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Alain Marois

Matthew Reidsma : Bad Library Websites are just a Symptom - 0 views

  • The problem is a library culture that gives lip service to user needs while really catering to librarians.
  • Unfortunately, this fight isn’t about who spends more time researching what users need; it’s an internal power struggle over whose personal vision for the library website will win out. It’s about librarian tribes and political infighting, and the end results is always a bad user experience. Always.
  • Now, librarians are not like library users. This is a fundamental rule of user experience design, and a mantra that we should all repeat, endlessly, as we do our work:
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  • “But we test with real users!” you say. Really? Doing one usability test every 3-5 years when you redesign your website doesn’t tell you anything. Handing out a survey by itself once every few years doesn’t do anything except waste paper. Done infrequently, these things just let you check off the “user-centered design” box when you write up the whole process for Library Journal. Understanding your users isn’t one step in a long process to make a great web experience. It’s the foundation of that experience. This is about building a relationship with your users. How many successful relationships have you seen that do a quick check-in once every 3-5 years? You should always be doing it. ALWAYS.
  • Check your gate counts. Now check your Web usage statistics. Is your catalog on your website? Your databases? Then guess what: 100% of your users come through the website. Now, how many come through the front door? Less than 100%. Yet where do your library’s priorities lie? You can find them written in the staff directory. How many people spend their time dealing with patrons in meat space? Now how many spend their time building great web experiences? See the discrepancy?5
Alain Marois

Position du Conseil scientifique d'OpenEdition sur le libre accès | L'Édition... - 0 views

  • Nous affirmons que le libre accès aux résultats de la recherche scientifique est une avancée pour la société dans son ensemble. Il s’agit d’un paradigme efficace et juste, car il facilite l’accès par les chercheurs du monde entier, mais également par l’ensemble des citoyens, aux résultats de la recherche. Les bénéfices directs sont évidents pour le progrès de la science, de la connaissance et de la société. 
  • Dans le secteur des Sciences humaines et sociales, qui permet de comprendre les sociétés complexes dans lesquelles nous vivons, le libre accès aux résultats de la recherche est également essentiel, tant à la marche de nos sociétés qu’à l’enrichissement culturel de chacun. Par ailleurs, le libre accès favorise le rayonnement de la recherche bien au-delà des frontières nationales et disciplinaires. Enfin, l’essentiel des recherches étant financées sur fonds publics, il est nécessaire de restituer au public les fruits de cet investissement collectif aussi vite et aussi efficacement que possible.
  • Ce qu’on appelle la voie dorée (« gold road ») est fortement soutenue par le Royaume Uni, suite au rapport Finch. Le Gold Open Access désignait traditionnellement des publications éditées (revues, livres) en libre accès. Progressivement, cette définition a été détournée pour se résumer à un seul modèle économique, celui de l’“auteur-payeur”. Ce modèle se développe rapidement et impose le paiement, par les auteurs, leur centre de recherche ou leur organisme de financement, de sommes variables pour couvrir les frais d’édition (entre 1000$ et 5000$ par article). Ce mécanisme, généralisé dans certaines disciplines, ne nous paraît pas le plus favorable au progrès de la science : il relie la capacité à publier à la capacité financière du chercheur, de son laboratoire ou de son établissement ; il comporte, dans son principe, une incitation pour les éditeurs à augmenter le nombre de publications, alors que leur mission et leur modèle économique reposaient traditionnellement sur une sélection des meilleurs articles ou livres ; l’écosystème éditorial en vient à dépendre d’une relation trop exclusive entre l’auteur, ou plutôt l’institution qui le finance, et les éditeurs. Se retrouvent dès lors marginalisés les représentants de lecteurs, notamment les bibliothèques, qui, dans le modèle traditionnel, réalisent des choix dans l’offre éditoriale.
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  • Nous manifestons notre préférence pour une troisième voie pour le libre accès. La voie appelée platinum est celle d’une édition en libre accès qui permet aux auteurs de publier et aux lecteurs de lire sans obstacle financier. Pour financer un tel modèle, diverses modalités existent, recensées par l’Open Access Directory. Nous privilégions un modèle hybride, le modèle  Freemium, dans lequel le texte est en libre accès, mais un ensemble de services à forte valeur ajoutée sont par ailleurs commercialisés. 
Alain Marois

OASPA's response to the recent article in Science entitled "Who's Afraid of Peer Review... - 0 views

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    dernier contenu ajouté au groupe; amusez vous bien, alain
Alain Marois

"Where are my Marc records?" - Librarians' perception of discovery ... - 0 views

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Alain Marois

Half of all papers from 2011 are open access | Chemistry World - 0 views

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    "'We basically took a sample of 320,000 papers from various databases and developed "harvester" software to look for the availability of articles,' says Science-Metrix CEO Éric Archambault. 'If it was able to download a paper it would classify it as a free article.' The software searched papers across different disciplines, published between 2001 and 2011 in Europe, Brazil, Canada, Japan and the US. The sample included material from online databases, such as Scopus and PubMed, as well as the websites of publishers, institutions and researchers. Over 40% of peer-reviewed articles published worldwide over the whole 10-year period could be downloaded for free, and for 2011 alone this figure rose to around 50%. The report's estimates are significantly higher than those generated by similar studies, most of which put the proportion of published papers that are open access in the region of 20-30%."
Alain Marois

Lire la science - 1 views

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    "Cette page est un de nos outils de formation à l'information scientifique. C'est un exercice de découverte de la démarche scientifique à travers la lecture d'un article de recherche, publié en 2009 dans la revue BASE. Dans le parcours proposé, le lecteur pourra découvrir les différentes parties de l'article et les caractéristiques propres à l'écriture d'un article de recherche."
Alain Marois

Michel Serres à la télévision KTO 12/01/08 - YouTube - 0 views

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    Interview de Michel Serres sur la chaine KTO (2008) Durée 1h
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    Interview de Michel Serres sur la chaine KTO (2008) Durée 1h
Alain Marois

BnF - L'expérimentation OpenCat - 1 views

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    et pourquoi pas #okjesors
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