Formations Agricoles & rurales

"Korhogo : le ministre Sidi Touré remet des chèques pour 309 projets Korhogo, 21 août (AIP) - Le Ministre délégué auprès du Président de la République chargé de la Promotion de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes, Sidi Touré a remis , jeudi, au Centre culturel de Korhogo, des chèques d'une valeur totale de 102 500 000 F CFA pour 309 projets aux jeunes de la région de Poro dans le cadre de l'opération spéciale &quo t;Agir pour les Jeunes"."

"La Délégation pour l'action extérieure des collectivités territoriales (DAECT), en collaboration avec les ambassades de France à l'étranger et les préfectures de région, qui souhaite renforcer le partenariat entre le ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) et les collectivités territoriales, informe du lancement de la quatrième édition de son appel à projets triennal (2016-2018). L'appel à projets triennal sera donc lancé par la DAECT à l'automne 2015. Le Japon fait partie, pour la première fois, des pays éligibles à un cofinancement du MAEDI. De cette manière, la DAECT souhaite inciter les collectivités territoriales françaises à coopérer davantage avec leurs homologues japonais sur de nouveaux projets.( Cet appel à projets comprendra huit thématiques : développement rural, agriculture et sécurité alimentaire ; eau et assainissement, gestion des déchets ; services publics locaux, tourisme, patrimoine, urbanisme et transports publics ; jeunesse et formation professionnelle ; partenariats numériques ; francophonie ; mobilité et développement ; égalité femmes-hommes et droits des femmes. Les autres pays concernés : Australie, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande, Singapour, Russie, Chine, etc… Pour plus d'informations : - Maurille BEROU, Chargée de mission Communication et Asie, (MAEDI/DGM/DAECT), courriel : Maurille.BEROU@diplomatie.gouv.fr"

Une délégation de l'Association pour le Développement de l'Education en Afrique, ADEA, a effectué une mission en Angola du 13 au 17 juillet 2015...

Eradiquer la faim d'ici 20 ans est inscrit dans les priorités de l'agenda international. L'initiative AGIR est partie prenante ; elle entend apporter sa contribution. C'est Ouagadougou qui a accueilli les 02 et 03 juillet 2015, les points focaux et les consultants nationaux de cinq pays : Cap vert, Gambie, Liberia, Mauritanie, Nigeria et Sierra Leone. La cellule technique régionale qu'abrite le CILSS a préparé les outils techniques utiles qu'elle leur a transférés. Ils ont appris à bâtir une Plateforme Multisectorielle et Multi Acteurs de Dialogue et de Pilotage, à organiser un atelier national de lancement officiel, à réaliser une analyse intégrée des politiques et programmes existants, à organiser une session restreinte de travail pour formuler les priorités et à préparer une consultation nationale inclusive de validation des priorités résilience pays

"Un séminaire régional visant l'intégration des établissements de formation agricole (EFA) dans les plans d'investissements agricoles du programme détaillé de développement de l'agriculture africaine (PDDAA) s'est ouvert à l'école supérieure d'Agriculture de l'institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro. Le directeur, Dr Siaka Koné a fait remarquer, à l'ouverture des travaux, que de plus en plus de nombreux investissements sont injectés au niveau de l'agriculture tout en mettant de côté la formation agricole. L'atelier de Yamoussoukro sera l'occasion pour les parties prenant du système des EFA et des experts présents d'élaborer d'un commun accord un plaidoyer à travers un plan stratégique très clair à l'échelle continentale à soumettre aux États afin d'obtenir des financements conséquents de sorte à booster l'agriculture au niveau des États africains. Ehile Ettien le secrétaire général de l'association des universités africaines le professeur a souligné, " Ces objectifs, une fois atteints permettront de faire un saut qualitatif et d'adapter les programmes de formation afin de produire les compétences en capital humain nécessaire pour la transformation de l'agriculture, et même des autres domaines de l'économie de nombreux pays africains. " Source : news.abidjan.net"

AgroSup Dijon, les 25 et 26 novembre 2015 Bâtiment Grands Champs, amphi Chosson Ces rencontres nationales de l'ingénierie de formation sont organisées par l'institut Eduter, composante d'AgroSup Dijon, établissement du système national d'appui (SNA). L'équipe d'Eduter en charge de cette thématique, l'équipe ID (ingénierie de développement), conduit des actions de professionnalisation, d'accompagnement et de mutualisation de pratiques auprès des personnes ayant des missions d'ingénierie dans les CFA et CFPPA. Elle intervient à travers des actions de formation et d'appuis aux équipes, un travail de veille et l'organisation d'événements tels que ces Rencontres. Les rencontres nationales de l'ingénierie de formation s'inscrivaient en 2014 sous la houlette de la créativité, en même temps qu'elles abordaient le cadre posé par la réforme de la formation professionnelle. En 2015 c'est la note de service sur la présentation de la démarche et de l'organisation de la préparation à l'installation en agriculture - résultant de la politique rénovée de l'installation/transmission en agriculture - qui posera le décor des rencontres.

"Les technologies améliorées diffusées par le programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest (PPAAO)/WAAPP ont permis de toucher 410 000 bénéficiaires dont 47 % de femmes, en quatre ans en Côte d'Ivoire. Dr Pierre Aka Agniman le directeur exécutif du fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) a expliqué, " En liaison avec le CNRA, les Universités, grandes écoles, l'Anader et les treize autres pays participants, de la CEDEAO, le programme a diffusé ou introduit environ une trentaine de technologies dont le grain de productivité dépasse largement les 15 % attendus. (…) Pour relever les défis de rendre l'agriculture ivoirienne plus compétitive et plus rémunératrice pour les producteurs, tout en assurant la sécurité alimentaire, il nous faut nous attaquer à ses principales faiblesses, dont le système de culture extensif à faible rendement et à faible niveau de mécanisation, le faible taux d'adoption des innovations techniques, et le faible taux d'investissements lourds en raison d'un code foncier toujours peu rassurant." Depuis sa mise à exécution en Côte d'Ivoire en 2011, il a permis au pays de bénéficier des ressources conséquentes pour appuyer les filières des productions alimentaires dans un contexte de crise postélectorale, de réhabilitation et de reconstruction nationale."

""L'agriculture peut soulever plus de personnes de la pauvreté que tout autre secteur en Afrique," a déclaré le Dr Marcel Nwalozie, chef du bureau de l'Agence du NEPAD au Sénégal. Dr Nwalozie été adressait aux participants du séminaire Programme de développement de l'agriculture africaine (PDDAA) Informations sur le support pour les ministères de l'Agriculture à Dakar, au Sénégal, le 20 Juillet."

APPEL À PROPOSITIONS - EACEA 25/15 Initiative des volontaires de l'aide de l'Union européenne: déploiement des volontaires de l'aide de l'Union européenne, y compris l'offre de stages d'apprentissage pour les professionnels débutants et le renforcement des capacités et/ou l'assistance technique des organisations chargées de la mise en oeuvre (2015/C 249/11)

"Afin de contribuer à la lutte contre le chômage des jeunes dans le monde arabe, la Fondation européenne pour la formation (ETF) a procédé à l'analyse des programmes actifs en faveur de l'emploi de huit pays - l'Algérie, l'Égypte, la Jordanie, le Liban, la Libye, le Maroc, la Palestine et la Tunisie. Les jeunes de la région sont réellement défavorisés sur les marchés de l'emploi - ils sont sous-représentés dans la population active, sont confrontés à des taux de chômage élevés et occupent des emplois de moindre qualité - d'autant plus que les nouvelles initiatives publiques en faveur de l'emploi privilégient les programmes d'activation. L'ETF a rédigé des rapports pays qui détaillent les politiques et les interventions dans chacun des pays analysés. En outre, un rapport multipays fournit un aperçu de la situation dans les huit pays. "

"Dans le cadre du transfert de savoirs et de savoir-faire aux organisations du Nord et du Sud, Agrisud a entrepris un travail de capitalisation sur les activités de conseil aux TPE agricoles. Le Groupe Caisse des Dépôts, la laiterie Saint Denis de l'Hôtel, Veolia Environnement et Orange SA soutiennent cette démarche. Deux produits sont attendus à l'issue de ce travail : un guide et un cycle d'apprentissage dans l'objectif de former des techniciens et des cadres de projet aux métiers de conseil agricole. Du 22 au 30 juillet 2015, un premier cycle d'apprentissage a été organisé à Madagascar, en Itasy, dans l'objectif de tester la progression pédagogique et d'ajuster la structure et les contenus du guide. 17 cadres des projets menés par Agrisud ont participé à la session et le responsable de la RSE Orange Madagascar y a été associé afin d'identifier comment les TIC permettent de faciliter la mise en œuvre du conseil aux exploitations agricoles."

A l'occasion de la Foire de l'Innovation Paysanne en Afrique de l'Ouest (FIPAO), tenue les 15 et 16 mai 2015 à Ouagadougou au Burkina Faso, le réseau PROLINNOVA/PROFEIS a réalisé un travail de recueil des perspectives de paysans et paysannes innovateurs sur les éléments et les facteurs qui déterminent les capacités locales à innover. Nous vous proposons de découvrir le document de synthèse Cet article Perceptions des paysans innovateurs sur la capacité à innover est apparu en premier sur Foire de l'Innovation Paysanne en Afrique de l'Ouest.

"Dans un monde d'abondance, personne, pas une seule personne, ne devrait avoir faim. Mais prèsd'un milliard n'ont toujours pas assez à manger. Je veux voir l'éradication de la faim partout de mon vivant." - Ban Ki-Moon, Secrétaire Général des Nations Unies"

Un atelier destiné à explorer dans quelle mesure des chaînes de valeur de l'élevage efficaces peuvent aider les femmes et les jeunes d'Afrique de l'Est à améliorer leur niveau de vie, débutera le 25 août à Addis-Abeba, en Éthiopie. L'événement qui se déroulera sur deux jours a été organisé conjointement par le Centre technique de coopération agricole et rurale (CTA), le ministère de l'agriculture d'Éthiopie et la Société éthiopienne de production animale. Il permettra de mettre en commun les expériences en matière de chaînes de valeur de l'élevage dans les six pays de la région de l'Autorité intergouvernementale sur le développement (IGAD) : Djibouti, l'Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan et l'Ouganda. Cet atelier fait suite aux discussions qui ont eu lieu début 2015, entre le CTA et les acteurs clés du secteur de l'élevage en Éthiopie et au Kenya, en vue d'évaluer le potentiel des systèmes améliorés de production de bétail et des industries associées, pour permettre aux communautés rurales de sortir de la pauvreté.

De fait, la Côte d'Ivoire affiche depuis quatre ans un indéniable dynamisme qui ne repose pas seulement sur un effet de rattrapage. Les politiques publiques ont contribué à ramener la confiance des acteurs économiques dans un pays qui peut miser sur de solides atouts, à commencer par le potentiel de son secteur agro-industriel.

Des défis doivent toutefois être relevés dans plusieurs domaines : (i) accélérer l'amélioration du cadre général des affaires ; (ii) renforcer l'efficacité de l'Etat et la lutte contre la corruption ; (iii) améliorer le financement de l'économie ; (iv) développer le capital humain, notamment en ce qui concerne l'éducation secondaire et la formation technique et professionnelle ; (v) densifier le réseau d'infrastructures ; (vi) mettre l'accent sur la transformation structurelle de l'économie.

"Des rassemblements en tout genre sur le thème du décollage économique de l'Afrique ne cessent d'être organisés. On y débat de la transformation locale, la croissance inclusive, l'industrialisation, le chômage des jeunes, la compétitivité, etc. Étrangement, le rôle des PME africaines y est souvent abordé en filigrane. Pourtant, ce sont elles qui représentent le véritable levier de transformation économique de l'Afrique."

Dans le contexte actuel du milieu agricole à Madagascar, la Direction de la Formation Agricole (DFAR) au sein du ministère de l'Agriculture va élaborer des propositions. L'élaboration de la Stratégie Nationale de Formation Agricole et Rurale (SNFAR) a pour but de moderniser le secteur agricole, assurer les marchés intérieurs et extérieurs qui fait partie du défi économique. « Cet atelier technique doit définir un exploitant agricole professionnel. Donc après la formation, il acquiert un savoir-faire, une maîtrise des techniques agricoles et est indépendant » . Selon les dires du Secrétaire Général du Ministère de l'Agriculture Pierrot Serge RANDRIANARITIANA représentant du Ministre.

Dimbokro, 20 juil (AIP) - Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté, le conseil municipal de Dimbokro a lancé, samedi, 16 microprojets dans divers domaines d'activités dont il assure le financement au profit des jeunes et des femmes.