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"Dans le cadre du partenariat entre l'ADEA, l'UIL et Ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement du Canada (MAECD), un réseau des jeunes vulnérables a été lancé en Afrique pour renforcer l'intégration socio-économique de ces jeunes et leur autonomie. Ce réseau tente une meilleure prise en compte des besoins de ce groupe cible en alphabétisation, compétences de vie et habiletés techniques de base. Le réseau est basé au GTENF où une cellule de coordination a été spécialement montée pour assurer la coordination et un suivi efficace du programme. Après quelques mois de travail, un rapport d'étape a été produit. Les avancées jusqu'à présent sont les suivantes : Une plateforme a été créée et rendue fonctionnelle sur le site http://zankey.sulga.net. Des discussions en ligne y sont prévues et un espace de discussions a été créé à cet effet. Des bonnes pratiques ont été également identifiées, grâce notamment au concours de l'UIL, et celles-ci sont communiquées aux membres des associations et structures membres du réseau. Par ailleurs, des notes thématiques sur les politiques et les bonnes pratiques sont développées pour aider les responsables des programmes sur les jeunes à mieux circonscrire les défis auxquels ceux-ci sont confrontés au quotidien. Enfin, le GTENF a revisité les plans d'action en faveur des jeunes vulnérables qui ont pu être réalisés par un certain nombre de pays et le GT s'est engagé à aider les pays qui n'en ont pas, à concevoir leurs plans. "

Organisé dans le cadre de l'Année Internationale de l'Agriculture Familiale (AIAF), le Sommet international des jeunes agriculteurs rassemblera l'ensemble des acteurs nationaux et internationaux impliqués dans l'AIAF aux côtés d'une cinquantaine de représentants d'organisations de jeunes agriculteurs de tous les continents. En favorisant la parole des jeunes leaders paysans le Sommet sera l'aboutissement d'un processus de réflexion participatif sur les agricultures familiales, mais aussi et surtout l'occasion de défendre des revendications communes propres aux jeunes agriculteurs, à travers l'adoption d'un manifeste international.

L'objectif de cet appel à propositions est de faire progresser l'entrepreneuriat agricole et les innovations TIC des jeunes afin de développer des chaînes de valeur agro-alimentaires résilientes. Il répond au besoin stratégique de renforcer la participation des jeunes dans l'agriculture. Il vise à encourager le renforcement des capacités et l'entrepreneuriat des jeunes dans les TIC et favoriser les opportunités d'emploi pour les jeunes. L'appel à propositions tire avantage de différentes activités mises en œuvre par le CTA dans les domaines de commerce agricole, du développement de la chaîne de valeur, des TIC et des jeunes dans l'agriculture (notamment dans le cadre du projet Agriculture, développement rural et jeunesse dans la société de l'information [projet ARDYIS]).

Les jeunes leaders sénégalais, âgés de 18 à 29, bénéficieront bientôt d'une formation, d'un mentorat et des opportunités de réseautage à travers le projet JETS - Jeunesse, Entreprise, et Transformation Sociale au Sénégal. Si vous avez (co)créé une entreprise sociale et souhaitez approfondir vos compétences d'entrepreneuriat social pour le succès de cette entreprise, consultez le processus de demande ici, et soumettez votre candidature d'ici le 14 septembre 2014 au plus tard. Lancé dans le but de renforcer l'innovation sociale menée par les jeunes à travers le pays, JETS fait partie de YouthActionNet®, un programme emblématique de IYF qui crée l'un des plus grands réseaux mondiaux de jeunes entrepreneurs sociaux. Actuellement le réseau comprenant près de 1.000 agents de changement dans 85 pays. JETS est mis en œuvre par le Centre de Recherche Ouest Africain (WARC) basé au Sénégal, en collaboration avec l'IYF. Selon le Dr Ousmane Sène, directeur du Centre, le projet « offre une formidable... Les jeunes leaders sénégalais, âgés de 18 à 29, bénéficieront bientôt d'une formation, d'un mentorat et des opportunités de réseautage à travers le projet JETS - Jeunesse, Entreprise, et Transformation Sociale au Sénégal.

Le Commissariat général à l'égalité des territoires (CGET) vient de publier une étude intitulé : "L'accès des jeunes à la formation et à l'emploi dans les départements d'Outre-Mer". Le taux de chômage des 20-29 ans est beaucoup plus élevé dans les Dom qu'en métropole. Ainsi, près d'un jeune actif domien sur deux est en recherche d'emploi (46,1 %) contre un jeune actif métropolitain sur cinq (20 %), avec de faibles écarts d'un Dom à l'autre. Comparés à ceux de métropole, les jeunes des départements d'Outre-mer (Dom) disposent d'un plus faible niveau d'étude. Ce retard relatif en termes de formation influe directement sur leur situation professionnelle : ils sont plus souvent touchés par le chômage et lorsqu'ils ont un emploi, c'est plus souvent à temps partiel et dans des métiers peu qualifiés.

"Durant la FIARA 2013, le Collège des jeunes du CNCR s'est montré particulièrement présent, actif et dynamique. Voici deux nouvelles vidéos réalisées par le volontaire Uniterra national sud-sud El Hadji Babacar Samb. Ces vidéos présentent le Collège des jeunes du CNCR. Présentation du Collège des jeunes du CNCR Weekend au Village des jeunes du CNCR Bon visionnement."

"La crise de l'emploi actuelle touche particulièrement les jeunes. L'OIT demande instamment aux décideurs politiques de travailler avec les partenaires sociaux pour remédier à cette situation alarmante. L'édition 2013 du rapport sur les Tendances mondiales de l'emploi des jeunes de l'OIT analyse certaines des politiques et des mesures à prendre. Gianni Rosas, coordinateur du Programme sur l'emploi des jeunes de l'OIT et co-auteur du rapport, appelle à «se tourner vers la croissance et l'emploi, avec une réponse macroéconomique mieux coordonnée au niveaux national et mondial». (En anglais avec sous-titres français)"

"L'agriculture renvoyant à la pauvreté au Sénégal, le directeur de l'Agence nationale d'insertion et de développement agricole (Anida), El Hadji Malick Sarr, trouve normal que les jeunes fuient ce secteur. Selon le Directeur de l'Agence nationale d'insertion et de développement agricole (Anida), El Hadji Malick Sarr, la non attractivité du secteur agricole pour les jeunes diplômés s'explique par un manque d'équipement, une faible pluviométrie et un maigre rendement. Il s'exprimait, hier, au cours d'une conférence autour du thème : Insertion professionnelle des jeunes diplômés : quelles perspectives. « Quand des métiers renvoient à une situation de pauvreté, quoi de plus normal que les jeunes n'aient pas pour ambition de s'installer dans cette activité », a dit M. Sarr. Pour que les jeunes diplômés puissent s'installer dans l'activité agricole, il faut changer de paradigmes et faire en sorte que les exploitations agricoles puissent êtres attractives, préconise-t-il. Cette conférence organisée par l'Anida, en collaboration avec la Faculté des sciences et techniques (Fst) de l'Ucad, a été l'occasion, pour les experts, d'échanger sur les difficultés liées à l'insertion des jeunes diplômés dans le secteur agricole et autres activités annexes"

Avec 50 à 70 % des jeunes dans les zones rurales des pays du Sud, le secteur agricole est un bassin d'emploi crucial pour les jeunes. Face au triple défi climatique, économique, démographique auquel ils sont confrontés, le CTA soutient l'engagement des jeunes dans les emplois verts dans les pays ACP.

"WASHINGTON, le 27 janvier 2014 - Accroître les revenus des jeunes en Afrique subsaharienne, segment de la population en pleine croissance, devrait être l'une des grandes priorités de la région, selon un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé « L'emploi des jeunes en Afrique subsaharienne ». Une priorité qui nécessitera un plan d'action sur plusieurs fronts. Alors que les jeunes représentent la majorité de la population dans la plupart des pays africains, il est plus urgent que jamais de multiplier leurs opportunités d'accès à des emplois plus productifs, constate le rapport. Cela est vrai indépendamment du type d'emploi que ces jeunes exerceront : que ce soit dans le secteur salarié formel en pleine croissance, ou dans les entreprises familiales ou encore les millions de petites exploitations agricoles familiales du continent."

"« Il faut offrir aux jeunes une éducation de qualité et une formation professionnelle adaptée à leurs besoins, car les citoyens en général et les jeunes en particulier ne peuvent s'intéresser à la vie démocratique si leurs besoins vitaux ne sont pas satisfaits. Des jeunes biens éduqués, biens formés qui trouveront des emplois qui leur conviennent, pourront ainsi mieux réfléchir et participer à la construction démocratique », suggère Liberty 32"

Avec seulement 114 apprentis suivant une formation dans une spécialité se rapportant à l'agriculture au niveau des CFPA de la wilaya, soit moins de 1,25 % de l'effectif total estimé à près de 11.545 apprentis, Aïn Defla peine assurément à rendre le secteur agricole attractif aux jeunes. Son statut de wilaya agricole par excellence que conforte une 2ème place à l'échelle nationale en matière de production de pomme de terre n'a pas suffi à inciter les jeunes à opter pour l'agriculture, une situation qui pourrait, à long terme, influer sur la bonne marche de ce secteur au niveau local et régional. Au moment où la tutelle met l'accent sur la nécessité, pour les structures de formation, de privilégier les spécialités qui tiennent compte de la vocation de chaque région et de ses spécificités, force est de constater qu'à Aïn Defla, cet appel n'a pas eu l'effet escompté, les jeunes préférant de loin les spécialités qui "collent le plus" à leur ère.

LONDRES, 26 November 2014 (IRIN) - Nous avons accepté le concept de « pic pétrolier » - l'instant à partir duquel la production de pétrole amorcera un déclin irréversible. Aujourd'hui, il nous est également demandé de réfléchir au fait que nous nous approchons rapidement du « pic de jeunes », l'instant à partir duquel le nombre de jeunes sera plus important que jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité, et l'instant à partir duquel la proportion de jeunes dans la population amorcera un déclin.

"Le projet PAEIJ-SP contribuera à créer les conditions d'une croissance économique plus inclusive à travers le renforcement de l'employabilité des jeunes et la promotion de l'entreprenariat dans les secteurs porteurs. Il entend apporter dans un premier temps une réponse pour l'insertion des demandeurs d'emplois à travers le développement de l'entreprenariat des jeunes dans la chaîne de valeur agricole. En second lieu, le projet envisage d'apporter une solution structurelle à l'emploi des jeunes en développant les outils de prospection et d'adaptation de la formation aux besoins du marché du travail."

"Retour sur le séminaire sur l'insertion des jeunes qui s'est déroulé le 26 mars dernier à Moroni, aux Comores, en présence des MFR de la sous-région, et de représentants de la Fédération des MFR du Vaucluse-Alpes du Sud, partenaire des MFR comoriennes, et de la région PACA. Selon la ministre de l'Emploi et du Travail, Siti Kassim, ce séminaire témoignait « de la volonté du gouvernement comorien d'accompagner les jeunes en milieu rural pour leur insertion sociale ». L'action des MFR a été particulièrement évoquée, avec « la création de quatre MFR en 2012 et la présence de 82 jeunes inscrits dans un cycle de formation sur deux ans. »"

"Pendant les 15 prochaines années, 330 millions de jeunes Africains seront en demande d'emploi. Les deux tiers d'entre eux seront issus du milieu rural. En Afrique sub-saharienne, les petites exploitations familiales représentent l'extrême majorité des systèmes de production agricole. Elles sont donc aussi la clef de la question de l'emploi des jeunes, à condition qu'elles se modernisent et que les jeunes ruraux aient accès à la formation professionnelle. La question a été soulevée lors d'une conférence organisée à Paris par l'Agence française de développement."

"A l'occasion du congrès de Jeunes Agriculteurs, Stéphane LE FOLL a présenté ses orientations pour une politique rénovée et renforcée de l'installation des jeunes en agriculture. Le renouvellement des générations en agriculture est en effet une de ses priorités afin d'assurer sur le long terme la pérennité de toutes les agricultures. Dans le cadre de la mise en œuvre de la nouvelle PAC, Stéphane LE FOLL propose d'augmenter le montant total des aides apportées à l'installation des jeunes. Les modalités de ces dispositions seront définies à l'issue des négociations communautaires. Le Ministre a également annoncé la régionalisation de la politique d'installation tout en maintenant un cadre national permettant d'assurer une politique de l'installation cohérente sur l'ensemble du territoire. Seront mis en place, outre le cadre national permettant de définir les grands objectifs, des comités régionaux installation/transmission copilotés par l'Etat et les Régions pour décliner et animer une politique cohérente avec l'ensemble des financeurs. Enfin et afin d'assurer un accompagnement de proximité le dispositif prévoit également un point d'accueil installation au niveau départemental chargé d'accueillir toutes celles et ceux qui souhaitent s'installer et de les mettre en contact avec les structures pertinentes pour mûrir ou finaliser leur projet."

"Le Programme des jeunes professionnels (PJP) vise des jeunes motivés et talentueux âgés de moins de trente-deux (32) ans, soucieux du développement de l'Afrique ; ayant réalisé de brillants parcours universitaires et professionnels ; capables de travailler efficacement en équipe et ayant des dispositions au leadership. La Banque recrute une vingtaine (20) de jeunes professionnels chaque année. Après l'acceptation de l'offre et leur prise de fonction, les JP font statutairement l'objet rotations successives, pendant deux ans au moins et trois ans au plus, dans différents unités organisationnelles et services de la Banque. Les JP suivront une formation sur le terrain, bénéficieront d'un encadrement mettant en exergue des compétences, des connaissances, et l'expérience requises pour comprendre au mieux les défis du développement en Afrique, et dans les régions en développement. Au terme de ces trois années, si leur parcours est concluant, les JP seront préparés à concourir pour des postes vacants à la Banque. "

Comme beaucoup de pays africains, le Sénégal est marqué par une population jeune à la recherche d'emplois et de salaires décents. Le rapport sur le dernier recensement national de la population sénégalaise publié tous les dix ans par l'Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), révèle que la moyenne d'âge de la population est de 22 ans et qu'un Sénégalais sur deux a moins de 18 ans. Les moins de 15 ans représentent plus de 42 % de la population, dénotant clairement la prédominance des jeunes dans la population. Il s'agit néanmoins de la couche de la population la plus touchée par le chômage et le sous-emploi. Et les jeunes représentent 60 % des demandeurs d'emploi.

"Au Togo, près de 29% des jeunes sont au chômage. Pas vraiment une exception, la situation est à peu près identique dans l'ensemble des pays de la région. Pour les autorités togolaises, il n'y a pourtant pas de fatalité. C'est la raison pour laquelle elles viennent de lancer une coalition nationale pour la formation et l'emploi des jeunes qui regroupera l'Etat, le secteur privé, la société civile et les partenaires en développement. 'La jeunesse est un véritable gisement de compétences, elle a des capacités d'innovation extraordinaires, elle constitue un vecteur majeur de croissance économique accélérée et inclusive', a expliqué jeudi Mme Victoire Tomégah-Dogbé (photo), la ministre de l'Emploi des jeunes. "