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Laurent Bordet

La double vie des étudiants qui travaillent - 0 views

  • 73 % des étudiants exercent un emploi pendant l'année et/ou l'été, selon une enquête menée en 2010 par l'Observatoire national de la vie étudiante. Dans 23 % des cas, il s'agit d'un job d'été. Mais 50 % travaillent en période de cours (contre 46 % en 2006). Parmi ces derniers, 20 % sont au moins à mi-temps, 28 % à temps plein (contre 21 % en 2003). En août 2012, la ministre de l'enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, a nuancé ces données. Si l'on défalque les emplois d'été et l'activité liée à l'alternance, il ne reste que 40 % d'étudiants en emploi. Parmi lesquels "seuls 13 % exercent une activité professionnelle incompatible avec le suivi des cours et la réussite aux examens", a assuré la ministre, promettant de "s'attaquer à ce noyau dur".
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

Le classement des universités qui mènent vers l'emploi | Coordination Régiona... - 3 views

  • Paris-II, Lyon-I, Rennes-I et Paris-13 sont en tête du classement des universités jugées sur la capacité de leurs étudiants de trouver un emploi établi par le ministère français de l'Enseignement supérieur et à paraître dans le Figaro Magazine daté du 16 octobre.
  • les uni­ver­si­tés de proxi­mité affichent sou­vent d'excellents résul­tats" (Angers, Chambéry, La Rochelle, Pau...).
  • Mme Pécresse va deman­der une "cer­ti­fi­ca­tion Insee" pour qu'elle soit "plei­ne­ment reconnue". Les résul­tats sont pris en compte à par­tir d'au moins 30% de réponses et une poi­gnée d'universités (dont Dauphine et Jussieu) n'a pas participé.
Laurent Bordet

La fac ? Tu raques ! - Résultat d'exploitation(s) - 0 views

  • C'est que le financement des études pose un problème majeur. Le cycle de vie peut-être vu en "U". De la naissance au premier emploi, l'individu coûte à la société. Ensuite, il a un emploi et contribue au fonctionnement de celle-ci. Enfin, à partir de la retraite, il devient à nouveau un coût.
  • les études supérieures sont financées par l'impôt. Les étudiants qui "consomment" le plus d'études sont ceux qui auront les plus gros revenus et qui paieront le plus d'impôts pour financer les études de leurs successeurs. Est-ce forcément vrai ? Le hic, c'est que si 55% des étudiants accèdent à l'enseignement supérieur, c'est vrai pour 84% des enfants d'enseignants, 80% des enfants de cadres mais seulement 36% des ouvriers non qualifiés.
  • Enfin, la non-sélection à l'entrée de l'université engendre un taux d'échec très élevé en 1ère année (25% de redoublement, 25% de sortie de l'université). Enfin, à la sélection purement académique s'ajoute une sélection par l'argent : les étudiants qui ne peuvent vivre décemment (logement, nourriture) sont contraints d'arrêter ou de raccourcir leurs études.
  • ...4 more annotations...
  • certains prêts pour imposer un "numerus clausus" soft sur certaines filières à faibles débouchés. Plus globalement, cela pourrait être un moyen de canaliser les étudiants vers les filières les plus utiles pour la communauté. Un choix qui serait très explosif politiquement ou socialement d'autant que cela reviendrait à donner plus de choix (d'aller vers des filières "bouchées" ceci dit) aux plus riches.  
  • ertains pourront rembourser aisément le prêt mais d'autres, à cause d'un "rendement trop faible" de leur diplôme ou d'accidents ou de choix de vie, ne le pourront pas. Il faut alors aménager la possibilité d'un effacement partiel ou total de la dette. Celui-ci doit être relativement "fin" pour éviter l'aléa moral
  • a manne servant aujourd'hui à payer les universités est convertie de façon à payer à tous les étudiants, quel que soit le niveau de ressources de leurs parents, un "revenu d'autonomie". Les 25 Mds€ de budget actuels pourraient permettre d'allouer 800€/mois/étudiant.
  • ais nous avons tort de considérer le système etat-uniens comme totalement pervers et le nôtre, basé sur la liberté et une apparente quasi-gratuité, totalement vertueux. Surtout, notre système a le grand tort d'occulter totalement la question de la vie extra-scolaire de l'étudiant et transforme ceux-ci en nouveaux pauvres.  Un choix guère acceptable alors que la formation est un ingrédient indispensable de notre future compétitivité.
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

Les universités des pays émergents se lancent dans la concurrence internation... - 0 views

  • Jusqu'ici, les pays émergents étaient l'eldorado des universités et grandes écoles occidentales en quête de notoriété...
  • et d'étudiants prêts à débourser des fortunes pour obtenir un diplôme "prestigieux
  • Ce serait, affirme le journal chinois, le premier cas de délocalisation d'une université chinoise à l'étranger.
  • ...2 more annotations...
  • INVERSER LE "BRAIN DRAIN"
  • S'il est mené à bien (le projet Alfa Puentes est pour l'instant programmé sur trois ans), il permettrait à l'Amérique latine de développer une offre de qualité sur le marché de l'enseignement supérieur international: l'objectif à terme serait d'inverser le "brain drain"
Laurent Bordet

la Confédération Etudiante tire la sonnette d'alarme - 0 views

  • L’absence de mesures pour améliorer l’insertion professionnelle à l’Université dans le discours de la Ministre pousse La Confédération Etudiante à tirer la sonnette d’alarme. Alors que les assises de l’enseignement supérieur s’ouvrent peu à peu dans les territoires, la  question de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, primordiale pour l’avenir de notre pays et première préoccupation des étudiants doit être au cœur des concertations.
  • La plus grande difficulté rencontrée par les jeunes diplômés pour trouver un emploi est la méconnaissance du monde de l’entreprise.
  • L’Université dont nous avons besoin, c’est  une Université décloisonnée, ouverte sur le monde qui l’entoure, qui soit le terreau de l’innovation et de la création de savoirs et de richesses.    C’est pourquoi la Cé propose ses mesures pour l’insertion professionnelle : Mise en place de stages obligatoires dès la licence quelle que soit la filière. Généralisation des réseaux d’anciens étudiants dans toutes les universités comme dans les écoles pour permettre à tous les étudiants dès la première année de se construire un réseau nécessaire à l’insertion professionnelle. Organisation de rencontres régulières entre les étudiants et le monde de l’entreprise : forums, petits déjeuners RH, visites d’entreprises, interventions de professionnels et anciens étudiants… Création de modules de formation à l’entreprenariat et la création d’incubateurs/pépinières à l’intérieur des universités
Laurent Bordet

Ce que "l'enfer des prépas" ne dit pas - LeMonde.fr - 0 views

  • Est-on si sûr en fin de compte que les premiers cycles universitaires soient moins "infernaux" et plus épanouissants que les prépas, avec leurs amphis bondés, leurs classes de TD surchargées, leur absence de suivi individualisé, leurs emplois du temps en forme de gruyère, leur spécialisation précoce, et leurs professeurs trop souvent inaccessibles ? Et moins socialement inégaux, quand les enfants d'ouvriers à l'université sont 12,3 % en licence, 7,7 % en master et 4,7 % en doctorat ? Sur-sélection insidieuse car progressive et silencieuse. Aucune statistique ne permet d'ailleurs d'affirmer que la consommation d'anti-dépresseurs ou le taux de suicide sont plus élevés chez les jeunes en prépa plutôt que dans les premiers cycles universitaires.
  • L'idéal, sans doute, serait d'allier le meilleur de l'université (mixité sociale plus grande en premier cycle, lien avec la recherche, autonomie des étudiants) et le meilleur de la prépa, en créant des "Collèges universitaires" accessibles à tous, qui délivreraient les diplômes de Licence. Mais à en croire les projets des candidats déclarés à la prochaine élection présidentielle, aucun d'entre eux ne semble jusqu'à présent mesurer l'importance d'une réforme indispensable pour une jeunesse qui n'a pas le temps d'attendre.
Laurent Bordet

Etudiants étrangers : Guéant va revoir la circulaire en 2012 - LeMonde.fr - 0 views

  • A la suite de cette circulaire, de nombreux diplômés étrangers, dont certains très qualifiés, qui avaient été recrutés dans des entreprises françaises, n'ont pas pu obtenir un changement de statut (d'étudiant à salarié).
  • La circulaire contestée demandait aux préfets d'instruire "avec rigueur" les demandes d'autorisation de travail des étudiants, et d'exercer un "contrôle approfondi" des demandes de changement de statut des étudiants étrangers
  • UNE PÉTITION REÇOIT PLUS DE 19 000 SIGNATURES
  • ...1 more annotation...
  • Plusieurs membres du gouvernement, dont le ministre de la culture Frédéric Mitterrand et celui de l'enseignement supérieur, Laurent Wauquiez, ont également critiqué cette circulaire.
Laurent Bordet

Budget. Des universités dans le rouge - Bretagne - Le Télégramme - 0 views

  • Pour certaines universités, le passage à l'autonomie s'avère plus délicat que prévu. Dans l'Ouest, les universités de Bretagne Sud, de Nantes et, dans une moindre mesure, Rennes 1 doivent faire face à des difficultés financiè
  • À l'UBS, dix-huit emplois seront concernés en 2012. Insupportable pour Olivier Sire.
  • Mauvaise gestion, défaut d'anticipation, évolution de la masse salariale mal contrôlée?
  • ...3 more annotations...
  • Déblocage de 14,5millions
  • LouisVogel, président de la Conférence des présidents d'université (CPU), a récemment estimé que cette nouvelle enveloppe financière «ne veut pas dire que tout est désormais réglé avec le ministère en matière de compensation financière des nouvelles compétences des établissements».
  • On a besoin de cette réforme mais on demande que l'État respecte ses engagements».
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
  • ...7 more annotations...
  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
  •  
    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

J'ai un doctorat, une proposition d'embauche... et serai bientôt sans-papiers... - 0 views

  • Malgré l'hostilité qui règne aujourd'hui envers les étrangers, je n'oublie pas que la France était autrefois une terre d'accueil. Le jour où je devrai partir, c'est le souvenir de cette France-là que je garderai à l'esprit.
Laurent Bordet

Un palmarès des universités les plus efficaces pour l'emploi - 2 views

  • Les classements par établissements sont néanmoins à prendre avec précaution, car des universités peuvent être très bien placées avec un faible taux de réponse de ses anciens, et une autre moins bien avec un fort taux. Les résultats ne sont d'ailleurs pris en compte qu'à partir d'au moins 30% de réponses,
  •  
    Les stats sur l'efficacité des universités me laisse perplexe!
  •  
    Effectivement. Pour avoir coordonner l'enquête à Angers, dans ma composante, il apparaît assez nettement que les résultats de l'enquête ne sont pas pondérées. Un gros problème de méthode cachée par un grand coup de communication :)
Laurent Bordet

«Nous allons traquer les marchands de stages» - Libération - 0 views

  • à où on trouvait des stages type pause-café, on estime aujourd’hui que six stages sur dix sont professionnalisants et durent plus de deux mois.
  • notamment en traquant les «marchands de stage».
  • Pour le collectif
  • ...4 more annotations...
  • Aujourd’hui, 83% des étudiants qui sont en deuxième année de master ont une rémunération supérieure à 417 euros (ils sont 63% a faire un stage à ce niveau). Les compétences des étudiants concernés sont donc reconnues, dans des conditions de plus en plus satisfaisantes.
  • C’est exactement l’inverse. Un jeune qui a fait un stage voit ses chances de trouver un emploi multipliées par deux [toujours selon l'étude du ministère, ndl
  • Génération précaire, les stages tuent l’emploi junior...
  • La loi de 2006 et aujourd’hui la loi Cherpion [qui impose notamment un délai de carence entre deux stages à un même poste, ndlr] ont permis d’établir un cadre.
Laurent Bordet

Jeune diplômé cherche stage à tout prix - Libération - 0 views

  • Éducation: les enjeux, les débats Violences à l'école | Rythmes scolaires | Orientation | Jeunes diplômés, la course à l'excellence | Apprentis, les nouveaux profils | Bac 2011 Société Hier à 12h04 (Mis à jour à 21:03) Jeune diplômé cherche stage à tout prix 111 commentaires Par MARIE PIQUEMAL Lors d'une manifestation organisée par le collectif Génération précaire en janvier 2008. (© AFP Bertrand Guay) Septembre arrivant, pour les jeunes diplômés débarquant sur le marché d
  • Il y a pile un an paraissait un décret interdisant les stages en entreprise «hors cursus», c'est-à-dire ne s'intégrant pas dans une formation. L'idée était ainsi d'éviter que les entreprises abusent de stagiaires déjà diplômés au lieu d'embaucher
  • Une amie lui refile un filon: s'inscrire dans un organisme de formation privé. «J'ai appelé en expliquant ma situation. Ils m'ont dit d'envoyer un chèque de 500 euros. Et la semaine d'après, je recevais par la Poste la convention pré-signée. Je ne m'en suis pas si mal sortie comparé à d'autres.
  • ...4 more annotations...
  • Rappelées à l'ordre, certaines facs rusent encore, via des diplômes un peu bidon, du type «DU d'insertion professionnelle». Mais la plupart ont fermé le robinet à conventions.
  • Payer 900 euros pour faire un stage
  • Ce sont des arnaques, dénonce Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur, qui promet de «traquer» ces fausses formations
  • «il n'y a qu'une solution: interdire aux entreprises de prendre des stagiaires diplômés. Il faut être clair: les stages sont une arme de destruction massive d'emploi, ils détruisent des postes de juniors».
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