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Laurent Bordet

La double vie des étudiants qui travaillent - 0 views

  • 73 % des étudiants exercent un emploi pendant l'année et/ou l'été, selon une enquête menée en 2010 par l'Observatoire national de la vie étudiante. Dans 23 % des cas, il s'agit d'un job d'été. Mais 50 % travaillent en période de cours (contre 46 % en 2006). Parmi ces derniers, 20 % sont au moins à mi-temps, 28 % à temps plein (contre 21 % en 2003). En août 2012, la ministre de l'enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a nuancé ces données. Si l'on défalque les emplois d'été et l'activité liée à l'alternance, il ne reste que 40 % d'étudiants en emploi. Parmi lesquels "seuls 13 % exercent une activité professionnelle incompatible avec le suivi des cours et la réussite aux examens", a assuré la ministre, promettant de "s'attaquer à ce noyau dur".
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Pourquoi les droits d'inscription universitaires s'envolent partout, par Isabelle Bruno... - 0 views

  • En France, selon une enquête de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), le coût de la rentrée universitaire a bondi de 50 % en dix ans. Parmi les causes de ce renchérissement, l’augmentation des frais d’inscription, que promeuvent think tanks et organisations internationales. Aux Etats-Unis, de nombreux étudiants ne pourront jamais rembourser les prêts contractés pour payer leur formation.
  • Démarcher les entreprises, quémander des dons auprès des réseaux d’anciens étudiants, augmenter les droits d’inscription, bref se vendre : telle est, en substance, la compétence nouvelle gagnée par les universités.
  • il s’agit désormais de transformer la recherche scientifique en produits brevetables, et les enseignements en parcours individualisés et « professionnalisants » débouchant sur des diplômes rentables.
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    un peu caricatural
Laurent Bordet

Etudiants étrangers : nouveaux ennemis de l'intérieur ? - Libération - 0 views

  • Marie Curie, Romain Gary et Georges Charpak ont été étudiants étrangers. Léopold Sédar Senghor a été camarade de khâgne de Georges Pompidou.
  • a faute économique, enfin. Ce sont les intérêts à long terme de la France qui sont bafoués. Nous sommes entrés dans l’ère du savoir. Une compétition mondiale pour la connaissance est en cours. La croissance de demain, les progrès de la science et de la technique, y compris pour faire face aux nouveaux défis, se jouent sur la qualité des investissements dans le «capital humain» et donc, pour une bonne part, dans le nombre d’ingénieurs et de docteurs que nous formerons.
  • Ajoutons ceci : ces étudiants ne prennent pas la place de Français. Une enquête publiée en 2008 à la Documentation française montrait que seuls 26% parmi ces étudiants envisageaient de rester en France après leurs études. La très grande majorité était décidée à rentrer dans leur pays d’origine et à participer à son développement. Ceux qui restent sont souvent recrutés dans des secteurs en tension et dans des domaines où leur expertise est jugée exceptionnelle.
Laurent Bordet

Les "prépas" contraintes de s'adapter face à la concurrence - LeMonde.fr - 0 views

  • Les classes préparatoires sont-elles menacées ? Une enquête inédite de la Conférence des grandes écoles (CGE, qui rassemble 220 établissements) montre que les étudiants qui intègrent une grande école (quelle que soit l'année d'entrée) ne sont plus que 38,5 % à être issus d'une prépa : 40,2 % pour les écoles d'ingénieurs et 37 % pour les écoles de management.
  • Dans le top 10 des écoles d'ingénieurs, neuf étudiants sur dix viennent de prépa. Sur les 400 élèves entrés à Polytechnique en 2011, 10 seulement venaient de l'université..
  • Les prépas intégrées séduisent de plus en plus, notamment dans les écoles d'ingénieurs. Un quart des élèves ingénieurs intègrent leur école dès la sortie du lycée et commencent par deux années de prépa.
  • ...3 more annotations...
  • Détour par l'université Objectif : décrocher un BTS, un DUT, voire une licence avant de tenter un concours de grande école. 18 % des jeunes qui intègrent une grande école ont opté pour un institut universitaire de technologie (IUT) et 9 % une section de technicien supérieur (STS). Un cycle préparatoire d'un an a même été créé pour eux : adaptation technicien supérieur (ATS). Il y a sans doute parmi eux des étudiants qui veulent s'épargner le choc de la prépa.
  • . Passer par l'université permet de décrocher un diplôme en cours de route, ce qui offre une porte de sortie, au cas où. Alors que le parcours prépa-école, c'est la garantie de ne pas toucher de salaire avant au moins cinq ans.
  • L'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense a créé en 2006 une licence humanités. On y étudie les lettres, l'histoire, la philosophie et les langues. L'emploi du temps est dense et les enseignants mettent l'accent sur la méthodologie et l'accompagnement des étudiants. D'autres facs ont créé une classe prépa, stricto sensu, comme l'université de Bretagne-Sud en 2009. Mais de tels exemples sont rares.
Laurent Bordet

Stages hors cursus interdits : un casse-tête pour les universités - educpros.fr/ - 0 views

  • Dans le viseur du ministère de l’Enseignement supérieur : les universités ! Le décret, qui avait pour objectif de limiter les abus des employeurs et les stages "bidons", aurait en effet conduit certaines d’entre elles à refuser de délivrer des conventions aux étudiants. Ce qui constitue, selon le ministère, "une interprétation erronée" du texte. Enquête dans les universités pour savoir comment elles appliquent le décret.
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