans le photovoltaïque organique ou l'éolien offshore. »
  • ur l'heure, le secteur technologique le moins doté est... l'économie numérique avec 590 millions d'euros. Sur l'enveloppe prévue, il reste donc près de 4 milliards d'euros à investir dans cette priorité nationale.
Laurent Bordet

Réseaux sociaux et universités, une situation paradoxale selon une étude Capg... - 1 views

  • Alors que les universités ont tout intérêt à s'emparer des réseaux sociaux pour développer des stratégies ambitieuses, elles ne font finalement qu' « acte de présence », constate Capgemini consulting dans une étude publiée sur le web fin mai 2012. Etonnant pour des établissements dont le cœur de métier se trouve précisément dans l'organisation d'interactions, dans la diffusion la plus large du savoir et dans la mise en place de réseaux pour rayonner nationalement, internationalement ou disciplinairement. Un champ des possibles s'ouvrent aux universités françaises, encore fait-il qu'elles sachent s'en saisir rapidement...
  • Une frilosité générale sur le numérique ? Le problème est peut-être précisément là. Et si la frilosité des universités envers les réseaux sociaux ne trahissait pas un mal plus profond, la difficulté à se positionner clairement dans un processus d’innovation par le numérique ? Pour Marie Angliviel, directrice associée de Capgemini consulting et responsable du pôle « enseignement supérieur et recherche », le réseau social doit s’inscrire dans le cadre d’une « politique de l’université » en matière numérique, « un sujet colossal qui touche l’ensemble des aspects de l’université, difficile à appréhender pour des structures qui doivent accompagner tant de transformations depuis la mise en place de la LRU jusqu’aux idex et autres projets du grand emprunt, aux opérations de fusion, etc. ».
  • Les universités auraient également intérêt à consolider par les réseaux sociaux « les liens avec les enseignants-chercheurs et les personnels Biatos ». Mais à cet égard, force est de déplorer le faible nombre de dispositifs alors qu’il « se passe des choses plus ambitieuses du côté des grandes écoles ».
Laurent Bordet

« Le prototype de l'école d'ingénieurs généralistes à la française » | Le nou... - 0 views

  • Au niveau international, ce que l’on comprend, c’est quelque chose qui s’appelle université.
  • . Nous avons l’énorme chance d’avoir à Paris XI un président qui a très bien compris cela, le but n’étant pas de faire une université française très traditionnelle du XXe siècle, mais une université moderne avec une gouvernance moderne et des ambitions.
  • Le cycle ingénieurs est passé à 520 diplômés et la cible est de 650. Cette évolution se fera très peu par le concours mais grâce aux mesures d’ouverture sociale, d’augmentation de la proportion des étudiants étrangers, 40 % peut-être, mais on pourrait arriver au seuil limite de 50 %.
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  • Après Centrale à Pékin, on va certainement faire Centrale à Casablanca. Le Maroc, c’est beaucoup plus simple. Il y a déjà des classes préparatoires, l’enseignement en français y est excellent, le bac de très bon niveau, parfois meilleur qu’en France.
  • L’Inde possède de très belles institutions très sélectives comme l’Indian Institute of Technology et l’Indian Institute of Management qui ne prennent que quelques milliers de candidats sur le demi-million qui se présente au concours.
  • Quand même 85 % des étudiants font autre chose que de la banque ! D’ailleurs, c’est assez compliqué de faire la part de ce qui est l’industrie et ce qui n’en est pas.
  • l’assurance, notamment pour l’analyse de risques
  • L’esprit entrepreneurial
  • otre filière de troisième année de préparation à la création d’entreprise doit dépasser 10 % de la promo, avec au moins 30 élèves dans la filière entrepreneurs. Du coup, notre incubateur est plein de projets de création d’entreprises.
  • Nous voyons émerger des effets absolument négatifs avec la communication par Internet. Aussi sommes-nous actuellement très attentifs à multiplier pour les étudiants les situations de communications interpersonnelles physiques, c’est essentiel. N
  • Deuxième étape, nous réfléchissons maintenant pour relancer notre cursus, à la valeur d’une présentielle. Je suis très admiratif, par exemple de ce que font Cambridge et Oxford, où un étudiant brillant, pendant 2 ans, travaillera avec un prof qui va s’occuper de lui ! Il va l’accompagner dans son chemin, guider ses choix.
Laurent Bordet

Wikipédia, bazar libertaire - LeMonde.fr - 0 views

  • Quelque 450 millions de personnes consultent chaque mois Wikipédia. L'encyclopédie est traduite dans 280 langues (dont les douze régionales en France) et propose 1,1 million d'articles en français, consultés par 18,8 millions de lecteurs
  • Ces dons aideront à développer Wikipédia et ses projets complémentaires : le dictionnaire multilingue Wiktionary, le centre d'actualités Wikinews, les bibliothèques numériques Wikibooks (pédagogique) et Wikisource (universelle), le recueil de citations Wikiquotes, la plateforme pédagogique Wikiversity, la médiathèque Wikimedia Commons, le répertoire des espèces vivantes Wikispecies.
  • un essai, The Cathedral and the Bazaar, d'Eric Raymond (non traduit, éd. O'Reilly Media, 1999), qui défend "la logique du bazar
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  • Jimmy Wales, consacré en 2006 parmi les 100 personnalités les plus influentes par Time,
  • ERREURS, AMATEURISME : DE NOMBREUSES CRITIQUES
  • Pierre Assouline exerce cette critique de fond : "La question des sources est à la base de toute recherche, qu'elle soit historique, scientifique, journalistique ; or Wikipédia dilue tant la source qu'elle l'élude. On ne saurait trop le répéter : dans le domaine des idées, et en particulier en histoire, l'esprit de la référence a intrinsèquement partie liée avec la durée et non avec l'éphémère. Or sur Wikipédia, la référence est à géométrie variable : le dernier qui a parlé a raison, jusqu'au prochain.
  • Rémi Mathis porte la discussion sur le fond. Selon lui, nous assistons à une démocratisation du savoir comparable à celle qui suivit l'invention de l'imprimerie. A l'époque, l'élite qui lisait et rédigeait les livres accusait l'imprimerie de multiplier les erreurs par l'impression mécanique et de noyer le talent dans la masse des publications. Pour lui, l'encyclopédie contributive remet en cause ceux qui prétendent mieux connaître individuellement un sujet qu'une collectivité de chercheurs discutant entre eux.
Laurent Bordet

La réforme qui murmure encore à l'oreille des universités - LeMonde.fr - 0 views

  • le projet du Parti socialiste est peu disert, annonçant notamment… l'organisation d'assises : il semble bien plus construit quand il s'agit de l'école et des lycées que de l'enseignement supérieur.
  • L'évolution progressive d'un modèle de financement public vers un modèle mixte conduit à solliciter un effort supplémentaire de la part des entreprises d'un côté
  • Le premier renvoie à la concurrence entre universités, ainsi qu'avec d'autres grandes causes culturelles
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  • Le second impose la montée des droits d'inscription, dont l'essentiel porterait sur les classes moyennes
  • Les PRES (pôles de recherche et d'enseignement supérieur) qui regroupent des universités devraient déboucher sur de véritables fusions entre établissements comme à Strasbourg et à Bordeaux
  • Selon un rapport publié par l'University Alliance britannique qui regroupe 23 universités, il n'y a pas de relation continue entre la taille de l'unité de recherche et sa performance du point de vue du classement par les pairs, du nombre d'articles publiés et de leur impact
  • Il faut inventer le temps 2 de la réforme
Laurent Bordet

C'est classe !: Universités: un budget historique mais des plafonds qui tombent - 0 views

  • Pour le crédit impot recherche, je confirme que mon employeur précédent (une SSII) a créé un département recherche qui ne fait quasiment rien. Tout employé qui n'est pas chez un client (entre deux projets) y est rattaché : son salaire peut être alors considéré comme une dépense de recherche, pour avoir droit au crédit impot-recherche. On nous a explicitement dit que c'était pour diminuer les impots de la société.
  •  
    voir surtout le commentaire sur une utilisation détournée du CIR
Laurent Bordet

Les universités des pays émergents se lancent dans la concurrence internation... - 0 views

  • Jusqu'ici, les pays émergents étaient l'eldorado des universités et grandes écoles occidentales en quête de notoriété...
  • et d'étudiants prêts à débourser des fortunes pour obtenir un diplôme "prestigieux
  • Ce serait, affirme le journal chinois, le premier cas de délocalisation d'une université chinoise à l'étranger.
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  • INVERSER LE "BRAIN DRAIN"
  • S'il est mené à bien (le projet Alfa Puentes est pour l'instant programmé sur trois ans), il permettrait à l'Amérique latine de développer une offre de qualité sur le marché de l'enseignement supérieur international: l'objectif à terme serait d'inverser le "brain drain"
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
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