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Home/ Groups/ Mission FNEP 2008
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Le traité de Lisbonne - 0 views

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    Le site où lire le traité de Lisbonne
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European Commission - EIT - European Institue of Innovation - 0 views

  • The EIT is the first European initiative to integrate fully the three sides of the "Knowledge Triangle" (Higher Education, Research, Business-Innovation)
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Laurent Fabius préconise la disparition de fait du CNRS dans le cadre de l'Un... - 0 views

  • Comme nous le craignions, une partie des activités des actuels Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technologique (EPST) français deviendra patrimoine d'universités jumelées avec le secteur privé, et le reste (budget compris) sera transféré à l'Union Européenne.
    • François Bertrand
       
      coeur de leur argumentaire
  • Quels que soient les défauts du Comité National, l'AERES (Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur créée en 2006), qui tend à s'emparer de ses missions, est loin d'offrir les mêmes garanties.
  • Que se passera-t-il si le CNRS est disloqué au bénéfice d'universités qui n'ont pas les moyens de se substituer à lui et d'un montage européen qui recherchera les emplacements et modes de gestion les « moins chers » pour ses programmes ?
  • ...19 more annotations...
  • Dans le Journal du CNRS de mai 2008, Valérie Pécresse déclare : « Notre système reposera à terme sur quatre piliers : des organismes de recherche d’excellence, partenaires des universités et porteurs d’une vision nationale et internationale de la politique de recherche, ce qui leur confère une capacité unique pour analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique ; des universités plus autonomes, avec une gouvernance plus efficace et des compétences nouvelles leur permettant de définir et de mener efficacement une stratégie de recherche ; une recherche sur projets dynamique, dont l’ANR porte la plus grande part et dont la programmation doit être étroitement articulée avec les organismes de recherche ; et enfin une recherche privée ambitieuse et rendue plus attractive par le crédit d’impôt recherche »
  • Même si son descriptif réduit, tout compte fait, le rôle du CNRS à « analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique »
  • Le transfert à l'Union Européenne des moyens de nos EPST ouvrira nécessairement la voie à une délocalisation à grande échelle de la recherche française au sein de l'Union, voire même ailleurs. On peut difficilement imaginer que ces délocalisations soient sans conséquences dans le domaine industriel.
  • Les implications de cette évolution sur le plan des garanties d'indépendance des chercheurs et de transparence de la recherche sont également très préoccupantes.
  • D'autant plus que le « modèle américain » reste une référence constante. Or, notre article du 7 mars avait déjà évoqué les doléances de nos collègues d'outre-Atlantique à propos des ingérences politiques de l'administration US dans le travail des scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats.
  • En somme, au nom du « patriotisme continental » et du « modèle américain », ce dont il s'agit c'est de démanteler des composantes stratégiques de l'Etat et du secteur public français, et d'en délocaliser des activités essentielles. Les conséquences économiques et sociales seront très graves, mais tout se prépare sans faire des vagues et avec un choeur de déclarations « positives ». Au service de quels intérêts ? Quant aux questions à caractère citoyen sur l'indépendance des agents ou la transparence, elles semblent avoir été tout simplement exclues du débat. S'agirait-il de préoccupations « d'une autre époque » ?
  • (Merci de bien vouloir publier ce texte, réponse de Laurent Fabius aux affirmations de cet article). La CERI et le CNRS: faux procès et vrai projet
  • Dans la mondialisation, recherche et innovation sont les clés de notre avenir. Tout le monde le dit, mais on ne propose rien de concret. M. Sarkozy et son gouvernement se contentent d’une approche comptable, destructrice et sans vision.
  • j'ai proposé qu'elle porte à cette occasion le projet ambitieux et concret d'une Coopération Européenne de la Recherche et de l'Innovation (CERI)
  • qui aurait vocation, à terme, à se substituer à ses équivalents nationaux - l'ANR en France
  • Renforcer la recherche, d'abord, en augmentant ses moyens.
  • La CERI
  • Simplifier,
  • Dans le labyrinthe actuel, les chercheurs passent trop de temps à remplir des dossiers de subvention – pour des sommes bien souvent modiques.
  • Valoriser, enfin, le statut des chercheurs et des étudiants.
  • Dans une analyse intitulée : « Quatre propositions pour retrouver une perspective », publiée par le journal Les Echos le 28 avril, Laurent Fabius impute à la France, sans autre explication, un « lourd problème de compétitivité » et une « insuffisance d'innovation et de recherche ».
  • Le CNRS, l'INSERM et les autres organismes de recherche français devraient, d'après Laurent Fabius, disparaître au bénéfice d'une politique globale pilotée par l'Union Européenne avec un seul « ministère européen de la Recherche et de l'Innovation ».
  • Après cette « analyse » péremptoire, qu'il ne prend pas la peine d'étayer par des arguments, Fabius écrit à propos de la recherche scientifique et technologique :  « ... C'est par elle que nous ferons la différence dans la mondialisation. Puisque la France va présider l'Union européenne, je propose que nous lancions le projet concret d'une Coopération européenne pour la recherche et l'innovation (Ceri), nouveau moteur du développement. Osons mettre en commun nos budgets nationaux de recherche, créer un espace européen de l'innovation dont bénéficieront nos PME, abattre les murs qui fragmentent les parcours et les carrières de nos étudiants et de nos chercheurs. Proposons un seul ministère européen de la Recherche et de l'Innovation, doté d'une politique coordonnée... »
  • rapport de François d'Aubert à Valérie Pécresse (notre article du 17 avril)
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    Le texte contient pas mal de références, ainsi que la réponse de Fabius
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Sénat : pour une meilleure gouvernance de l'expertise scientifique - 0 views

  • Pour une meilleure gouvernance de l'expertise scientifique
  • L'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques a auditionné le 6 mai 2008 Mme Michèle Froment-Védrine, Directrice générale de l'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail, qui a présenté un bilan de ses mandats (de 2002 à 2008) et un résumé du rapport d'activité de l'AFSSET 2007.
  • Contact : Marie-Christian Flosse-Bloch, directrice-adjointe, OPECST Tél. 01 40 63 88 16 courriel : mcflosse@assemblee-nationale.fr
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Pour un partenariat stratégique entre la France et l'Inde - RELATIONS INTERNA... - 0 views

  • La France pourrait-elle amorcer la reconquête du marché indien, dont l'économie ascendante devrait dépasser la sienne en 2020 avant de devenir la troisième de la planète vers 2035
  • Le temps presse pour la France de concrétiser ces Rifi car les Anglo-Saxons opèrent depuis belle lurette des réseaux d'innovation en Inde.
  • Cette approche d'import-export est peut-être appropriée avec la Chine, l'« usine du monde » - qui a conclu 20 milliards d'euros de contrats avec la France lors de la visite de Nicolas Sarkozy. Mais pas pour l'Inde, émergeant comme un « cerveau du monde » avec ses millions de scientifiques et ingénieurs hautement qualifiés, un secteur informatique en plein essor et d'ambitieux programmes de biotechnologie et de recherche spatiale.
  • ...7 more annotations...
  • A l'ère de Google et de Wikipedia, au lieu de pratiquer des échanges marchands avec l'Inde en y exportant des biens manufacturés, la France doit entreprendre ce que Warren Buffett appelle le « vrai commerce » - l'échange d'idées et de talents avec l'Inde. Cela suppose l'adoption d'un nouveau paradigme de coopération et d'intégration économique qui permettrait à l'Hexagone d'approprier les innovations disponibles dans les pays partenaires riches en talent comme l'Inde.
  • Pour l'Inde, une telle approche créative pourrait reposer sur une nouvelle structure de marché collaborative qui serait formés de « réseaux d'innovation franco-indiens (Rifi) ». Les Rifi formeraient un écosystème fluide et dynamique reliant talents, idées et capitaux français et indiens pour satisfaire la demande locale et internationale. A la place des échanges commerciaux rigides et entre « importateurs » et « exportateurs », les Rifi supposent la collaboration plus riche de quatre acteurs : les inventeurs (organismes de recherche et universités scientifiques), les transformateurs (développeurs, commerciaux), les financiers (banquiers, capital-risque) et les intermédiaires (experts, médias, facilitateurs). Dans ce modèle fluide, les entreprises françaises collaborant avec leurs partenaires indiens adopteraient, en fonction de leur stratégie et selon les projets, le rôle de l'inventeur, du transformateur, de l'intermédiaire ou du financier.
  • La France pourrait-elle amorcer la reconquête du marché indien, dont l'économie ascendante devrait dépasser la sienne en 2020 avant de devenir la troisième de la planète vers 2035 ? A priori, non. Car, à l'ère de la connaissance numérique dominée par l'immatériel Internet, la politique française du commerce extérieur demeure ancrée dans un modèle révolu d'import-export de biens manufacturés.
  • Mais il reste beaucoup à faire, car la France fait figure de cancre dans un récent classement de Forrester de 26 pays de l'OCDE en matière de capacité à bâtir des réseaux d'innovation internationaux. Maîtrise inadéquate de langues étrangères, pénurie de capital-risque, exaltation de la R&D aux dépens de sa commercialisation - autant de raisons expliquant ce mauvais score français.
  • le gouvernement français doit accélérer les échanges d'étudiants et scientifiques entre universités et centres de recherche des deux pays
  • pour encourager les pôles de compétitivité locaux à établir des liens directs avec des inventeurs, financiers et transformateurs indiens
  • Et aussi de capitaliser sur la communauté indienne en France, dont les 60.000 ressortissants bilingues travaillent dans tous les secteurs économiques.
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    très bon article
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La France peut-elle rester compétitive ? (02/04/2007) - VIE POLITIQUE ELECTIO... - 0 views

  • VALÉRIE PÉCRESSE. En Europe, je suis désolée de vous le rappeler, beaucoup de nos voisins font mieux que nous en termes d'économie, d'emploi et de compétitivité. Regardez l'Allemagne, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne, les pays scandinaves... Nous devons porter un regard objectif sur nos forces et nos faiblesses dans la mondialisation. Il ne faut pas transférer sur l'Europe la responsabilité de réformes qui doivent être faites chez nous. Je pense que la décision politique a un rôle majeur à jouer pour assurer les conditions de notre compétitivité. Le gouvernement a un bilan depuis cinq ans : pôles de compétitivité, Agence nationale de la recherche, Agence nationale de l'innovation... Notre stratégie industrielle est beaucoup plus offensive qu'avant. Et je sais de quoi je parle : dans ma circonscription, on trouve Giat, Alstom, Alcatel-Lucent ! Dans la campagne, Nicolas Sarkozy est le seul qui va plus fort et plus loin sur ce sujet.
  • B. L. Personne n'en parle, mais les pays à bas coûts n'accusent plus de retard en matière de technologie. Dans les télécoms, les Chinois et les Indiens sont au même niveau que nous. L'espace de deux ou trois ans qui nous permettait de dire " on leur vend la technologie d'avant-hier pour avoir le contrat et on va respirer " a disparu.
  • VALÉRIE PÉCRESSE. C'est pour cela qu'à l'UMP nous voulons donner des priorités à la recherche. Avec trois piliers : la santé, l'environnement et l'énergie, les technologies de l'information. Nous voulons aussi aider les entreprises à grandir. Notre objectif est d'arriver à avoir 2.000 nouvelles PME de 500 salariés. Nicolas Sarkozy ne croit pas à une France sans usine.
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    vieil article, mais où V. Pécresse explicite la politique du gouvernement actuel
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International Conference on Concurrent Enterprising, Lisbon, Portugal - 0 views

  • http://www.ice-conference.org/
  • co-creation, co-innovation and open innovation
  • 'A new wave of innovation in collaborative networks'.
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    dommage, c'est pendant la Suisse... --- The 14th International Conference on Concurrent Enterprising (ICE 2008) will be held in Lisbon, Portugal, from 23 to 25 June. This year's event is entitled 'A new wave of innovation in collaborative networks'. ICE 2008 will bring together researchers and practitioners from around the world to present the latest findings from their research and share their hands-on experience from industry. Conference topics include, for example, ambient assisted environments, real-time location and identification, co-creation, co-innovation and open innovation, concurrent engineering methods and processes as well as issues of product data and product lifecycle management and many more. The term 'concurrent enterprising' is an amalgam which brings together the paradigms of concurrent engineering and extended/virtual enterprising. The concurrent enterprise is a distributed, temporary alliance of independent, co-operating manufacturers, customers and suppliers using systematic approaches, methods and advanced technologies for increasing efficiency in the design and manufacturing of products and services. Contact person: For further information, please visit: http://www.ice-conference.org/
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Le Monde : Eureka met un industriel au commande (JACAMON) - 0 views

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    Un article en page 4 sur la nomination de JACAMON
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Bulletin36.pdf (Objet application/pdf) - 0 views

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    pour voir ce que raconte JACAMON
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Les Echos : Pour réussir la réforme de notre système de recherche scientifique - 0 views

  • ALBERT FERT, professeur à l'université Paris-XI, chercheur à l'UMR CNRS-Thales, prix Nobel de physique 2007. YVES LASZLO, professeur associé à l'Ecole polytechnique, professeur à l'université Paris-VI
  • La France doit donc faire évoluer son système de recherche, mais en utilisant ses atouts, autour du couple universités fortes opérateurs nationaux.
  • Cependant, la recherche, qu'elle soit finalisée ou non, nécessite une politique scientifique : il faut faire remonter les idées des laboratoires, penser la stratégie à court et long terme, coordonner la distribution de moyens sur le territoire national, organiser des réseaux nationaux et internationaux, valoriser les découvertes.
  • ...2 more annotations...
  • L'ANR a un rôle important mais différent de celui du CNRS. Ses financements de projets ponctuels sont utiles pour lancer de jeunes équipes et dynamiser le système. Mais n'oublions pas que la recherche doit fondamentalement faire reculer les limites de la connaissance pour permettre les ruptures scientifiques et technologiques de demain.
  • Il faudra en effet de longues années avant que des universités acquièrent la puissance de leurs homologues anglo-saxons (les seuls actifs d'Harvard représentent le budget annuel de l'enseignement supérieur et de la recherche français !) et puissent se passer des organismes, avant que les universités et grandes écoles se rapprochent, permettant notamment à la recherche de prendre la place qu'elle doit avoir dans ces dernières.
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    papier d'Albert Fert et de Yves Laszlo
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Institutional diversity as a challenge for european policy making - 0 views

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    présentation de C. Paradeise à la 3rd conference PRIME
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