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Le Parisien - Comment Snapchat, l'appli préférée des ados, est devenue le ter... - 0 views

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    "Plébiscité par les mineurs pour partager photos et vidéos, Snapchat est aussi un monde virtuel où cannabis, faux billets, armes… s'y trouvent plus facilement que sur la voie publique en Ile-de-France."
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Observatoire français des drogues et toxicomanies - Niveaux d'usages des écra... - 0 views

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    Lors du 9e exercice de l'enquête ESCAPAD, en mars 2017, l'OFDT a interrogé 13 330 jeunes de 17 ans à propos de leurs équipements électroniques et de la pratique qu'ils en font. Ces adolescents ont également répondu à des questions sur leur socialisation en ligne. Les résultats sont aujourd'hui présentés dans une note signée par Antoine Philippon et Stanislas Spilka. La quasi-totalité des jeunes (99,4 %) possèdent un téléphone portable et pour 97,8 % il s'agit d'un smartphone. Presque tous ces adolescents disposent aussi d'un ordinateur (97,6 %) et d'un téléviseur (97,4 %) à leur domicile. Les consoles de jeux sont présentes dans 85,1 % des foyers des jeunes et les tablettes dans 76,6 %. Les usages de consoles de jeux supérieurs à deux heures quotidiennes sont bien supérieurs chez les garçons (24,7 % vs 4,1 %). Par ailleurs, la présence de ces appareils dans la chambre des adolescents influe sur les temps d'usages. Ainsi, 49,7 % des jeunes ayant un ordinateur dans leur chambre déclarent l'utiliser plus de deux heures au quotidien contre 20,8 % de ceux qui n'ont pas ce même accès. Si on additionne les temps moyens devant ces quatre types d'écrans au cours de la semaine écoulée, 57 % des jeunes y ont passé au moins quatre heures quotidiennes et 39 % plus de six heures. La part de ceux qui n'ont pas du tout fréquenté ces écrans est de 3 %. L'enquête révèle aussi que plus de six jeunes sur dix n'éteignent pas leur téléphone lorsqu'ils dorment (61,5 %) et que près de sept sur dix le gardent allumé en cours (68,1 %) . Questionnés sur leurs usages des réseaux sociaux, la moitié des jeunes de 17 ans (48,6 %) estiment y passer trop de temps. Les filles sont nettement plus concernées par ce ressenti (58,7 %) que les garçons (38,4 %). Auteurs : Antoine Philippon, Stanislas Spilka
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Mission de recherche Droit et justice - Synthèse - Les adolescents face aux i... - 0 views

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    Cette recherche visait à mettre à l'épreuve trois hypothèses : la vulnérabilité spécifique de certains jeunes face au contenu des images violentes, sexuelles et haineuses (VSH), aux côtés d'autres sources de vulnérabilité mieux connues ; le rôle de la difficulté de symbolisation (notamment la maîtrise de l'écrit) dans la capacité à se distancier des images ; le potentiel éducatif que représente le travail d'élaboration avec les adolescents autour des images et des émotions qu'elles suscitent. Ces hypothèses ont été testées par l'équipe de recherche auprès de 200 adolescents de 15 à 18 ans. Dans une première phase (2015-2016), des entretiens semi-directifs, collectifs et individuels, ont été conduits avec 99 adolescents, donnant lieu à une analyse en psychologie clinique et en sociologie de la réception. Dans une seconde phase (2016-2017), des ateliers ont été organisés permettant aux jeunes (101 adolescents) de réagir sur les premiers résultats et de proposer des pistes d'action. Des entretiens et des ateliers ont été conduits également avec les personnels éducatifs dans les différentes structures, ainsi qu'avec des parents. Trois types de terrains ont été explorés : établissements scolaires recrutant des élèves de milieu social favorisé, établissements scolaires recrutant des élèves de milieu social populaire, établissements de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ou en contrat avec l'Aide sociale à l'enfance (ASE). Quatre stratégies dominantes de réception des images ont été observées : l'adhésion aux images et à leur message, avec une gamme de réactions allant de la jouissance à la sidération ; l'indifférence qui s'accompagne souvent d'un sentiment d'impuissance et de découragement ; l'évitement qui peut être circonstancié et répondre à une expérience personnelle ou dicté par les canons d'un dogme intégriste ; l'autonomie entendue comme capacitÃ
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Observatoire Français des drogues et des toxicomanies - Attitudes, représenta... - 0 views

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    Pourquoi les adolescents ont-ils recours aux produits psychoactifs ? Quels sont leurs modes d'entrée dans ces consommations et avec quelles attentes, quelles pratiques et quelles représentations ? Comment certains en viennent-ils à s'installer dans une consommation régulière alors que d'autres parviennent à limiter et contrôler leur usage ? Pour explorer ces questions, l'OFDT a lancé en 2014 une vaste enquête qualitative baptisée ARAMIS (Attitudes, Représentations, Aspirations et Motivations lors de l'Initiation aux Substances psychoactives). Pendant trois ans, près de 200 jeunes âgés de 13 à 18 ans, issus de milieux sociaux et de territoires diversifiés, ont été interrogés en face-à-face en France métropolitaine. Après une première synthèse des résultats, ce rapport approfondit quelques points marquants de l'étude suivant trois axes d'analyse : les contextes d'initiation ; les représentations des produits ; les motivations d'usage et les dynamiques des trajectoires de consommateurs. Pour poursuivre et renforcer l'analyse des trajectoires d'installation dans des pratiques de consommation, une nouvelle édition d'ARAMIS sera conduite à partir de 2020. Elle permettra d'observer l'évolution des représentations dans les générations suivantes d'adolescents (nés à partir des années 2000) et d'élargir l'observation aux jeunes adultes (18-23 ans).
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