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latitae31

Education à la santé - Dossier d'actualité (education.gouv) - 1 views

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    En tant que lieu social de vie et d'apprentissage, l'École semble être le terrain privilégié pour promouvoir auprès des élèves l'importance d'adopter des comportements « sains », d'encourager le développement équilibré de leur personnalité, de leurs aptitudes physiques et de favoriser des comportements propices à une bonne santé. Le programme quinquennal de prévention et d'éducation mis en place en 2003 pour la santé des élèves par le Ministère de l'Éducation nationale définit en ce sens ses objectifs prioritaires et ses stratégies d'action en prenant en compte la dimension multifactorielle de ce domaine. Le premier volet de ce dossier abordera plusieurs facettes des relations entre santé et éducation : quelle légitimité de l'École à transmettre ces savoirs ? Comment faire évoluer les comportements et les savoirs-être ? Quelle formation pour les enseignants et dans quel contexte ? Le deuxième volet (publié ultérieurement) portera sur la problématique des « Écoles Promotrices de Santé » et les approches globales en promotion de la santé en contexte scolaire.
mathieu31

Le sens de la sanction dans l'action éducative - 1 views

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    Le règne de l'autoritarisme, même si les thèmes de la répression et de la discipline sont de retour, est mis à mal et ses nuisances reconnues. Aujourd'hui, l'éducation distingue la sanction qui s'attache à l'acte, de la punition qui s'en prend à la personne. Les parents comme les professionnels reconnaissent que sans légitimité il est impossible d'asseoir leur autorité et de faire accepter une sanction. Une légitimité qui se gagne dans le respect, la fermeté et la prise de conscience de l'acte commis L'autoritarisme qui domina longtemps le monde de l'éducation (l'enfant ne parlait à la table familiale que pour répondre aux questions que lui posaient les adultes) a pu trouver son antinomie dans l'enfant-roi (à qui on ne refuse rien et qui fait ce qui lui plaît quand il le veut). Entre ces deux extrémités, l'on trouve de nombreuses situations intermédiaires. Au cœur de l'attitude propre à chaque éducateur (familles, enseignants, travailleurs sociaux), il y a la question de la sanction et sa forme répressive, la punition. Là encore, entre « qui aime bien, châtie bien » qui resta un leitmotiv pendant des millénaires et le slogan de 1968 « il est interdit d'interdire », toute une palette de comportements se déploie. On connaît ainsi cette incompréhension de certaines familles immigrées confrontées au signalement transmis au juge des enfants, quand elles ont voulu punir leur enfant d'une bonne raclée. Elles ne comprennent pas toujours ce qu'on leur reproche, elles qui ne veulent que le bien de leur progéniture. À l'autre opposé, se développe depuis quelques années une nouvelle théorie, celle de la pédagogie non punitive qui affirme qu'en aucune circonstance, la punition ne peut être une solution. Faire le point sur cette question s'avère donc d'une grande pertinence. L'association Anthéa organisait les 19 et 20 mai 2008 à Marseille, deux journées d'étude intitulées « Sanction et punition dans l'éducation de l'enfan
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    Le règne de l'autoritarisme, même si les thèmes de la répression et de la discipline sont de retour, est mis à mal et ses nuisances reconnues. Aujourd'hui, l'éducation distingue la sanction qui s'attache à l'acte, de la punition qui s'en prend à la personne. Les parents comme les professionnels reconnaissent que sans légitimité il est impossible d'asseoir leur autorité et de faire accepter une sanction. Une légitimité qui se gagne dans le respect, la fermeté et la prise de conscience de l'acte commis L'autoritarisme qui domina longtemps le monde de l'éducation (l'enfant ne parlait à la table familiale que pour répondre aux questions que lui posaient les adultes) a pu trouver son antinomie dans l'enfant-roi (à qui on ne refuse rien et qui fait ce qui lui plaît quand il le veut). Entre ces deux extrémités, l'on trouve de nombreuses situations intermédiaires. Au cœur de l'attitude propre à chaque éducateur (familles, enseignants, travailleurs sociaux), il y a la question de la sanction et sa forme répressive, la punition. Là encore, entre « qui aime bien, châtie bien » qui resta un leitmotiv pendant des millénaires et le slogan de 1968 « il est interdit d'interdire », toute une palette de comportements se déploie. On connaît ainsi cette incompréhension de certaines familles immigrées confrontées au signalement transmis au juge des enfants, quand elles ont voulu punir leur enfant d'une bonne raclée. Elles ne comprennent pas toujours ce qu'on leur reproche, elles qui ne veulent que le bien de leur progéniture. À l'autre opposé, se développe depuis quelques années une nouvelle théorie, celle de la pédagogie non punitive qui affirme qu'en aucune circonstance, la punition ne peut être une solution. Faire le point sur cette question s'avère donc d'une grande pertinence. L'association Anthéa organisait les 19 et 20 mai 2008 à Marseille, deux journées d'étude intitulées « Sanction et punition dans l'éducation de l'enfan
Karen Chabriac

Réforme de la scolarité obligatoire - Comment la maltraitance et la bientrait... - 1 views

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    L'École contribue au développement de l'enfant, à sa réussite scolaire et bien sûr à la construction de sa santé physique et psychique. La bienveillance, comme posture déclinée en actes de bientraitance envers l'élève et en pratiques justes et respectueuses, favorise son bon développement. La maltraitance, définie comme tout acte ou comportement physique, verbal ou autre nuisant au bien-être, à l'épanouissement ou au développement de la personne, a des conséquences neurobiologiques et physiques, psychiatriques, relationnelles et scolaires. Bientraitance et maltraitance sont donc des déterminants majeurs du développement de l'enfant.
Karen Chabriac

Cyberviolences et climat scolaire, un nouveau défi pour les équipes éducatives - 3 views

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    "L'intervenant présente les particularités et la logique du cyberharcèlement. Après avoir rappelé l'origine du cyberharcèlement, il en identifie les différents aspects. Il distingue les deux scénarios qu'il peut prendre : un harcèlement scolaire qui se prolonge en ligne, et une agression en ligne ayant des conséquences à l'école. Selon lui, une des formes les plus dangereuses du cyberharcèlement est le sexting. Il décrit ce comportement et en identifie les trois étapes. "
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    Attention il s'agit d'une conférence filmée
Cécile Matéo

Les parents à l'École - Ministère de l'Éducation nationale - 1 views

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    Les droits des parents d'élèves à assurer leur rôle éducatif sont reconnus à travers : un droit d'information sur le suivi de la scolarité et du comportement scolaire de leurs enfants, un droit de réunion s'exerçant dans le cadre de réunions collectives ou de rencontres individuelles, un droit de participation par leurs représentants, membres ou non d'une association, élus ou désignés pour siéger dans les instances des écoles et des établissements scolaires.
loanelefresne1

Conduites à risque à l'adolescence: manifestations typiques de construction d... - 1 views

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    Au cours des dernières décennies, on a assisté à une « pathologisation » de plus en plus importante des conduites à risque à l'adolescence rarement considérées comme de simples comportements de transgression constitutifs de cette période. Pourtant plusieurs auteurs ont souligné l'importance des conduites d'exploration dans la résolution des processus identitaires, d'individuation et de socialisation au cours de cette période développementale. Cet article a pour objectif de proposer une réflexion critique sur les conduites à risque à l'adolescence et examine en quoi l'approche théorique d'Erikson et les travaux néo-eriksonniens sur la construction identitaire offrent des pistes intéressantes par rapport à la compréhension du rôle de la prise de risque au cours de cette période développementale.
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