Libre accès à la recherche britannique : un projet controversé - 0 views
Mobilisation pour des publications scientifiques en Libre Accès - 0 views
Master classe : Michel Serres et la réussite - francetv éducation - 0 views
Times Higher Education - Sage cuts price of open-access journal - 0 views
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Recognition that non-science academics often lacked specific research funding led the California-based commercial publisher to launch Sage Open with an article fee of just $695, compared with PLoS ONE's $1,350 - and $5,000 at Elsevier's Cell titles. Sage Open has so far received more than 1,400 manuscripts, and published more than 160 articles. However, a recent survey of authors indicated that more than 70 per cent of Sage Open's accepted authors had paid the article fee out of their own pocket, while only 15 per cent of all articles published in 2012 across Sage's fleet of humanities and social sciences journals derived from research projects with allocated funding.
Petite Poucette : la douteuse fable de Michel Serres | Revue Skhole.fr - 0 views
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Un long article ciritique de l'ouvrage de Michel Serres : "Nous nous contenterons dans cet article de discuter le livre de M. Serres sur deux points distincts mais pour partie reliés. D'une part sur sa conception de la technique et de l'histoire humaine comme « extériorisation », qui nous paraît globalement juste mais incomplète et quelque peu schématique ; ces insuffisances théoriques se traduisant en particulier, dans l'ouvrage, par un profond aveuglement politique, qui confine au déni, à l'égard des conditions socio-économiques en général, et surtout de celles dans lesquelles se développent de fait aujourd'hui les technologies numériques. D'autre part, c'est la partie du livre consacrée à l'école et à l'éducation qui fera l'objet d'un examen critique approfondi, dans la mesure où les enjeux éducatifs et scolaires y sont réduits par Serres à la seule question de l'accès au(x) savoir(s) voire à l'information. Ces insuffisances ont selon nous pour effet d'appauvrir dramatiquement ce que pourrait être une pensée philosophique, digne de ce nom, de l'éducation à l'ère du numérique. Pour le dire brutalement et d'un mot, passé l'effet de séduction immédiate, l'opuscule de M. Serres ne nous paraît vraiment pas à la hauteur des enjeux ni même de certaines de ses propres intuitions. De ce point de vue, il se révèle au mieux d'un faible intérêt, au pire dangereusement ambivalent."