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"Selon un récent avis sénatorial, le nombre d'abandons a triplé depuis 2012 chez les professeurs stagiaires, même si les démissions, marginales, touchent à peine 0,1 % du corps professoral."

"«On essore des enseignants déjà lessivés» : la charge de «Monsieur Le Prof» contre l'Education nationale après sa démission"

On dit parfois qu'au sein du gouvernement, le ministre de l'éducation occupe la place du mort. À ce poste, en tout cas, beaucoup ont dû réviser leurs objectifs à la baisse, retirer leur réforme, voire présenter leur démission.

Etude réalisée pour La Croix et l'Apel, Association de parents d'élèves de l'enseignement libre Une volonté de réforme pour mieux s'adapter aux élèves et réduire les inégalités sociales Seuls 33% des parents pensent que l'école sait s'adapter à chaque enfant, 42% qu'elle permet de réduire les inégalités sociales et 56% qu'elle permet de satisfaire à la mission qu'ils lui assignent le plus : la maitrise des fondamentaux. L'idée de réforme trouve dans ce contexte un écho très favorable, mais aussi une intensité élevée. Ainsi, 96% des répondants pensent qu'elle doit se réformer dont 44% se prononcent en faveur d'une réforme en profondeur, et 52% dans certains domaines uniquement. Les parents sont aussi attentifs à la situation des enseignants, avec deux dimensions clés : * Le nombre d'enseignants : pour 57% il est prioritaire de recruter davantage d'enseignants, * La Formation : pour 56% il convient d'améliorer la formation initiale et la formation continue de ces derniers. L'autonomie des chefs d'établissement en matière de recrutement des enseignants est très largement valorisée par les parents L'idée que les chefs d'établissement puissent choisir leurs enseignants apparait aux parents comme porteuse de conséquences positives à la fois sur le travail en équipe au niveau de chaque classe (88%), la réussite des élèves (85%), l'autorité du chef d'établissement (84%), l'implication des enseignants (84%), la qualité de l'accompagnement de tous les élèves (84%) ou encore la cohésion des équipes enseignantes (83%). La quasi-unanimité des parents sont favorables à ce que les devoirs puissent être effectués, au moins jusqu'à la fin du collège, à l'école avec l'aide d'un adulte compétent 86% des parents, avec notamment 40% qui y sont tout à fait favorables, voient d'un bon œil le fait que les devoirs de leurs enfants soient accompagnés et effectués da

"Suite à la démission de Monsieur Jérôme Brunet, nommé adjoint du secrétaire général de l'enseignement catholique, un nouveau directeur diocésain pour le diocèse de Blois prendra ses fonctions à la rentrée de septembre. Il s'agit de Monsieur Bruno CHAUVINEAU"

"À ce stade du conflit qui oppose d'un côté enseignants et parents d'élèves, l'organisation générale de l'enseignement catholique (OGEC) et Fabienne Reydellet, directrice des établissements scolaires, de l'autre, une question se pose sur la pérennité de l'Institution Jeanne d'Arc à Carcassonne. C'est ni plus ni moins l'évêque du diocèse, Mgr Alain Planet, qui a mis les pieds dans le plat en lâchant, ce jeudi matin devant les profs en grève et les parents qui les soutiennent : «Mon but n'est pas de fermer. Nous le ferons s'il le faut et nous rouvrirons dans cinq ans». Est-ce à dire que le schisme est à ce point dans les établissements catholiques carcassonnais que les plus hautes autorités religieuses n'ont pas d'autre moyen que la fermeture pour faire taire la contestation soulevée par «la gestion dictatoriale» de la directrice depuis son arrivée en 2012? Aux cris de «Reydellet démission», Mgr Alain Planet a rétorqué sur le pas-de-porte de l'évêché : «L'enseignement catholique est géré par une loi archaïque. Nous n'avons aucun moyen de mettre un terme au contrat d'un chef d'établissement. Dans cette affaire, moi (Ndlr: sous entendue l'autorité exercée par l'évêque), je n'existe pas». Les manifestants ont eu du mal à croire ce qu'ils venaient d'entendre, venant de l'évêque de Carcassonne qui participe avec trois autres prélats à la direction, en France, du Conseil pour l'enseignement catholique."

"Frédéric Gautier, plus timoré, a convaincu Mgr Vingt-Trois de lui confier la place. Dans ses responsabilités de directeur diocésain, il n'a pas fait montre d'un grand courage dans le dossier Gerson, attaqué récemment par une clique de soixante-huitards reprochant à la direction d'y dispenser un enseignement… catholique ! Alors qu'il n'avait pas jugé utile de le rencontrer en tête-à-tête depuis sa nomination il y a dix ans, Mgr Vingt-Trois a convoqué il y a quelques semaines Daniel Chapellier pour obtenir sa démission. Le communiqué, d'une onctuosité toute épiscopale, masque mal le malaise."

"Des stagiaires qui renoncent à entrer dans le métier, des professeurs qui souhaitent le quitter… Face à cette désaffection grandissante, l'éducation nationale essaie tant bien que mal de retenir ses salariés, sans vraiment répondre à leur malaise."

"L'autorité de tutelle de l'ensemble scolaire Jean-XIII a constaté depuis plusieurs mois une situation de blocage dans la gouvernance de l'établissement. Cet état de fait a entrainé la démission, pour la prochaine rentrée scolaire de septembre 2023, des deux chefs d'établissement et celle immédiate du président de l'OGEC. L'autorité de tutelle a pris acte de ces décisions."

"L'élue EE-LV et militante féministe a été abruptement remerciée par l'Institut catholique de Paris, où elle enseignait depuis huit ans. Une sanction pour ses prises de position ?" [RDP du 09 octobre 2020]