"Chaque dimanche un prêtre différent du doyenné (ou même notre évêque) viendra présider cette eucharistie, préparée par un petit groupe différent chaque fois... Merci à tous ceux qui ont accepté de changer leur habitude pour l'occasion et à ceux qui vont alors rejoindre la communauté de Saint-Jacques à Angoulême ! "
"Je demande que se poursuive la mise en place des «communautés de proximité» animées par des laïcs là où une église ou une chapelle ne sont plus utilisées comme des églises paroissiales. Ces communautés donnent à la paroisse les moyens de la proximité pour l'évangélisation, en permettant de rassembler des assemblées de prière, des séances de catéchèses d'adultes ou d'enfants voire, à l'occasion, des eucharisties dominicales, etc."
"Je demande à chaque équipe d'animation paroissiale (EAP), en lien avec les coordinateurs de la pastorale des enfants et des jeunes et les équipes liturgiques, de prévoir la célébration d'au moins une eucharistie mensuelle préparée et animée avec les enfants et les jeunes."
"Au-delà du retour des messes, c'est une autre urgence qui attend les communautés chrétiennes avec la sortie du confinement : celle d'une vague de pauvreté sans précédent. Le cri d'alarme de Natalia Trouiller, journaliste et essayiste, auteure de Sortir ! (Première Partie)." [RDP du 27 avril 2020]
"Après l'annonce du Premier Ministre du 28 avril 2020 qui demande de ne pas reprendre les célébrations cultuelles avant le 2 juin, Mgr Michel Dubost invite les fidèles du diocèse de Lyon à rester dans l'espérance et à être des citoyens participant au renouveau de la France face à la crise qui nous attend et au renouveau de l'Eglise."
Une réflexion de Mgr Francesco Follo.
"« Concélébration », « sacrement comme signe efficace de la grâce », « rencontre réelle avec le Christ », dans le sillage doctrinal et pastoral du pape François: ce sont des mots-clefs de cette réflexion de Mgr Francesco Follo sur la messe « en présence » ou retransmise.
L'observateur permanent du Saint-Siège à l'UNESCO, à Paris, invite en effet à « regarder », « prier », « communier » et « participer »."
"Enquête On estime jusqu'à un tiers le nombre de paroissiens qui ne reviennent plus à la messe du dimanche depuis le début de la crise sanitaire. « La Croix » a voulu connaître le profil et les motivations de ces fidèles."
""C'est Dieu qui fait l'Église, pas la clameur des œuvres", a affirmé le pape François lors de l'audience générale, ce mercredi 25 novembre, prononcée depuis la Bibliothèque apostolique du Palais apostolique. "
"Est-il excessif de parler d'une Église qui se réveille, alors qu'elle recommence à ouvrir les portes de ses sanctuaires, et que tout une vie pastorale se remet en route, aux aspects parfois imprévus ?"
"Dans son discours de clôture de l'Assemblée plénière des évêques de France, mercredi 10 juin, le président de la Conférence des évêques met en avant « la liberté de l'Église » au service de la société. L'archevêque de Reims tire aussi les premiers enseignements du confinement."
"La première des trois journées des évêques de France, réunis jusqu'à mercredi en Assemblée plénière par visioconférence, s'est achevée lundi 8 juin au soir par une célébration à la basilique du Sacré-Cœur à Paris en présence du Conseil permanent."
"Aumôniers, catéchistes et curés du diocèse de Nantes s'interrogent sur la manière dont les leçons du confinement peuvent faire évoluer l'action pastorale."
"Dans la préface au livre «Communion et espérance, témoigner la foi au temps du coronavirus» du cardinal Kasper et du père Augustin, le Pape François revient sur les derniers mois écoulés et sur les enseignements que nous a apportés la pandémie de Covid-19 notamment du point de vue spirituel."
Depuis plusieurs semaines nous vivons une situation inédite et à laquelle nul ne pouvait s'attendre ; pourtant, si l'événement touche chacun, les manières d'y faire face, de le traverser sont infiniment différentes. Elles sont fonction de nos caractères, de nos convictions, de nos expériences, de nos conditions sociales et économiques de vie. Egaux dans l'événement, nous ne le sommes pas dans ce que celui-ci produit chez chacun. Ceci n'a cependant rien d'étonnant : quoi que ce soit qui marque la vie sociale, nous savons que nous vivons les choses de différentes manières. Il en est ainsi pour notre foi ; la Bible est la même, mais la manière d'y percevoir des appels de l'Esprit est fonction de nos histoires personnelles.
C'est donc une gageure de m'exprimer auprès de vous, ici comme d'ordinaire ; je sais que mon propos est déterminé par qui je suis.
Pourtant, est-ce que nous serions condamnés à nous résigner au mutisme qui résulterait d'une impossibilité à une parole commune, comprise par tous ? Certes non, sinon aucune vie familiale, sociale, nationale, ecclésiale, ne serait possible. Je tiens que chacun a la possibilité de se mettre à distance de lui-même, de ses affects, pour comprendre un événement et en exprimer quelque chose à d'autres qu'à lui-même.
Je pense que, au-delà des inquiétudes liées à la pandémie, les semaines qui viennent de s'écouler, libérant du temps par rapport à l'ordinaire de nos vies, ont permis au plus grand nombre de réfléchir sur le sens de sa vie, ses choix, la société qu'il veut, et aussi, pour nous, catholiques, libérer du temps pour la prière, la lecture de la Bible et des engagements au service des communautés chrétiennes dont nous sommes les acteurs aujourd'hui et demain.
"Au lendemain du confinement et de la Pentecôte, deux ans après sa nomination à la tête du diocèse de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé, publie une lettre pastorale intitulée Un grand vent de liberté.
Datée du 1er juin 2020, quarantième anniversaire de la visite du Pape Jean-Paul II à Issy-les-Moulineaux (pour y rencontrer les évêques de France réunis au Séminaire Saint-Sulpice), cette lettre ouvre des perspectives missionnaires, à partir de l'expérience du confinement en particulier.
Elle se focalise sur trois dimensions de la vie de l'Eglise : la fraternité, l'intériorité et la créativité, tout en insistant aussi sur les vocations et la mission. Jalonnée par des séries de question, elle est destinée à favoriser la réflexion et l'engagement de toutes les forces vives de l'Eglise catholique dans les Hauts de Seine pour les mois qui viennent."