"'We basically took a sample of 320,000 papers from various databases and developed "harvester" software to look for the availability of articles,' says Science-Metrix CEO Éric Archambault. 'If it was able to download a paper it would classify it as a free article.'
The software searched papers across different disciplines, published between 2001 and 2011 in Europe, Brazil, Canada, Japan and the US. The sample included material from online databases, such as Scopus and PubMed, as well as the websites of publishers, institutions and researchers. Over 40% of peer-reviewed articles published worldwide over the whole 10-year period could be downloaded for free, and for 2011 alone this figure rose to around 50%.
The report's estimates are significantly higher than those generated by similar studies, most of which put the proportion of published papers that are open access in the region of 20-30%."
"Cette page est un de nos outils de formation à l'information scientifique. C'est un exercice de découverte de la démarche scientifique à travers la lecture d'un article de recherche, publié en 2009 dans la revue BASE.
Dans le parcours proposé, le lecteur pourra découvrir les différentes parties de l'article et les caractéristiques propres à l'écriture d'un article de recherche."
Un long article ciritique de l'ouvrage de Michel Serres : "Nous nous contenterons dans cet article de discuter le livre de M. Serres sur deux points distincts mais pour partie reliés. D'une part sur sa conception de la technique et de l'histoire humaine comme « extériorisation », qui nous paraît globalement juste mais incomplète et quelque peu schématique ; ces insuffisances théoriques se traduisant en particulier, dans l'ouvrage, par un profond aveuglement politique, qui confine au déni, à l'égard des conditions socio-économiques en général, et surtout de celles dans lesquelles se développent de fait aujourd'hui les technologies numériques. D'autre part, c'est la partie du livre consacrée à l'école et à l'éducation qui fera l'objet d'un examen critique approfondi, dans la mesure où les enjeux éducatifs et scolaires y sont réduits par Serres à la seule question de l'accès au(x) savoir(s) voire à l'information. Ces insuffisances ont selon nous pour effet d'appauvrir dramatiquement ce que pourrait être une pensée philosophique, digne de ce nom, de l'éducation à l'ère du numérique. Pour le dire brutalement et d'un mot, passé l'effet de séduction immédiate, l'opuscule de M. Serres ne nous paraît vraiment pas à la hauteur des enjeux ni même de certaines de ses propres intuitions. De ce point de vue, il se révèle au mieux d'un faible intérêt, au pire dangereusement ambivalent."