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Tous serviteurs pour mettre en œuvre les objectifs de l'année pastorale. Le diocèse compte s'appuyer sur les atouts, les qualités et le potentiel dont dispose l'Église de Meuse. Ces qualités sont parlantes pour l'ensemble des Meusiens puisqu'elles sont une partie de leur identité. Des personnes motivées, la solidarité, la richesse de l'environnement naturel et rural sont des opportunités et des ressources précieuses pour porter ces deux objectifs et trois points d'attention ci-dessous cités : Deux objectifs : A Poursuivre notre réflexion sur l'avenir de notre Église diocésaine : « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » B Vivre une année Laudato Si' « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » Nous entrons dans la deuxième étape, celle des préconisations pastorales. Cette réflexion ecclésiale est l'effort de tout le Peuple de Dieu et de chaque membre de ce peuple. Cet effort de transformation ecclésiale devra conduire chacune et chacun à dépasser ses intérêts propres, ses besoins particuliers pour PENSER ÉGLISE. Je voudrais insister pour dire que ce changement ne pourra s'accomplir sans une conversion personnelle et communautaire qui nous permettra d'avancer au cœur même de nos engagements. Une année « Laudato Si' », du 24 mai 2020 au 24 mai 2021. Une année pour apporter quelques réponses à la pandémie et nous projeter dans l'après-pandémie : « J'invite toutes les personnes de bonne volonté à y adhérer, à prendre soin de notre Maison commune et de nos frères et sœurs les plus fragiles » (Pape François). Plus que jamais il y a urgence pour notre Terre. Chacun de nous porte la responsabilité d'être artisan d'humanité et porte également la responsabilité d'être artisan de l'avenir de notre Église diocésaine, Corps du Christ.

"Dans la matinée de ce dimanche 1er novembre, les cloches de la cathédrale Saint-Maurice à Angers sonnaient pour annoncer le début de la commémoration de la Toussaint. Alors que les paroissiens entraient en nombre dans l'édifice, surveillé par des militaires armés, l'évêque Delmas confiait son ressenti sur une année singulière." [RDP du 02 novembre 2020]

"Le rapprochement de ces orientations avec celles du Synode des jeunes du Gard (2016-2018) et le rassemblement des Conseils pastoraux et Equipes d'animation (octobre 2019) nous conduit à confier cette année à deux prêtres une mission diocésaine sous une forme inspirée de celle des missionnaires de la miséricorde. Sans être vicaires paroissiaux, les Pères Nicolas DUMAS et Christophe SILVESTRE ne seront pas pour autant en marge des paroisses. Par leur ouverture la plus large possible aux populations locales là où ils iront, ils contribueront à élargir le regard des communautés paroissiales. Ils n'agiront pas isolément mais susciteront des collaborations et des relations entre personnes et groupes parfois géographiquement éloignés. Ils résideront à Nîmes à proximité l'un de l'autre, prépareront et reliront ensemble leur mission mais n'interviendront pas nécessairement ensemble."

"Le jour de sa première rencontre avec le Christ, à la dixième heure, que vivaient André et son compagnon ? Sans doute, étaient-ils eux aussi préoccupés par la situation du pays, la violence, et l'avenir de leur religion. Mais ils ne restent pas passifs ou amorphes. Ils suivent Jean le Baptiste. Celui-ci leur montre Celui qui passait : Voici l'Agneau de Dieu ! Et c'est LA rencontre ! Le prénom d'André, saint patron du diocèse, en grec signifie viril et en hébreu, il voudrait dire aussi « Celui qui a de la mémoire ». Saint André nous demande à nous membres du diocèse de Bordeaux, d'avoir de la mémoire. Quelle mémoire ? Celle de notre rencontre avec le Christ. Quelle est cette rencontre qui nous a marqués au point que nous nous souvenons de l'heure, ou du lieu, ou des circonstances ? Le Christ est venu dans nos vies. Et Il vient encore. Il nous demande ce qu'Il a demandé à André : dans ces temps difficiles, que cherchez-vous ? Que désirez-vous ?"

"Dans le livre Un temps pour changer, qui doit sortir le 2 décembre aux éditions Flammarion, le pape François se livre, entre confidences et réflexion, sur le monde de l'après-Covid-19."

""C'est Dieu qui fait l'Église, pas la clameur des œuvres", a affirmé le pape François lors de l'audience générale, ce mercredi 25 novembre, prononcée depuis la Bibliothèque apostolique du Palais apostolique. "

"Devant des religieux, le numéro 3 du dicastère pour le développement intégral, chargé de piloter la réflexion « post-covid » du Vatican a plaidé, jeudi 26 novembre, pour la mise en place d'un « nouveau modèle » pour remplacer le « néolibéralisme à bout de souffle »."

Comme chaque année pour le début de l'Avent, Mgr Roland Minnerath vient de publier sa lettre pastorale, axée sur le thème de la liberté. Intitulée Ma liberté en ce temps d épreuves, la publication diocésaine revient sur cette année particulièrement éprouvante, notre archevêque estimant que « les épreuves n'ont jamais épargné le genre humain ». Il évoque bien sûr la pandémie, mais aussi, en référence au récent attentat de Nice, au terrorisme islamiste « qui sème l'inquiétude sur notre sécurité ». Notre archevêque précise que « la protection de la santé publique est un devoir prioritaire de la puissance publique ». La vérité, c'est le Christ Mgr Minnerath s'exprime également sur le fait d'être privés d'eucharistie, un manque « qui doit aiguiser notre besoin d'eucharistie ». Il note : « Même l'éloignement temporaire de l'eucharistie peut être vécu d'une manière positive comme résolution de ne plus la manquer ». Pour notre archevêque, « nous sommes libres en vue de choisir le bien, de chercher la vérité et d'y adhérer. Suivre nos désirs et nos penchants n'est pas un acte de liberté, mais d'abdication de notre liberté. » Après avoir souligné que « l'Evangile nous fait parcourir un chemin de liberté », et que « la vérité c'est le Christ, à nous d'en témoigner », notre archevêque conclut par un passage du psaume 70 : « Tu es mon aide et mon libérateur. Seigneur ne tarde pas. » (Ps 70, 6)

"Issue du Synode diocésain, l'Ecole pour servir l'évangélisation n'est pas un lieu physique mais une équipe qui se met au service des communautés (paroisses, écoles catholiques, aumôneries, services, mouvements, etc.) pour les aider à  élaborer leur projet missionnaire, selon leur génie propre. Dans cette première vidéo, nous vous présentons la vision."

"A l'origine à destination des délégués des paroisses, services et mouvements du diocèse de Séez, cette discussion avec Mgr Habert est ouverte à tous sous sa forme numérique. Le sujet est l'orientation actuelle concernant l'Annonce de la Foi, et la démarche Disciples-missionnaires engagée depuis plusieurs mois."

"Évêque de Nanterre, Matthieu Rougé vient de publier Un sursaut d'espérance (Éditions de l'Observatoire), un essai aux allures de relecture critique du premier confinement, où il appelle à un « déconfinement spirituel »."

"Pour cause de mesure sanitaire, le 1er forum missionnaire du Pays de Lorient «Christus vivit» s'adapte pour devenir un «E-FORUM» (par internet). Témoignages en vidéo et tables rondes par web conférence, tout en gardant, beaucoup de joie et de convivialité ! Inscrivez-vous ! Le Forum Missionnaire Christus Vivit réunira les paroisses, associations et les mouvements d'Église du pays de Lorient pour développer des projets missionnaires. Les objectifs du forum restent les mêmes : fédérer les énergies des chrétiens engagés, lutter contre les sentiments d'isolement, développer des synergies, et in fine aboutir à des projets missionnaires concrets."

"Les cisterciennes de l'abbaye d'Echourgnac (Dordogne) se sont associées à Antoine et Quitterie Dumont, jeunes laïcs désormais responsables de la fromagerie du monastère."

Une formation pour tous et en particulier pour les bénévoles engagés et actifs dans l'Eglise ! Le confinement au printemps dernier a révélé de multiples manières de vivre l'Eglise mais aussi des manques, des besoins, à Marseille et dans le monde. Le pape, dans l'exhortation apostolique "Querida Amazonia", présentait déjà quatre rêve pour l'Eglise qui est en Amazonie. Il s'agit de se livrer au même exercice pour le diocèse de Marseille : en partant de notre expérience, de nos rêves partagés et en nous appuyant sur les grands textes de l'Eglise, sur la Bible... Découvrir, approfondir, renouveler notre sens de l'Eglise aujourd'hui.

"La crise sanitaire n'épargne pas les catholiques, obligés d'affronter des restrictions injustes pour les uns, normales pour les autres. Le catholicisme français en ressortira renforcé s'il accepte la confrontation interne des analyses, mais surtout en se renouvelant en profondeur."

"Conférence de Sr Geneviève COMEAU, religieuse Xavière qui enseigne la théologie au Centre Sèvres. "Nous vivons dans une société où les religions sont reléguées dans l'espace privé. Situation déstabilisante pour les croyants, chrétiens mais aussi musulmans.   Comment caractériser cette situation aujourd'hui ? Horizon sans transcendance ? Société marquée par le matérialisme ? Et, en contraste, radicalisme religieux ?   On constate cependant un regain d'intérêt pour la spiritualité, la méditation, une quête nouvelle de sens se fait jour, doublée d'une forte aspiration à la fraternité dans un monde guetté par la violence et le repli sur soi, en particulier en cette période de pandémie. C'est dans ce contexte que les chrétiens sont invités à rendre raison de leur foi. La crise actuelle de notre société et de l'Eglise invite sans doute à des chemins de conversion, d'espérance, et de fraternité universelle, ainsi que le demande le pape François.""

"Les interventions du pape François, déclarations, sermons ou encycliques, posent régulièrement la question du magistère. Il faut distinguer entre les exhortations, l'enseignement et l'autorité et accueillir avec discernement une parole profuse qui ne prétend pas être dogmatique." [RDP du 09 novembre 2020]