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"Le curé, deux sœurs et deux fidèles on été retenus dans l'église. Les preneurs d'otages ont été tués. Ils auraient crié Daesh en entrant dans l'église."

"Prise d'otages dans l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Seine-Maritime, près de Rouen. Au moment de la messe, deux individus ont fait irruption dans l'église, par une entrée à l'arrière. Six personnes se trouvaient là : le prêtre qui célébrait l'office, trois religieuses et deux fidèles. L'une des religieuses a réussi à prendre la fuite et a donné l'alerte. L'assaut a été rapidement donné par les forces de sécurité. Interrogé par Radio Vatican, Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, affirme que le prêtre a été tué, un otage est entre la vie et la mort : les deux assaillants ont été tués par la police. Mgr Lebrun, actuellement à Cracovie, s'apprête à rentrer sur Rouen. Le président français François Hollande doit se rendre sur place."

"Vers 9h45 ce matin, deux individus ont pris en otages plusieurs personnes dans une église près de Rouen, à Saint-Etienne-du-Rouvray. Ils ont été abattus par la BRI. Selon plusieurs médias, le prêtre et un fidèle ont été égorgés. Le Point affirme que les deux hommes étaient "barbus", et qu'ils ont crié "Daech" en entrant dans l'église."

"Un prêtre a été égorgé par deux hommes, ce mardi matin, dans l'église où il officiait à Saint-Etienne-du-Rouvray. Une autre personne est entre la vie et la mort. "

"Deux forcenés munis d'armes blanches ont pris en otage plusieurs personnes dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray, ce mardi. Les deux assaillants ont été neutralisés par les hommes du Raid et de la BRI. Mais l'un des otages, un curé, a été égorgé."

"Après l'assassinat d'un prêtre et une prise d'otage dans l'église de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-maritime), le monde religieux s'associe à la douleur des victimes et appelle à la prière et la fraternité."

"L'évêque de Versailles, Mgr Éric Aumonier, dans un message vidéo diffusé sur le site du diocèse de Versailles, a réagi à cette nouvelle attaque terroriste, la première en France depuis le 13 novembre 2015 : «Ce matin je viens d'apprendre comme vous tous le sauvage assassinat de deux policiers. Je pense à leur enfant, qui a été spectateur de tout cela. Je lui exprime évidemment toute ma compassion et en même temps je voudrais dire toute mon estime aux policiers pour le travail qu'ils font, pour le courage que cela demande, pour le calme qu'ils démontrent. Et je souhaite qu'ils ne perdent pas l'ardeur et le goût qu'ils ont pour leur métier. Nous comptons tous sur eux, bien entendu. Je voudrais aussi profiter de cette circonstance terrible pour nous inviter les uns les autres à ne pas, à ne jamais nous décourager d'œuvrer pour la paix, partout où nous sommes, au plan local comme sur l'ensemble du pays.»"

Réalisé au lendemain de l'attentat dans une église à Saint-Etienne-du-Rouvray, le sondage Ifop pour Atlantico.fr, montre que le regard des Français sur les questions de lutte contre le terrorisme a profondément changé en l'espace d'un an et demi, depuis les attentats de janvier 2015. Après deux attentats en l'espace de deux semaines, la sécurité et la lutte contre le terrorisme apparaissent comme les enjeux les plus importants aux yeux des Français. Une majorité des personnes interrogées (58%) place en effet cet enjeu en tête de leurs préoccupations, loin devant la lutte contre le chômage (17% de citations en premier). L'évaluation de la menace terroriste se retrouve à un niveau très élevé. 65% des personnes interrogées la considèrent comme étant « très élevée », atteignant presque le seuil maximal du 16 novembre 2015 (68%). Dans ce contexte, les Français font de moins en moins confiance à François Hollande et au gouvernement pour faire face et lutter contre le terrorisme (29%), tandis que les forces de l'ordre bénéficient toujours d'un capital confiance élevé (80%), même s'il semble s'éroder progressivement (-4 depuis mi-juillet et -8 depuis janvier). Un basculement se fait jour également s'agissant de la reconnaissance d'une situation de guerre sur le territoire national. Après l'attentat de Nice, les Français étaient très partagés sur cette question puisque 50% d'entre eux considéraient que le pays avait basculé dans une situation de guerre, tandis que 50% ne le reconnaissait pas. Cette fois-ci, après l'attaque de Saint-Etienne-du-Rouvray, une majorité nette estime que la France est dans un état de guerre (55%). Face à cette situation, la position des Français concernant les personnes « fichées S » se durcit : près des trois quarts d'entre eux (74%, +6 points depuis mi-juillet) sont plutôt favorables à leur emprisonnement.

Huit mois après les attentats du 13 novembre, le site d'information Atlantico et l'Ifop ont souhaité interroger les Français sur leurs craintes d'un regain de tensions communautaires dans notre pays. Le premier enseignement majeur de cette étude, c'est que le spectre des affrontements communautaires est aujourd'hui bien présent dans les têtes. Quasiment trois quarts des Français (73%) jugent probable ou certain ce scénario en cas de survenue d'une troisième série d'attentats. Ces chiffres viennent corroborer un ressenti manifestement très largement partagé. La situation de tension est donc relativement forte, même si la France n'a pas eu à déplorer, pour l'instant, des événements de ce type de manière totalement organisée. Nous avons certes à chaque fois, plus après janvier que novembre, un pic dans les actes anti-musulmans (agressions, tags, dégradations, incendies, etc.). Le deuxième enseignement concerne l'attitude des Français dans un tel scénario. Le souhaite-t-on ou le redoute-t-on ? Sur ce point, la société française donne un visage relativement sombre. Une petite majorité de Français a condamné ces actes (actes qui ne se sont certes pas encore produits, la réaction serait peut-être différente le cas échéant). Il est important de préciser que nous avons mentionné explicitement dans les questions les formes que ces actes de représailles pourraient prendre. Ces résultats montrent que "seulement" un Français sur deux condamnerait de tels actes. Une très forte minorité (39%) comprendrait sans approuver. Une plus faible minorité (10%) approuverait.

"Entretien - Dans les Antilles françaises, la Guadeloupe et la Martinique font face à plusieurs défis dans une société gangrénée par la désagrégation de la cellule familiale. Mgr Jean-Yves Riocreux, évêque de Basse-Terre depuis 2012, nous en a fait part lors de son dernier passage à Rome."

"Le tribunal correctionnel de Tours a condamné ce mercredi l'agresseur d'un prêtre de l'Île-Bouchard à deux ans de prison dont six mois avec sursis. Le 27 décembre dernier, l'homme avait, sous la menace d'un couteau, contraint le sacristain à le suivre dans un périple vers Ingrandes-de-Touraine."

Institutions Patriarcat latin de Jérusalem Document - Appel au sujet du trafic d'êtres humains dans le Sinaï par l'Assemblée des ordinaires catholiques CS - Vu le 20/08/2012

"On lui reproche d'être intolérante et violente, au nom de Dieu. Mais un document rédigé par la commission théologique internationale renverse l'accusation. C'est la dictature du relativisme qui veut chasser la foi de la sphère civile "

"L'Acat (Action des chrétiens pour l'abolition de la torture) publie son rapport annuel sur le phénomène tortionnaire dans le monde. Une pratique terrifiante qui touche un pays sur deux."

"Le cardinal Jean-Louis Tauran, Président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, dénonce la « perversion morale » du terrorisme religieux"

"Mais là où ce million et demi de "likes" doit être analysé différemment des 3 exemples précédents, c'est précisément parce qu'il mobilise, toujours sur le mode pulsionnel, une empathie cette fois parfaitement incarnée, faussement engagée, une empathie dans laquelle toute mise à distance symbolique, personnelle, affective ou critique est abolie"

"Au chevet de notre pays pour lutter ensemble contre le « climat malsain » qui s'y « répand », syndicalistes, politiciens de gauche, de droite et religieux de multiples confessions ont présenté un texte qui entend recentrer la France sur ses valeurs, « l'intelligence » et le « bon sens »."

"En reportage aux États-Unis, Daniel Cohn-Bendit fait un rapprochement entre les religions judeo-chrétiennes et l'idée de vengeance. Pour le père Matthieu Rougé, l'ancien député européen commet un contre-sens et manque de rigueur intellectuelle."

"Pour que les islamistes puissent violer en toute bonne conscience leurs captives, Daesh a édicté une doctrine justifiant le viol par le Coran."