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François Bertrand

Korean economy to run on new growth engines - 0 views

  • The New Growth Engines Initiative reported their plan to the president of Korea, Lee Myung-bak on Sept. 22.
  • the initiative has selected 22 projects in six areas - energy and environment, transportation systems, new information technology, new integrated industries, bio-industry and knowledge-based services.
  • However, the growth of the Korean economy has been relatively slow during the last decade because it is facing strong international challenges. Industry leaders are struggling to develop the new "Blue Ocean" in the years to come. Unemployment among the younger generation is serious, and the proportion of retirees has become bigger. Another challenge is the global warming and energy shortage problem.
  • ...34 more annotations...
  • If the market can autonomously create new business, there is no need for the government to lead the industrial plan. In this regard, most developed countries support only R&D and development of human resources. However, this strategy is not always the best for developing countries, where the market does not have the capability of innovation. Even the United States is now experiencing the need of appropriate government control to secure the nearly collapsed financial sector and deeply depressed industries. At this stage, the Korean government has decided to motivate new industries which have good potential for growth, but may not grow unless the government intentionally nurtures R&D, cultivates initial-stage market growth, deregulates constraints and provides well-prepared human resources.
  • By Nam-pyo SuhPresident, Korea Advanced Institute of Science and Technology
  • The NGE Initiative is composed of 360 non-governmental experts from various industries, research institutions and universities.
  • Even though the R&D portion of 5 percent in government spending is one of the highest in the world, it is still less than one-tenth of the United States. So Korea has to select and concentrate on promising industries, considering what industries it is best at developing.
  • The 22 projects selected in six areas are as follows. 1) Energy and environment
  • Emission-free clean coal
  • how to remove the emission of carbon dioxide
  • Ocean-originated bio-fuel
  • Solar cells
  • Carbon sequestration and reuse
  • Fuel cell power generation
  • Nuclear power plant
  • Transportation systems
  • Green cars: The main enabler of a green car is the plug-in hybrid electrical vehicle which uses both batteries and a combustion engine. The electricity can be recharged at home. However, in Korea, most cars cannot be parked in personal spaces. Establishing public charging infrastructure is an additional challenge. The electricity for urban electrical vehicles may be supplied from underground wires without physical contact.
  • Shipbuilding and ocean systems
  • 3) New IT
  • mobile harbor technology
  • System semiconductors
  • Displays
  • Next-generation mobile telecommunications
  • LED lighting
  • RFID/USN: RFID and the Ubiquitous Sensor Network is a revolutionary instrument for next-generation logistics management. However, the chip price is still too expensive to justify its application. So government should apply the RFID/USN in the public sector to create the new standard and the market for mass production and cost reduction.
  • 4) New integrated industries
  • Robots
  • New materials and nanotechnology
  • IT-enabled products and processes: Korea is the leader in IT infrastructure.
  • 5) Bio-industry
  • Convergence of telecommunication and broadcasting:
  • 6) Knowledge-based services
  • Software
  • Healthcare:
  • Design:
  • Cultural contents
  • New medicine and medical equipment
  •  
    Nam-pyo Suh
François Bertrand

Laurent Fabius préconise la disparition de fait du CNRS dans le cadre de l'Un... - 0 views

  • Comme nous le craignions, une partie des activités des actuels Etablissements Publics à caractère Scientifique et Technologique (EPST) français deviendra patrimoine d'universités jumelées avec le secteur privé, et le reste (budget compris) sera transféré à l'Union Européenne.
    • François Bertrand
       
      coeur de leur argumentaire
  • Quels que soient les défauts du Comité National, l'AERES (Agence d'Evaluation de la Recherche et de l'Enseignement Supérieur créée en 2006), qui tend à s'emparer de ses missions, est loin d'offrir les mêmes garanties.
  • Que se passera-t-il si le CNRS est disloqué au bénéfice d'universités qui n'ont pas les moyens de se substituer à lui et d'un montage européen qui recherchera les emplacements et modes de gestion les « moins chers » pour ses programmes ?
  • ...19 more annotations...
  • Dans le Journal du CNRS de mai 2008, Valérie Pécresse déclare : « Notre système reposera à terme sur quatre piliers : des organismes de recherche d’excellence, partenaires des universités et porteurs d’une vision nationale et internationale de la politique de recherche, ce qui leur confère une capacité unique pour analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique ; des universités plus autonomes, avec une gouvernance plus efficace et des compétences nouvelles leur permettant de définir et de mener efficacement une stratégie de recherche ; une recherche sur projets dynamique, dont l’ANR porte la plus grande part et dont la programmation doit être étroitement articulée avec les organismes de recherche ; et enfin une recherche privée ambitieuse et rendue plus attractive par le crédit d’impôt recherche »
  • Même si son descriptif réduit, tout compte fait, le rôle du CNRS à « analyser la conjoncture et faire la prospective scientifique »
  • Le transfert à l'Union Européenne des moyens de nos EPST ouvrira nécessairement la voie à une délocalisation à grande échelle de la recherche française au sein de l'Union, voire même ailleurs. On peut difficilement imaginer que ces délocalisations soient sans conséquences dans le domaine industriel.
  • Les implications de cette évolution sur le plan des garanties d'indépendance des chercheurs et de transparence de la recherche sont également très préoccupantes.
  • D'autant plus que le « modèle américain » reste une référence constante. Or, notre article du 7 mars avait déjà évoqué les doléances de nos collègues d'outre-Atlantique à propos des ingérences politiques de l'administration US dans le travail des scientifiques et dans la diffusion de leurs résultats.
  • En somme, au nom du « patriotisme continental » et du « modèle américain », ce dont il s'agit c'est de démanteler des composantes stratégiques de l'Etat et du secteur public français, et d'en délocaliser des activités essentielles. Les conséquences économiques et sociales seront très graves, mais tout se prépare sans faire des vagues et avec un choeur de déclarations « positives ». Au service de quels intérêts ? Quant aux questions à caractère citoyen sur l'indépendance des agents ou la transparence, elles semblent avoir été tout simplement exclues du débat. S'agirait-il de préoccupations « d'une autre époque » ?
  • (Merci de bien vouloir publier ce texte, réponse de Laurent Fabius aux affirmations de cet article). La CERI et le CNRS: faux procès et vrai projet
  • Dans la mondialisation, recherche et innovation sont les clés de notre avenir. Tout le monde le dit, mais on ne propose rien de concret. M. Sarkozy et son gouvernement se contentent d’une approche comptable, destructrice et sans vision.
  • j'ai proposé qu'elle porte à cette occasion le projet ambitieux et concret d'une Coopération Européenne de la Recherche et de l'Innovation (CERI)
  • qui aurait vocation, à terme, à se substituer à ses équivalents nationaux - l'ANR en France
  • Renforcer la recherche, d'abord, en augmentant ses moyens.
  • La CERI
  • Simplifier,
  • Dans le labyrinthe actuel, les chercheurs passent trop de temps à remplir des dossiers de subvention – pour des sommes bien souvent modiques.
  • Valoriser, enfin, le statut des chercheurs et des étudiants.
  • Dans une analyse intitulée : « Quatre propositions pour retrouver une perspective », publiée par le journal Les Echos le 28 avril, Laurent Fabius impute à la France, sans autre explication, un « lourd problème de compétitivité » et une « insuffisance d'innovation et de recherche ».
  • Le CNRS, l'INSERM et les autres organismes de recherche français devraient, d'après Laurent Fabius, disparaître au bénéfice d'une politique globale pilotée par l'Union Européenne avec un seul « ministère européen de la Recherche et de l'Innovation ».
  • Après cette « analyse » péremptoire, qu'il ne prend pas la peine d'étayer par des arguments, Fabius écrit à propos de la recherche scientifique et technologique :  « ... C'est par elle que nous ferons la différence dans la mondialisation. Puisque la France va présider l'Union européenne, je propose que nous lancions le projet concret d'une Coopération européenne pour la recherche et l'innovation (Ceri), nouveau moteur du développement. Osons mettre en commun nos budgets nationaux de recherche, créer un espace européen de l'innovation dont bénéficieront nos PME, abattre les murs qui fragmentent les parcours et les carrières de nos étudiants et de nos chercheurs. Proposons un seul ministère européen de la Recherche et de l'Innovation, doté d'une politique coordonnée... »
  • rapport de François d'Aubert à Valérie Pécresse (notre article du 17 avril)
  •  
    Le texte contient pas mal de références, ainsi que la réponse de Fabius
François Bertrand

Le rapport de François d'Aubert et la disparition de fait des établissements ... - 0 views

    • François Bertrand
       
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  • Quelle est la nouvelle conception du partenariat entre les organismes nationaux de recherche et les universités prétendument « autonomes » ? Le rapport de François d'Aubert
    • François Bertrand
       
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  • Voir aussi nos notes précédentes : «  Vers une délocalisation générale de la recherche scientifique française et européenne ?  » (11 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Création d'un Institut européen d'innovation et de technologie et casse programmée du CNRS français  » (12 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Délocalisations, recherche scientifique et propagande politique  » (13 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  « Réforme » du CNRS et de l'INSERM, interdisciplinarité et perspectives de cloisonnement de la recherche française  » (29 mars 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  Les missions du CNRS et l'interview de Catherine Bréchignac du 2 avril  » (3 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  L'interdisciplinarité du CNRS et l'interview de Catherine Bréchignac du 2 avril  » (7 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/... «  L’avenir du CNRS et la « réforme » de Sarkozy et Pécresse (I)  » (13 avril 2008) http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/...   Indépendance des Chercheurs  http://www.geocities.com/indep_chercheurs http://fr.blog.360.yahoo.com/indep_chercheurs http://science21.blogs.courrierinternational.com
    • François Bertrand
       
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  • ...1 more annotation...
  • Il ne semble pas qu'il ait été tenu compte des avertissements formulés dans l'article du 11 avril d'Albert Fert et Yves Laszlo quant aux dangers que comportent la stratégie de transfert pur et simple des moyens du CNRS et d'autres EPST vers les universités, et la surestimation des capacités potentielles de ces dernières. Bien au contraire, les recommandations de François d'Aubert vont dans le sens d'une accélération du processus. A terme, il s'agit également de privatiser les universités françaises, mais cette aventure risque d'ouvrir la voie à un rachat par des holdings financiers d'autres pays, voire même par des universités étrangères qui disposent de fonds propres suffisants.
Fred L

Le blog Marcel Gauchet: Nicolas Sarkozy, un symptôme de son temps - 0 views

  • Quelle responsabilité, quel périmètre d’autorité et de légitimité l’Etat doit-il assurer pour être « dans » son rôle démocratique? L’Etat est dans un moment de complète redéfinition de sa fonction. Le rôle, « pilote » et «régulateur » de l’économie, qui était le sien dans les années soixante est obsolète. Aujourd’hui, l’Etat ne doit pas être une « super structure », mais une « infrastructure » qui charpente l’espace collectif, qui veille au haut degré d’homogénéité matérielle sur un territoire, qui assure l’éducation, les soins, de multiples protections, l’ouverture au monde et les déplacements sécurisés au-delà des frontières, sans lesquels le marché serait inopérant. Pour toutes ces raisons, la vocation de l’Etat n’est pas de nous conduire, mais de nous permettre d’exister. Comment peut-on encore s’acharner à nier cette évidence?
  • Le discrédit dont il affuble l’Etat et la collectivité, et le culte de la réussite individuelle qu’il promeut, rendent-ils le libéralisme ennemi de la démocratie? Le libéralisme est une des valeurs de la démocratie, mais il ne suffit pas par lui-même à faire fonctionner la démocratie. Une certaine forme de libéralisme est un symptôme de la crise de la démocratie, puisqu’elle cultive la fiction d’un individu irresponsable par rapport à la collectivité. Pour cette raison, rien ne me semble plus important que de redonner un sens juste au libéralisme, capable de contrecarrer les embardées idéologiques récemment traversées. Il faut riposter à « l’unilatéralisme » du libéralisme qui érige ce dernier en dogme et trouve un relais, un amplificateur formidables dans l’individualisme dominant. Le mouvement a d’ailleurs débuté.
  • A partir de quels compromis peut-on concilier les droits de l’homme, formidable progrès, et les droits de la collectivité, ferments de la démocratie ? Etablissez-vous une hiérarchie des démocraties, existe-t-il des démocraties « pilotes » ? Nulle part il n’existe de formule satisfaisante. En revanche, certaines démocraties adoptent des institutions admirables et des formes d’exemplarité intéressantes. Outre l’Angleterre, il y a la social-démocratie scandinave, riche de conditions culturelles et de civisme difficilement transposables mais justement instructives pour identifier nos carences. Les Etats-Unis ont développé un sens aigu de l’intégration démocratique, dont la France gagnerait à s’inspirer. Toutes les démocraties sont plongées dans la perplexité, à des niveaux et sur des aspects différents et inégaux. La France tout particulièrement, elle qui, forte de son histoire, croyait sa démocratie encore à l’avant-garde et la découvre balbutiante.
  • ...2 more annotations...
  • Vous considérez qu’à court terme la crise de la démocratie ne peut que s’aggraver, mais qu’en revanche, à l’aune par exemple de l’enjeu écologique, elle peut déboucher vers une démocratie « supérieure ». Quel contenu donnez-vous à cette classification? Mon optimisme à long terme repose sur un constat: l’individu a besoin de la collectivité et ne cesse d’ailleurs d’exprimer ce besoin. Pour preuve, la forme paroxystique de l’individualisme contemporain n’est pas le rejet ou le mépris de la société, caractéristiques de l’anarchisme de 1880,ou même l’autarcie. On peut la résumer à une formule: « Je ne dois rien à la société, mais elle me doit tout ». Il faut se méfier de certaines images d’Epinal. Par exemple, il est fréquemment évoqué la dissolution du lien social, mais pourtant jamais ce lien n’a été aussi fort si on le mesure au degré de dépendance des individus à leur téléphone portable… A leur échelle, les individus expriment un désir d’équilibre entre leur affirmation individuelle, parfaitement légitime, et celle de s’inscrire dans une communauté où leur existence prend un sens. L’un des aspects majeurs de la privatisation des existences, si emblématique de notre société, c’est le repli sur la famille, donc sur les enfants. Or existe-t-il lien plus puissant avec l’humanité que considérer que la vie ne se réduit pas à soi et se poursuit avec une descendance qu’il faut préparer le mieux possible ? Qui donc peut rêver pour ses enfants d’un monde infernal, pire que celui qu’il connaît ? Personne. D’ailleurs, le pessimisme des Français est corrélé à leur peur d’un avenir moins enviable pour leurs enfants. Finalement, la société, ce n’est rien d’autre qu’assurer la pérennité de l’humanité. Et effectivement, la préoccupation écologique doit constituer la forme la plus explicite de ce souci de poursuivre l’aventure humaine.
  • L’entreprise, dont les manifestations collectives et les contre-pouvoirs syndicaux sont anémiques, est-elle définitivement dans le déni démocratique ou bien certaines formes - coopératives - constituent-elles un modèle ? Il n’y a rien de définitif dans l’histoire. D’un côté, le travail est central dans la vie des individus aujourd’hui. C’est bien ce qui fait le drame du chômage. Ils attendent donc quelque chose de l’entreprise. De l’autre côté, l’efficacité ne peut pas suffire à définir une communauté de travail. Nous en sommes là. La recherche sur des modèles d’organisation véritablement efficaces, c'est-à-dire dans lesquels les individus pourraient se reconnaître, me semble un des grands sujets d’avenir. Le secteur coopératif pourrait en effet avoir un rôle pionnier à jouer dans ce domaine.
François Bertrand

L'indépendance des chercheurs, un grand enjeu citoyen au niveau planétaire : ... - 0 views

  • Le discours présidentiel français et la lettre ministérielle se sont croisés, si on peut dire, avec un article du 14 février publié sur le site Inter Press Service (IPS) et un rapport intitulé "Federal Science and the Public Good", rendu public récemment par l’association américaine Union of Concerned Scientists, à l’adresse  : http://www.ucsusa.org/scientific_integrity/restoring/scie...
    • François Bertrand
       
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  • Le 4 mars, une réunion de "plus de 600 directeurs de laboratoires de recherche et membres d’instances scientifiques de tout le territoire" français, tenue à Paris, a émis un communiqué  mis en ligne à l'adresse : http://4mars.recherche-enseignement-superieur.fr/spip.php...
    • François Bertrand
       
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  • Valérie Précresse écrit en particulier :
  • ...3 more annotations...
  • Afin d’améliorer la lisibilité et la prévisibilité de l’action du CNRS, vous réfléchirez à l’opportunité de substituer aux départements scientifiques actuels une structuration en grands instituts nationaux de recherche, dans l’esprit de l’INSU ou de l’IN2P3, favorisant les coopérations entre les divers acteurs et constituant un ensemble réactif placé sous la responsabilité de la direction générale du CNRS…
  • Le 28 janvier, Nicolas Sarkozy avait notamment déclaré :
  • Ce n’est pas à un organisme, si grand, si respecté, et si puissant soit-il, de définir à lui seul la politique scientifique d’un pays. Ce n’est pas non plus à un collège électif de scientifiques de décider de cette politique…
François Bertrand

Vision 2030 plan calls for welfare reform, long-term investment | Korea.net News - 0 views

  • Long-term investment for economic growth Long-term investment is necessary after the government lays the foundation for fiscal efficiency through welfare reform. We should not focus on short-term and stopgap financial steps for the vision -- instead we have to make long-term investments to realize it. For the sake of concurrent economic growth and welfare enhancement, Vision 2030 Korea calls for a long-term investment to expand the nation's growth momentum and raise people's quality of life. First of all, to expand growth momentum, more investment will be made in research and development, next-generation growth-engine projects, higher education and lifelong learning, and social service jobs. Then, investment in the welfare sector will be expanded to enhance the quality of life by meeting people's basic needs and narrowing the gap between the rich and poor. To that end, the government will introduce an Earned Income Tax Credit (EITC) system and Elderly Care Insurance and Housing Vouchers, while increasing investment in child-care services and after-school activities, health insurance and livelihood support for the poor. In addition, investment will be expanded on social infrastructure projects, military reform, efforts for national unification and active participation in the international community.
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    Choi Jae-young. Vision 2030 plan calls for welfare reform, long-term investment. 2006. Korea.net : gateway to Korea. [On-line : 26/07/2008]. URL : .
François Bertrand

The Korea Herald : The Nation's No.1 English Newspaper - 0 views

  • the government announced its "Green New Deal" project on Jan. 6.
  • The "Green New Deal" is an ambitious project designed to create 960,000 jobs by investing 50 trillion won ($36.4 billion) over the next four years
  • The Korean government has taken the position that this crisis is an opportunity to advance eco-friendly economics; by pumping investment into "green technologies," we will be both helping the economy and setting the stage for future economic growth.
  • ...12 more annotations...
  • The plan may be divided into four major categories.
  • The first concerns projects to establish an energy-efficient
  • The second category includes projects to increase the general standard of healthy living
  • spanning 3,114 kilometers will be gradually established
  • rivers throughout the country will be restored
  • The third category consists of preventative measures such as reducing carbon emissions and securing fresh-water resources.
  • The last category concerns investment projects for future industries
  • land, energy, water resources and buildings
  • The Green New Deal Policy will also contribute to stimulating the regional economy.
  • In line with the proposal of new growth engines unveiled on Jan. 13, the government will make efforts to strengthen the strategy of increasing green technology and strive to achieve practical and balanced results through the Green New Deal policy.
Fred L

L'UE en quête d'une position commune sur le soutien aux poles de compétitivit... - 0 views

  • L'UE en quête d'une position commune sur le soutien aux poles de compétitivité
  • «On compte environ 2000 clusters en Europe, mais seulement 10 % d’entre eux sont de taille mondiale»
  • L’UE peine à faire émerger des clusters de dimension mondiale en mesure de rivaliser avec les pôles de compétitivité américains ou japonais.
  • ...7 more annotations...
  • Les pôles de compétitivité existent déjà dans la plupart des Etats membres. Pour autant, la Commission estime qu’il est nécessaire de renforcer la gestion des clusters au niveau européen. Cet objectif figure ainsi parmi les neufs priorités stratégiques dégagées lors du Conseil compétitivité du 4 décembre 2006.
  • Il propose ainsi de renforcer les liens entre les clusters européens de taille mondiale et d’améliorer la gouvernance publique – européenne, nationale, locale – des clusters. L’échange européen de bonnes pratiques, l’ouverture aux PME – en liaison avec le Small Business Act Européen (EurActiv.fr 26/09/2008) – et un meilleur accès aux programmes de financements communautaires sont également prévus.
  • Il ne s’agit pas de coordonner les pôles de compétitivité à un échelon communautaire, ni de créer des clusters européens
  • a Commission souhaite plutôt intervenir en complément, notamment au niveau du management et de la participation des PME»
  • our l’exécutif européen, la réalisation des potentiels économiques et scientifiques des pôles de compétitivité sera dynamisée par une plus forte coopération transnationale. A ce titre, l’Observatoire européen des clusters propose par exemple aux décideurs politiques des informations sur les forces relatives des clusters dans l’UE.
  • La faiblesse européenne en matière de clusters de rang mondial est liée au problème plus global de sous investissement des Etats membres en matière de recherche et développement.
  • Afin de sensibiliser à nouveau les citoyens et les Etats membres à ces thématiques, 2009 sera l’Année européenne de la créativité et de l’innovation.
François Bertrand

2009 Economic Policy Directions| Korea.net News - 0 views

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    engine
François Bertrand

Don't penalise innovation in mobile telecoms - 0 views

  • Don't penalise innovation in mobile telecoms
  • These innovations require modernising and extending current networks, however. Despite the government's wishes, more than half of French territory, for example, remains to be covered by a broadband mobile network. In June 2008, only 12% of subscribers had gone over to third-generation (3G) mobile phones, twice as few as in Sweden, Norway or Italy. Improving this situation will inevitably require substantial investments. These risk being delayed by the public authorities' regulatory appetite and by ill-advised French tax policy.
  • The list of new regulations that encumber the activities of mobile operators keeps getting longer and, unfortunately, will consume a growing share of their resources.
  • ...2 more annotations...
  • Instituting costly new regulations and imposing the new tax will doubtless have the effect of destabilising the most fragile operators.
  • If the public authorities want the French to benefit fully from these innovations and from the advantages provided by broadband mobile service, they should moderate their regulatory and tax appetites!
François Bertrand

International Conference on Concurrent Enterprising, Lisbon, Portugal - 0 views

  • http://www.ice-conference.org/
  • co-creation, co-innovation and open innovation
  • 'A new wave of innovation in collaborative networks'.
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    dommage, c'est pendant la Suisse... --- The 14th International Conference on Concurrent Enterprising (ICE 2008) will be held in Lisbon, Portugal, from 23 to 25 June. This year's event is entitled 'A new wave of innovation in collaborative networks'. ICE 2008 will bring together researchers and practitioners from around the world to present the latest findings from their research and share their hands-on experience from industry. Conference topics include, for example, ambient assisted environments, real-time location and identification, co-creation, co-innovation and open innovation, concurrent engineering methods and processes as well as issues of product data and product lifecycle management and many more. The term 'concurrent enterprising' is an amalgam which brings together the paradigms of concurrent engineering and extended/virtual enterprising. The concurrent enterprise is a distributed, temporary alliance of independent, co-operating manufacturers, customers and suppliers using systematic approaches, methods and advanced technologies for increasing efficiency in the design and manufacturing of products and services. Contact person: For further information, please visit: http://www.ice-conference.org/
François Bertrand

OCDE Science, Technology and Industry Scoreboard 2007 : Highlights - 0 views

  • Investment in knowledge has grown at the same pace as GDP
  • In both Japan and the EU, R&D intensity (R&D expenditure relative to GDP) picked up in 2005 to 3.3% and 1.7%, respectively, following a drop in 2004. In the United States, R&D intensity declined from a peak of 2.7% in 2001 to 2.6% in 2006, mainly owing to stronger growth in GDP than in the other main regions. In 2005, China became the third R&D spender world wide (in purchasing power parity terms) after the United States and Japan, with growth of more than 18% a year in 2000-05.
  • Venture capital is a major source of funding for new technology-based firms and a decisive determinant of entrepreneurship and innovation. It represented about 0.12% of OECD-wide GDP in 2005, up from 0.10% in 2003. It was much higher in Nordic countries (and growing rapidly), but it still remains concentrated in the United Kingdom and the United States. In 2005, these two countries attracted half of all OECD venture capital.
  • ...13 more annotations...
  • Innovation policies: increased focus on tax incentives and industry-university linkages
  • In 2006, 20 OECD countries offered tax relief for R&D compared to 12 in 1995
  • many OECD governments have encouraged universities to patent their inventions
  • While decreasing slightly, to about 7%, in the countries that pioneered such policies (Australia, Canada and the United States), the share has increased markedly in Japan and the European Union, notably in France and in Germany, although levels remain modest (1.5% in Japan, 3% in the EU, but more than 5% in France).
  • Co-operation between industry and public research institutions
  • The United States and Japan have a comparative advantage in biotechnology and nanotechnology patenting and in the relevant scientific fields, while the EU is the world leader in environment-related technologies (solid waste, renewable energy and motor vehicle abatement), with Germany playing a very active role. Japan is second to the EU in all three environmental technology fields. However, while patenting in renewable energy and motor vehicle abatement has been increasing rapidly since the mid-1990s, patenting in solid waste technologies has declined.
  • S&T and innovation performance: the rise of new players
  • In terms of specialisation, patent data show that emerging economies (India, China, Israel, Singapore) and the United States focus their innovative efforts on high-technology industries (computers, pharmaceuticals) while continental Europe concentrates on medium-high-technology industries (automobiles, chemicals).
  • Innovation surveys show that large firms have a greater tendency to innovate than small ones.
  • California and Tokyo are by far the most inventive regions in ICT and biotechnology
  • The United States has the most biotechnology firms (close to 2 200), followed by Japan and France (around 800 each). In most countries, biotechnology represents 2 to 6% of business R&D but the share is higher in the United States, Switzerland and Canada, and above all in some smaller countries where it exceeds 20% (Denmark, New Zealand, Iceland).
  • The Nordic countries (especially Finland) and Belgium are ahead of other countries
  • High- and medium-high-technology manufacturing accounts for significant shares of exports from Ireland, Japan and Switzerland (shares of over 75%) as well as from Germany, Hungary, Korea and the United States. Among the BRIICS (Brazil, Russia, India, Indonesia, China and South Africa), these industries' exports are most important in China and Brazil, accounting for 55 and 32%, respectively, of total exports of manufactured and primary products. Because of the globalisation of value chains, a economy such as China imports more high-technology goods than it exports; much of these imports are components that are assembled in Chinese factories.
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    comparaison internationale pas mal de données sur des idées qui circulent
Fred L

Bourse, cours des actions, CAC 40 - La bourse en ligne - LCI - Actualites - 0 views

shared by Fred L on 11 Nov 08 - Cached
  • Société Générale signe la charte de l'innovation participative
  • a charte de l'Innovation participative lancée par l'association Innov'acteurs*
  • Cette Charte vise à développer une large culture de l'innovation et permettre à chacun d'être reconnu comme acteur de changement à travers ses initiatives et ses innovations, quelle que soit sa place dans l'organisation. Elle sera présentée lors du Carrefour de l'Innovation Participative qui se tiendra les 2 6 et 27 novembre à Paris.
  • ...2 more annotations...
  • L'innovation, une des trois valeurs du groupe Société Générale, est illustrée par la démarche mondiale " Innovons à tous les étages " qui permet à tous les collaborateurs de soumettre leurs idées innovantes ; les " Trophées Innovations Groupe "qui récompensent les meilleures innovations réalisées dans l'année ; et la stimulation permanente des échanges de bonnes pratiques innovantes entre les services.
  • L'association Innov'acteurs regroupe plus de 240 membres représentant une centaine d'entreprises en France. Lieu d'échange, de réflexion et de professionnalisation, son objectif est de soutenir et encourager l'innovation à tous les niveaux des organisations.
Fred L

Barack Obama nomme son équipe chargée de l'innovation - News - eWeekEurope.fr - 0 views

  • Selon le site Web du président élu, Barack Obama a pour objectif "d'influer sur les technologies pour permettre une croissance de l'économie et créer des emplois". L'agenda présidentiel inclut également de nombreuses propositions pour un "gouvernement [plus] ouvert et efficace" et un réengagement dans le domaine scientifique. Le groupe de travail sera divisé en quatre sous-divisions : innovation et gouvernement, innovation et priorités nationales, innovation et science, innovation et société civile.
François Bertrand

DB Research : Lifelong learning boosts competitiveness and growth: Trends and developme... - 0 views

  • The result is that knowledge and our skills are becoming outdated more quickly.
  • Given that knowledge is becoming obsolete more rapidly, lifelong learning is now the order of the day.
  • In addition, many providers of continuous vocational training enhance the potential of their clients – be they companies or ordinary individuals. They are forging their way into high-tech segments or new thematic areas emerging from the issue of climate change. They are imparting more new and advanced knowledge on topics like information technologies and knowledge organisation as well as energy conservation (sustainability).
  • ...1 more annotation...
  • Does this mean we are learning enough? Definitely not! The levels of participation in continuous vocational training and continuous education have been falling in Germany since 1997 and are stuck at 26% and 27% respectively (see Figures 1&2)
François Bertrand

CORDIS: EU supporting stars of tomorrow through Eurostars - 0 views

  • The fundamental aim of the programme is to create an easily accessible and sustainable European Research & Development (R&D) support mechanism for businesses as well as encouraging them to create new economic activities. Also as part of the programme, enterprises will be assisted in promoting their technological and business development and internationalisation. The Eurostars Joint Programme does not intend to supplant existing national or EU programmes which support R&D performing SMEs in their innovation process. Instead, it is meant to complement them and achieve synergies with the relevant national research and innovation programmes. In so doing it will help realise the European research Area (ERA).
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