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Conciliation études-travail

Différer les études postsecondaires : qui le fait et pendant combien de temp... - 1 views

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    Les titulaires d'un diplôme d'études secondaires ne commencent pas tous à fréquenter un établissement d'enseignement postsecondaire dès la fin du cycle secondaire. De plus en plus de jeunes Canadiens choisissent de rester en dehors du système d'enseignement pendant un certain temps avant d'y retourner. Qui sont les élèves qui décident de différer leurs études et pendant combien de temps sont-elles reportées? Dans le présent document, les données des cinq cycles de l'Enquête auprès des jeunes en transition sont utilisées pour remédier au peu d'attention que portent les chercheurs canadiens au report des études postsecondaires. Les résultats obtenus par Kaplan-Meier montrent que le délai médian s'écoulant entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début du premier programme d'études postsecondaires est de quatre mois. Cette période semble toutefois être beaucoup plus longue chez les hommes, les jeunes issus des Premières Nations, les anglophones, les jeunes Ontariens et les jeunes dont les parents ont un faible niveau de scolarité. Certaines caractéristiques des élèves pendant leurs études secondaires étaient tout aussi importantes. Par exemple, le délai médian entre l'obtention du diplôme d'études secondaires et le début des études postsecondaires était beaucoup plus long que la moyenne chez les jeunes qui avaient de faibles notes, qui travaillaient de nombreuses heures dans un emploi rémunéré pendant leurs études secondaires, qui séchaient régulièrement des cours, qui participaient à de nombreuses activités parascolaires non organisées par l'école et dont les amis proches disaient ne pas avoir l'intention de faire des études postsecondaires. confirment la robustesse de plusieurs résultat. Darcy Hango, Statistique Canada © Ministre de l'Industrie, 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume17-CET.pdf
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Perspectives internationales sur le travail des jeunes (actes de colloque) (13) - 1 views

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    En raison de leur statut d'entrants sur le marché de l'emploi, les jeunes se trouvent au cœur des mutations contemporaines du travail marquées par la libéralisation des marchés, les multiples pratiques de flexibilité organisationnelle et les nouvelles techniques et technologies de l'information. Leur situation vécue au travail, qui varie grandement selon les contextes nationaux, est l'un des meilleurs révélateurs de la diversité et de la complexité des changements en cours sur le marché de l'emploi. Conçu dans une perspective interdisciplinaire et internationale, ce livre dresse un tableau saisissant des différences et des convergences entre le Canada, la France, l'Italie, la Tunisie, le Brésil et la Chine en ce qui a trait aux diverses phases d'entrée dans la vie active. Il traite plus particulièrement de la situation des jeunes sur le marché de l'emploi, des facteurs qui interviennent dans la structuration de leur insertion professionnelle, de leur rapport au travail ainsi que de leurs nouvelles logiques d'action collective. Les analyses proposées permettent de comparer différents contextes nationaux et de mieux comprendre les valeurs, les attitudes et les comportements des nouvelles générations de jeunes, ainsi que la complexité croissante du monde contemporain du travail, à l'échelle de plusieurs pays. Sous la direction de Mircea Vultur et Daniel Mercure, Presses de l'Université Laval, 310 pages, 2011 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume13-CET.pdf
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Le travail à temps partiel durant les études chez les élèves du secondaire :... - 5 views

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    Le travail à temps partiel (TTP) des adolescent(e)s durant les études est un phénomène social de plus en plus répandu en Amérique du Nord. Pourtant, que savons-nous de ses impacts sur l'adaptation scolaire et psychosociale des élèves entre le milieu et la fin du secondaire? Dans le cadre d'une étude québécoise, des questionnaires standardisés ont été remplis par des élèves en 3e, 4e et 5e secondaire : tracas quotidiens, stratégies adaptatives, problèmes psychopathologiques, estime de soi, optimisme, autonomie et travail à temps partiel. Les relevés de notes des élèves en mathématiques, en français ainsi que le relevé général furent également recueillis. Globalement, les résultats révèlent que le TTP durant les études s'avère un facteur de risque pour l'adaptation scolaire des élèves en 3e et en 4e secondaire travaillant plus de onze heures par semaine, ce qui n'est pas le cas de ceux appartenant à la même catégorie en 5e secondaire. Par contre, aucun coût réel associé au TTP durant les études n'a été observé sur l'adaptation psychosociale des adolescent(e)s et cela, aux trois cycles scolaires. D'autres analyses indiquent qu'un TTP effectué en 3e secondaire ne permet pas de prédire la sévérité des tracas quotidiens, les ressources personnelles, les résultats scolaires et les comportements intériorisés et extériorisés mesurés en 4e secondaire, exception faite des stratégies adaptatives productives et sociales évaluées en 5e secondaire. La conclusion porte sur l'importance de renforcer les facteurs de protection de chaque élève afin de mieux faire face au tandem travail-études. Michelle Dumont UQTR, p 161, Revue Éducation et Francophonie, volume XXXV :1, printemps 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_06-CET.pdf
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À la croisée des chemins : premiers résultats de la cohorte des 18 à 20 ans ... - 5 views

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    À plusieurs égards, les jeunes âgés de 18 à 20 ans se trouvent à la croisée des chemins. Pour plusieurs, la transition de l'école au marché du travail est un processus complexe et non linéaire - certains jeunes fréquentent l'école et travaillent en même temps, d'autres retournent à l'école après être entrés sur le marché du travail, et d'autres encore occupent un certain nombre d'emplois à temps partiel ou temporaires avant de se fixer dans une relation d'emploi plus stable. Du fait de ces différents cheminements, une enquête qui permet de suivre les progrès des jeunes au fil des ans constitue un instrument clé pour déterminer les facteurs qui peuvent les aider à poursuivre avec succès leurs objectifs de scolarité et d'emploi. Le point 3.4 P 39 et 40, est directement lié à la conciliation travail-études en montrant le lien entre le travail pendant les études secondaires et le risque de décrochage. Les autres parties montrent l' intérêt aux études des jeunes en mettant en perspective les différences entre les provinces à l'égard de l'abandon scolaire. Quelques faits : * Les diplômés du secondaire étaient plus susceptibles que les décrocheurs d'occuper un emploi rémunéré au cours de leur dernière année d'études secondaires. * Parmi ceux qui occupaient un emploi rémunéré, les taux de décrochage étaient les plus faibles pour ceux qui travaillaient un nombre modéré d'heures par semaine et les plus élevés pour ceux qui avaient l'équivalent d'un horaire à temps plein. * Les décrocheurs de sexe masculin, qui travaillaient en même temps qu'ils fréquentaient l'école, étaient plus susceptibles d'avoir accompli de longues heures de travail. Jeffrey W. Bowlby et Kathryn Mc Mullen, Statistique Canada, 80 p. janvier 2002 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_02.pdf
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Y a-t-il un lien entre l'emploi pendant les études et la réussite scolaire? (1) - 4 views

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    Des données récentes sur le marché du travail indiquent que les étudiants inscrits à plein temps dans une université ou un collège travaillent plus que jamais. En effet, selon l'Enquête sur la population active (EPA), que Schwartz mentionne dans sa recherche, 52 % des femmes et 41 % des hommes âgés de 20 à 24 ans qui étudient à plein temps occupaient un emploi durant l'année universitaire 2007-2008. Faut-il s'en inquiéter? Cela dépend du type de répercussions que cela peut avoir sur la réussite des études. Selon l'opinion générale, le fait d'avoir un emploi trop accaparant peut compromettre la réussite de l'étudiant, aussi brillant et compétent soit-il. Mais, presque tout le monde s'accorde aussi pour dire que travailler seulement quelques heures par semaine n'a que peu d'effet sur la réussite des études. Or, malgré cela, la question est loin d'être close. L'étude décrit les tendances récentes sur les étudiants qui travaillent et les motifs qu'ils invoquent pour justifier leur besoin d'un emploi. Puis, elle examine brièvement des études récentes sur les répercussions du travail des étudiants sur leur réussite. L'auteure émet dans sa conclusion un avertissement général à l'effet que les étudiants de niveau postsecondaire travaillent de plus en plus pour des raisons économiques et que le fait de travailler nuit à la réussite de certains et a même des effets néfastes. Des mesures économiques devraient être mise en place pour éviter que les étudiants qui sont obligés de travailler de nombreuses heures, puissent trouver de l'aide afin de consacrer leur temps à étudier. Motte, Anne Schwartz, Saul, Canada Millennium Scholarship Foundation, avril 2009 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_1-CET.pdf
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La vie bien chargée des adolescents (10) - 4 views

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    Cet article examine les tendances relatives au nombre d'heures que les adolescents consacrent tous les jours aux études, au travail rémunéré et aux travaux ménagers. En dehors de l'école, les adolescents peuvent aussi commencer à développer leur capital humain à travers un emploi rémunéré, des activités bénévoles, voire des travaux ménagers. Mais trop de temps passé à faire du travail rémunéré et non rémunéré pourrait entraîner du stress chez ces adolescents et se répercuter sur leur bien-être ainsi que sur leurs résultats scolaires. En 2005, le temps moyen passé à faire un travail rémunéré a atteint 0,7 heure durant les journées d'école et 1,7 heure durant les journées sans école. Cela représente environ 7,6 heures par semaine, soit une hausse de deux heures par rapport aux trois périodes antérieures. Le taux d'activité quotidien pour un travail rémunéré a lui aussi légèrement augmenté, surtout en raison des taux de fin de semaine plus élevés : en 2005, 28 % ont dit travailler durant les journées sans école, contre 20 % en 1986. En 2006, 40 % des filles et 34 % des garçons âgés de 15 à 19 ans et qui fréquentaient l'école ont déclaré avoir un travail dans la semaine de référence de l'EPA, avec un total d'heures hebdomadaires habituelles de 13,6 et 14,5 respectivement. Les deux enquêtes montrent que les filles dépassent désormais les garçons en matière de taux d'emploi et que leurs heures moyennes travaillées convergent. Ces tendances donnent à penser que l'écart entre l'activité sur le marché du travail des femmes et des hommes pourrait continuer à diminuer avec l'entrée permanente de cette jeune génération dans la population active. Marshall Katherine, Statistique Canada, vol. 8 no 5, mai 2007 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_10-CET.pdf
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Travail pendant les études, performance scolaire et abandon - 1 views

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    Le travail pendant les études doit lui aussi faire l'objet d'une attention particulière. Doit-on, comme il fut proposé par certaines instances, limiter le nombre d'heures travaillées pendant les études? La présente recherche montre que les réponses à cette question doivent être nuancées. Pour plusieurs étudiants, travailler moins de dix heures par semaine est loin d'inciter au décrochage, et l'expérience de travail acquise parallèlement aux études favorise même parfois l'insertion sur le marché de l'emploi de ceux qui obtiendront leur diplôme. On pourra néanmoins arguer que les étudiants qui veulent « meubler » une partie de leur temps libre ont avantage à consacrer plus d'heures aux études qu'à la recherche d'un emploi rémunéré. Des statistiques de l'OCDE (1995) montrent qu'au Canada, en 1991, les élèves de 14 ans cumulaient en moyenne 1000 heures de cours par année, ce qui reste inférieur aux moyennes observées aux États-Unis, en France, en Belgique, en Suisse et aux Pays-Bas; dans ce dernier pays, le nombre annuel moyen d'heures de cours atteint 1200. Le Canada occupe parmi 24 pays considérés le 8e rang parmi les pays qui affichent les moins bonnes performances quant au nombre d'heures consacrées à l'étude en dehors des heures de classe par des élèves de 8e année en mathématiques. Il serait aussi intéressant de regarder de plus près le fonctionnement des écoles privées où l'abandon reste moins fréquent. (Cette recherche date de 1999, mais son contenu est intéressant comme point de comparaison entre hier et aujourd'hui). Marcel Dagenais, Claude Montmarquette, Daniel Parent, Nathalie Viennot-Briot, CIRANO, novembre 1999 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume-11-CET.pdf
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Entre la classe et les Mcjobs : portrait d'une génération de cégépiens (8-9) - 2 views

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    Qui sont les cégépiens d'aujourd'hui ? À quoi aspirent-ils ? Quelles sont leurs valeurs ? Quelle importance accordent-ils à leurs études ? Quel est leur rapport avec leurs parents, leurs professeurs ? Pourquoi travaillent-ils en même temps qu'ils étudient à temps plein ? Le monde de la consommation occupe-t-il un espace significatif chez eux ? Quelles sont leurs conditions socioéconomiques ? Sont-ils heureux au cégep ? Quels sont les principaux facteurs qui se posent en obstacles à la réussite scolaire ? Voilà autant de questions - et d'autres encore - qui sont abordées dans l'ouvrage. Celui-ci puise essentiellement aux résultats d'une récente recherche réalisée dans l'ensemble du réseau collégial ainsi qu'aux constats d'autres études effectuées sur les jeunes au Québec et ailleurs en Occident. Le livre trace le portrait de la réalité des cégépiens à travers quatre milieux : le cégep, la famille, le travail et le réseau social. Chemin faisant, il démasque certains mythes entretenus sur les cégépiens et il rend compte de certaines contradictions qu'ils peuvent vivre dans leur cheminement personnel. Là où les cégépiens actuels se distinguent le plus de leurs prédécesseurs, c'est dans leur rapport au travail rémunéré pendant les études. À la fin des années 1970, moins de 20 % des étudiants du collégial occupaient un emploi. Aujourd'hui, 72 % d'entre eux sont dans cette situation, à raison, en moyenne, de 17,2 heures par semaine. En additionnant les heures qu'ils consacrent à leurs cours, à l'étude et à leur emploi, on obtient des semaines de 46 heures. Pas mal pour des jeunes soupçonnés de s'adonner à la paresse. Jacques Roy, Presses de l'Université Laval, Collection : Regards sur la jeunesse du monde, 142 pages, octobre 2008 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_08-09-CET.pdf
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Pourquoi les étudiants qui travaillent 10 à 19 heures par semaine excellent-... - 1 views

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    Les coûts moyens annuels de l'éducation continuent d'augmenter partout au pays. Les coûts moyens de 2006-2007 (incluant les frais de scolarité, l'hébergement et les frais de subsistance, les manuels et les fournitures, le transport et autres dépenses) s'élevaient à 16 357 $ pour 4 années d'études dans des collèges et universités publics, et à 33 301 $ pour le même nombre d'années d'études dans des collèges et universités privés. Ces coûts représentent une augmentation de près de 6 % depuis 2005-2006. L'inflation au cours de la même période atteignait environ 4 %. L'escalade des coûts reliés à la scolarité soulève de l'inquiétude et les étudiants sont contraints de réfléchir à la façon dont payer leurs études. Certains empruntent ou encore obtiennent des allocations ou bourses d'études. D'autres, cependant, doivent assumer seuls les coûts et pour ce faire, travaillent à temps plein ou partiel. Près de 80 % de tous les étudiants au niveau collégial travaillent pendant qu'ils complètent leurs études (Riggert). De nombreuses recherches ont été menées afin de déterminer les effets du travail à temps plein et partiel sur le succès scolaire des étudiants au collégial. Cet article vise à résumer certaines des conclusions générales de ces recherches, et à fournir des suggestions sur la façon dont les bureaux de placement étudiant universitaire pourraient utiliser ces données. Compilé par Shawn Hammond des services de placement étudiant de l'université BYU (Brigham Young University), décembre 2006 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_05-CET.pdf
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Éducation, compétences et apprentissage : Étudier, travailler et décrocher :... - 3 views

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    L'entrée précoce des élèves sur le marché du travail est souvent considérée comme un moyen d'acquérir une expérience utile de la culture et du milieu de travail. Cette expérience peut se traduire par des bénéfices à long terme, tels qu'une transition plus harmonieuse des études à un emploi à temps plein, l'acquisition de compétences pratiques et des gains ultérieurs plus élevés. L'activité sur le marché du travail peut, toutefois, s'accompagner de certains coûts. Ainsi, le travail pendant les études secondaires a été associé à une diminution du rendement scolaire, au désengagement à l'égard des études et même au décrochage. Axée sur les données de l'Enquête auprès des jeunes en transition visant la cohorte des 18 à 20 ans, EJET (voir résumé 2) recueillies en 2000, la présente étude examine la relation entre le travail au cours de la dernière année des études secondaires et le décrochage avant l'obtention du diplôme. En tenant compte de l'effet de ces facteurs, la relation entre les heures de travail et le décrochage reste significative. Plus précisément, cette recherche conclut que les élèves qui ne travaillent pas du tout sont plus susceptibles de décrocher que les élèves qui travaillent moins de vingt heures par semaine, et les élèves qui travaillent trente heures et plus par semaine forment le groupe le plus susceptible de décrocher au secondaire. Tracey Bushnick, Statistique Canada, No 81-595-MIF2003004, 2003 Pour plus de détails : http://www.perseverancescolaire.com/wp-content/uploads/2013/05/Resume_03-CET.pdf
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