C'est sûre que c'est pas un podcast qui va m'inviter à Los Angeles ! (au fait, je suis dépendant 24h chromo de ta faute ! j'espère que t'a des patch pour moi).
Parler d'identité numérique à des élèves, c'est loin d'être facile. Il faut commencer par capter leur attention, et une fois que c'est fait, faire passer le message, avec le tact et la pédagogie nécessaires. En effet, 2 générations s'opposent, si je puis dire, et les repères de l'une ne sont pas les repères de l'autre.
Parler d'identité numérique à des élèves, c'est loin d'être facile. Il faut commencer par capter leur attention, et une fois que c'est fait, faire passer le message, avec le tact et la pédagogie nécessaires. En effet, 2 générations s'opposent, si je puis dire, et les repères de l'une ne sont pas les repères de l'autre.
Le New York Times se fait l'écho d'une enquête qui ne mesure presque aucun avantage à la possession d'un ordinateur lors des études primaires ; pire, la possession d'un ordinateurs semble creuser les inégalités, en faisant stagner les élèves déjà défavorisés dans le système éducatif.
"Les ordinateurs sont devenus tellement importants qu'ils sont devenus une épée à double tranchant",
Quand ils fonctionnent bien, (les ordinateurs) sont formidables. Mais quand quelque chose ne va pas, nous paniquons tout de suite – c'est ce que j'appelle le syndrome du stress informatique."
64 % affirment que leur "ordinateur a déjà été source d'angoisse ou d'anxiété"
Les causes principale sont les ralentissements du système (51 %), la lenteur au démarrage (36 %), les infections par des virus (16 %), l'impossibilité de se connecter à Internet (15 %), ou un Wi Fi instable (14 %).
64 % des personnes interrogées se passent de professionnels
Seules 15 % en appellent à leur hotline (Internet ou fabricant de leur ordinateur)
Encore plus surprenante est la tendance des entreprises à réaliser elles-mêmes, en interne, leurs produits de e-learning. 60 % des répondants disent en effet réaliser tout ou partie de leurs produits en interne, alors qu'ils ne sont que 44 % à acheter des contenus "sur étagère" et à les utiliser sans les modifier
le web 3.0, c’est le moment où ils oublient qu’ils sont en train de le faire. Quand le GPS, dans votre téléphone, relaie votre localisation à tous les services que vous aimez, quand Facebook utilise la reconnaissance faciale sur les photos qu’on y poste, quand vos transactions financières sont pistées. Là, quelque chose a changé qualitativement
“Le web devient le monde, explique Tim O’Reilly. Toute chose, et tout être humain deviennent des ombres informationnelles, projettent des données qui, si elles sont bien captées et intelligemment agencées, offrent d’extraordinaires possibilités
La “gamification”. Par ce mot, explique Burkeman, on désigne l’utilisation de procédés ludiques, provenant du jeu vidéo, pour garder l’attention et l’engagement de l’usager.
L’état ultime de la connectivité, explique Shirky, est ce qui fournit aux citoyens un plus grand pouvoir.
Le biomimétisme arrive. Le biomimétisme, c’est chercher dans la nature les solutions qu’elle a trouvées à certains problèmes.
Nous sommes faits pour l’impulsion
l’Internet nous distraie s’il nous empêche de faire ce que nous voulons vraiment faire. Si tel n’est pas le cas, il ne nous distrait pas.
ce danger, c’est la tendance que nous avons à nous considérer comme des ordinateurs, en travaillant des heures d’affilée, sans pause et à grand renfort de café.
nous ne sommes pas faits pour fonctionner comme des ordinateurs, dit Schwartz, nous sommes faits pour l’impulsion. En ce qui concerne la manière de gérer notre énergie, nous devons remplacer la perspective linéaire par une perspective cyclique
Nous vivons sur le mythe que la meilleure façon de travailler est de travailler des heures durant.
Quoique vous étiez imaginé de l’infiltration de la culture numérique dans tous les aspects de nos vies, au final, nous ne sommes pas des ordinateurs.
Les études sociologiques relèvent donc principalement le besoin d’affirmation qui repose notamment sur l’exhibition de son capital relationnel[6], et de son affiliation au groupe[7], partie intégrante de la définition de soi adolescente..
L’intérêt de séparer le bon grain de l’ivraie n’est pas perçu, tandis que la capacité à repérer l’information pertinente s’avère souvent difficile car elle suppose fréquemment des connaissances au préalable.
Pour autant, cette distinction entre besoins d’information et besoins d’affirmation est rarement effectuée et l’opposition entre pratiques adolescentes et pratiques scolaires aboutit fréquemment à une remise en cause de l’institution
associées aux jeunes générations des expressions qui expriment leur intérêt pour les objets techniques : natifs du numérique, génération Google, génération Internet
Cependant, faut-il parler de pratiques, d’usages voire de culture numérique adolescente ?
Les trois expressions sont parfois difficiles à distinguer. La pratique recouvre généralement davantage la finalité, tandis que l’usage se réfère au comment, à la manière de
On parle souvent d’usages à propos des outils (le stylo, le téléphone) et de pratiques à propos de nos pratiques sociales (écrire une lettre d’amour, appeler un ami), mais les dispositifs numériques rendent de plus en plus souvent cette distinction malaisée, certaines pratiques s’identifiant dans un premier temps aux outils et aux plateformes techniques qui en sont les vecteurs (je blogue).
Mission possible en TIC c'est...
Une activité intégrant les TIC d'une heure par mois, un réinvestissement mensuel;
Tout le matériel qu'il vous faut pour les vivre;
Un projet qui peut s'étaler sur trois ans ou amalgamé à votre guise...
... pour aider vos élèves, agents secrets du préscolaire et du primaire à apprendre grâce aux TIC!