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Contents contributed and discussions participated by François Bertrand

François Bertrand

Dix recommandations aux créateurs d'entreprise - Les Echos.fr - 0 views

  • Dix recommandations aux créateurs d'entreprise
François Bertrand

L'art d'entreprendre - 1 - Avoir « une » idée excellente - Les Echos.fr - 0 views

  • RÉSUMÉL'auteur a suivi des dizaines de projets de création d'entreprise au cours de sa carrière. Il a remarqué que les entrepreneurs affrontent les mêmes problèmes lors de la période précédant le lancement du projet et pendant les premières années de son développement. Entre autres conseils, il rappelle qu'il vaut mieux commencer modestement, qu'il est vital de créer de la valeur rapridement ou encore qu'il est essentielde trouver un compromis intelligent entrele contrôle du capitalet l'ouverture aux actionnaires.
  • Avoir « une » idée excellente, « un » produit remarquable ou « un » marché porteur ne suffisent pas.
  • Comme rien ne se construit sans la volonté d'un entrepreneur, et rien de grand ne se construit seul, il est essentiel de trouver un compromis intelligent entre le contrôle du capital - au besoin, au travers d'un pacte - et la constitution d'une équipe d'actionnaires fondateurs responsables et soudés.
  • ...5 more annotations...
  • Défendre son indépendance passe également par la protection intellectuelle de la créativité : brevet, marques, modèles, copyrights et sites Internet.
  • La création de « captives d'investissement », chargées de mettre en valeur l'intelligence d'une équipe entrepreneuriale, et une partie des ressources disponibles, dans des projets extérieurs - quelquefois à l'autre bout du monde - offre une réelle opportunité de diversification des sources de la performance et, sans conteste, une autonomie stratégique accrue.
  • Afin de susciter l'émergence et le développement d'une telle culture de la performance, il est souvent utile de lier les éléments variables de la rémunération des principaux collaborateurs à la croissance du résultat opérationnel, de la rentabilité nette ou, mieux encore, de la rentabilité nette par action (en tenant compte du fait que le nombre d'actions pourrait être amené à varier dans le temps). L'ouverture du capital aux collaborateurs qui le souhaitent, au travers d'un programme de stock-options - et non d'actions gratuites - attribuées en fonction de la croissance de la rentabilité nette par action, associée à un éventuel programme de rachat d'actions par la société si elle n'est pas cotée, constitue un puissant facteur de cohésion et de motivation. Enfin, la participation à des programmes de formation adaptés peut également contribuer à une évolution favorable des attitudes et des comportements.
  • La réalité est que le modèle économique sur lequel a reposé le développement de notre société européenne durant près d'un siècle semble avoir atteint sa pleine maturité. Nous sommes aujourd'hui à la croisée des chemins. Les nombreuses expériences faites en matière d'économie dirigée ne semblant pas avoir donné les résultats escomptés en termes de croissance, d'innovation et de prospérité, nous sommes condamnés à remettre en question un certain nombre d'hypothèses considérées comme étant établies. « Je me suis trompé, l'économie de marché fonctionne », me disait récemment un collègue universitaire qui a passé sa vie à enseigner les fondements de l'économie dirigée, et qui, manifestement, avait choisi d'ignorer « Capitalism and Freedom » et « Free to Choose » de Milton Friedman. Un constat que ne rejetteraient pas aujourd'hui de nombreux responsables politiques qualifiés comme étant de gauche.
  • Même si nous ne nous rapprochons que très lentement d'une telle société de responsabilité et d'entreprise, il n'est pas interdit d'en décrire, comme je le fis il y a dix ans déjà, quelques dimensions :- la réhabilitation du rêve, de la créativité, du goût du risque, du sens de l'effort et de l'éthique à tous les niveaux du système éducatif et chez ses principaux acteurs ;- l'absence de toute forme d'aide et d'assistance à la création d'activités et d'entreprises, les aides publiques les plus efficaces étant celles qui n'ont pas lieu d'être ;- un environnement fiscal favorable à la constitution et au développement des fonds propres des entreprises, notamment au cours des phases de création et de développement ;- une législation sociale empreinte de souplesse, ouverte aux objectifs et au mode de fonctionnement de l'entreprise en tant qu'instrument de création et de distribution de richesse ;- une incitation à la réussite individuelle et à la prise de risque se traduisant par une fiscalité du revenu et un système de protection sociale respectueux de l'effort consenti par chacun ;- la professionnalisation de la gestion des entreprises dans l'intérêt des divers partenaires impliqués - clients, collaborateurs, Etat, actionnaires - et l'équité des mécanismes de partage du surplus de valeur créé ;- le sens du concret, le pragmatisme, le refus des idéologies, le respect de la liberté et de l'intégrité des projets personnels, compatibles avec l'évolution démocratique du monde moderne ·
François Bertrand

CORDIS: EU supporting stars of tomorrow through Eurostars - 0 views

  • The fundamental aim of the programme is to create an easily accessible and sustainable European Research & Development (R&D) support mechanism for businesses as well as encouraging them to create new economic activities. Also as part of the programme, enterprises will be assisted in promoting their technological and business development and internationalisation. The Eurostars Joint Programme does not intend to supplant existing national or EU programmes which support R&D performing SMEs in their innovation process. Instead, it is meant to complement them and achieve synergies with the relevant national research and innovation programmes. In so doing it will help realise the European research Area (ERA).
François Bertrand

Le classement de Shanghaï 2008 - 0 views

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    estrait de l'édition du 07/08/2008 du Monde : C'est une déconvenue pour les universités françaises. Le classement annuel des 503 meilleurs établissements d'enseignement supérieur du monde établi par l'université Jiao Tong de Shanghaï, en Chine, publié mardi 5 août - et dont elles contestent la validité -, les montre stagnantes, alors que l'édition 2007 avait révélé des progrès. Le bilan est en demi-teinte. La France occupe, certes, la 7e place sur 37 pays, mais, dépassée par la Suède, elle en perd une par rapport au classement de 2007. 23 établissements français sont toujours présents dans le « top 500 » et ils ne sont plus que 3 au lieu de 4 dans le « top 100 ». La première université française, Paris-VI, n'est que 42e, perdant trois places au niveau mondial et une au niveau européen, en étant 7e. Paris-XI (49e) en gagne trois, mais reste 10e en Europe. En revanche, l'Ecole normale supérieure (73e) avance de dix places au niveau mondial et de quatre au niveau européen (22e).
François Bertrand

Broadband Growth and Development in OECD Countries - 0 views

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FING - Ouvrage "Cultivons l'innovation - 0 views

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CEPS - Innovation and Economic Leadership: Opportunities for Europe and the United States - 0 views

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I-Nova - Editeur de logiciels au service de l'innovation - 0 views

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    A regarder de plus près
François Bertrand

Philippe Dulbecco: "La réforme sur l'autonomie des universités ne va pas jusq... - 0 views

  • La liste des 20 premières universités françaises amenées à devenir autonomes au 1er janvier 2009 a été dévoilée par Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur, jeudi 24 juillet.
    • François Bertrand
       
      à trouver
  • Pour Philippe Dulbecco, Président de l'université d'Auvergne, la réforme est encore trop timorée.
    • François Bertrand
       
      = clermond-ferrant = couf
  • Quels sont les plus et les moins de cette réforme pour votre établissement ?Philippe Dulbecco: Nous sommes sûrs que cette réforme va nous permettre d'être plus efficace dès l'année 2009. Nous pourrons enfin mettre en place une politique incitatrice, affecter les fonds dans les secteurs porteurs, faire des choix drastiques pour garder les labos et les filières les plus dynamiques. Nous créerons des emplois là où ça marche. Bien sûr il y a aussi des risques. Le système sera forcément plus concurrentiel. Les équipes de gouvernance seront jugées sur leurs performances et sanctionnées en cas d'échec. A long terme, ne resteront sur le marché que celles qui auront des résultats. Mais cela ne me fait pas peur, je trouve cela très souhaitable pour la santé de nos universités. Ma seule crainte concerne le manque de moyens.
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  • Si on ne donne pas de moyens suffisants aux universités, cette réforme sera un échec cuisant. Je pense que les arbitrages à venir avec Bercy seront saignants.
  • Pour avoir des moyens de s'améliorer, il faudrait faire payer des frais plus importants mais proportionnellement aux revenus. Je pense que c'est peine perdue de batailler sur ces sujets. La France, le gouvernement et le corps social ne sont pas prêts à remettre ça en cause. Aujourd'hui, tout le monde opte pour l'attitude "on ne fait pas de vagues", on ne va pas jusqu'au bout. A mon grand regret, cette loi n'est pas complète...
François Bertrand

L'UNEF s'oppose au financement des universités en fonction de leur performance - 0 views

  • Un financement en fonction de la performance conduirait à creuser les inégalités
  • Comment comparer la performance en termes d’insertion professionnelle de Paris 9 Dauphine et Paris 8 St Denis, l’une accueillant moins de 25% de boursiers et l’autre plus de 50%.
  • Prise en compte du taux d’insertion professionnelle
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  • Calculer la dotation des universités en fonction du nombre d’étudiants présents aux examens : une mesure idéologique, qui ne répondra pas au problème de fond de l’échec
  • Ce faisant le gouvernement renonce à répondre aux causes qui conduisent les étudiants à abandonner en cours d’année : le salariat étudiant, l’insuffisance d’encadrement, l’absence de pédagogie…La cause de l’échec des étudiants est d’abord dans le développement du salariat étudiant et l’absence d’encadrement des étudiants.
  • L’UNEF exige que le système de répartition des moyens des universités soit au contraire basé sur des normes objectives et transparentes, permettant, selon les principes du service public, de donner à chacun selon ses besoins, et non selon ses résultats.
François Bertrand

Le financement des universités : pour un SYstème de répartition des Moyens à ... - 0 views

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    le rapport
François Bertrand

EurActiv.com - France : la réforme du financement des universités se heurte à... - 0 views

  • Le 10 juin 2008, le Sénat français a publié un rapport  proposant de modifier le système actuel de financement de l’université, critiqué pour son manque de transparence et sa complexité. 
  • notamment le montant des fonds extérieurs levés par les laboratoires de recherche des universités, c'est-à-dire les sources privées.
  • Les recommandations du Sénat ont provoqué une forte opposition de l’Union nationale des étudiants français (UNEF), qui affirme que baser le financement des universités sur la performance augmenterait les inégalités entre les universités et pénaliserait celles qui en dépendent le plus.
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  • Le commissaire européen à la Recherche, Janez Potočnik, a souligné qu’il est essentiel d’accorder plus d’autonomie aux universités européennes, particulièrement dans des domaines comme la recherche, l’innovation et les missions liées au transfert de connaissances. Au début du printemps, lors d’un colloque des présidents des universités françaises, il a salué la volonté de la France de moderniser son système d’enseignement supérieur, décrivant la réforme des universités françaises comme un exemple pour l’ensemble de l’Europe.
François Bertrand

SYMPA : le nouveau rapport sur l'allocation des moyens aux universités a été ... - 0 views

  • Le dispositif Sympa se donne ainsi pour objectifs de « restaurer une plus grande équité entre les universités » et d'« inciter ces dernières à davantage d'efficience dans l'utilisation des moyens ».
  • Distinguer le financement de la formation du financement de la recherche Ce rapport distingue, en premier lieu, le financement de la formation "qui jusqu'à présent ne faisait pas l'objet d'un financement qualitatif", du financement de la recherche "dont le financement s'inscrit d'ores et déjà dans un processus de performance» (contrairement à la dotation globale du dispositif San Remo) et prône une corrélation entre financement et performance.
  • Pour la formation, 90% du financement seraient ainsi alloués en fonction de l'activité et 10% des crédits de formation seraient évalués au titre de la performance, contre 3 % actuellement. En ce qui concerne la recherche, déjà financée à hauteur de 20% sur la base d'objectifs contractualisés, cette part pourrait être de 30% dès 2009, et à terme, atteindre 50%.
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  • Les critères de performance devraient également reposer sur les efforts des universités à garantir aux étudiants un « taux d’insertion professionnelle à six mois puis à trois ans » en considérant, entre autre, la poursuite d'étude. "Le niveau de salaire ou le statut de cadre" pourraient aussi faire parti de ces critères. Et c'est sur ces derniers points que le bas blesse puisque selon certains syndicats étudiants ces critères défavoriseraient particulièrement les universités de Sciences humaines, dont certaines se disent inquiètes quant à leur avenir.
  • Les premières estimations évaluent le coût du rééquilibrage entre 270 et 500 millions d'euros (hors coûts associés).
  • Accès direct au rapport: http://www.senat.fr/rap/r07-382/r07-382.html.
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