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Home/ Mission FNEP 2008/ Group items tagged éducation

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François Bertrand

SLR - L'Association finlandaise TUTKAS - 0 views

  • L’Association finlandaise TUTKAS a été fondée dans les années 70, constituée dès le départ de membres du Parlement et de scientifiques, avec l’objectif avéré de renforcer et de développer les contacts entre scientifiques et représentation nationale (députés). Les relations avec le Parlement, et les initiatives à entreprendre de concert ont donné lieu à différentes réunions, enquêtes et rapports dans les années 80. C’est en 1992 que le Parlement a adopté une proposition, à l’initiative de TUTKAS, d’inviter le gouvernement à publier, à chaque échéance électorale, càd. tous les 4 ans, un Rapport blanc sur l’avenir de la recherche en Finlande à chaque échéance électorale.
  • Suite à la présentation de ce 1er Rapport blanc en 1994, le Parlement finlandais crée son Comité pour le Futur.
  • TUTKAS a soutenu pas à pas les enquêtes destinées à ce rapport, de même qu’elle a inspiré, en tant que regroupement informel de scientifiques plus encore que comme association officielle, différentes initiatives concernant les relations entre Sciences, éducation et société.
François Bertrand

Do Better Schools Lead to More Growth? Cognitive Skills, Economic Outcomes, and Causation - 0 views

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    pour david
Fred L

Six milliards d'autodidactes - Libération - 0 views

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    Six milliards d'autodidactes. Rapport de François TADDEI sur l'éducation : apprendre à renouveler son savoir
Fred L

L'ascenseur social ne démarre pas au 15e étage !... par Alain Cadix - LeMonde.fr - 0 views

  • L'ascenseur social ne démarre pas au 15e étage !... par Alain Cadix
  • A défaut de faire fonctionner l'ascenseur social, n'était-il pas plus aisé d'étêter l'édifice éducatif ? Mais tirer vers le bas ne grandit pas une nation. Cette tentation n'épargne pas encore quelques milieux où l'on argue que les grandes écoles détournent les meilleurs éléments des voies qui conduisent à la recherche, occultant la contribution essentielle des grandes écoles et de leurs anciens élèves à la R & D des entreprises mais aussi à la recherche publique ; que les grandes écoles ont une faible valeur ajoutée, seul le concours d'entrée ayant la valeur d'une certification
  • Au fond, la raison de ce malaise et de ces débats vient du fait qu'on essaie de pallier en fin de parcours éducatif les dysfonctionnements majeurs de notre système scolaire. L'ouverture sociale des grandes écoles soulève polémiques et pose questions dans la sphère du ministère de Valérie Pécresse. Fondamentalement, c'est celui de Luc Chatel qui est concerné. En effet, les grandes écoles (et les formations universitaires de master), en bout de chaîne, puisant dans les viviers qui leur sont préparés en amont, c'est vers l'amont qu'il faut porter le regard pour essayer d'expliquer (en grande partie) cet élitisme du haut enseignement supérieur.
  • ...7 more annotations...
  • Près de 80 % des élèves de classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) étaient dans le quart supérieur à l'évaluation en 6e ; les jeux semblant ainsi quasiment faits dès l'entrée au collège. Cette proportion va peut-être évoluer avec le quota désormais atteint de 30 % de boursiers dans les CPGE.
  • Il existe une corrélation très forte entre les résultats à l'évaluation en 6e et les résultats à l'évaluation en CE2, avec un avantage marqué aux enfants des catégories professionnelles intellectuelles et supérieures.
  • Plus en amont encore, au début du CP, l'avantage des enfants de milieux favorisés est particulièrement net pour la pré-lecture, la reconnaissance des lettres, la maîtrise des concepts liés au temps.
  • Les grandes écoles ont fait de méritoires efforts ces dernières années pour s'ouvrir à la mixité. Mais l'ouverture sociale est bridée par la structure catégorielle des viviers en amont.
  • Elles vont probablement faire évoluer leurs concours pour permettre une plus grande mixité sociale à l'entrée. Mais il y a fort à parier qu'alors, pour garantir la qualité de leur diplôme principal, ce qui est essentiel, vital pour elles, certaines grandes écoles seront amenées à créer un diplôme à bac+3, une licence, comme du reste Sciences-Po récemment, transformant la première année d'études en leur sein (troisième et dernière année du cycle licence) en une année de sélection qui sera théorique par ses enseignements et draconienne par ses évaluations.
  • Et nous reviendrons peu ou prou à la case départ tant que le problème ne sera pas pris en charge très en amont, bien avant le baccalauréat, au cours des quinze années de scolarité, maternelle, primaire et secondaire.
  • Alain Cadix, ancien président de la Conférence des grandes écoles, est directeur de l'Ecole nationale supérieure de création industrielle (ENSCI – Les Ateliers). Cet article n'engage pas la Conférence des grandes écoles.
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