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Les enseignants débutants feront cours à plein temps - 1 views

  • Cette première rentrée s'annonce particulièrement chargée pour les 15 000 professeurs débutants de l'Éducation nationale. Ils vont se retrouver en face des élèves sans avoir reçu de formation pédagogique. Auparavant présents devant les élèves 6 à 8 heures par semaine, ils vont désormais assurer 14 à 18 heures de cours. Le temps consacré à leur formation pédagogique, autrefois dispensée dans les IUFM (Instituts universitaires de formation des maîtres), est quant à lui fortement réduit. Une conséquence de la réforme sur la formation des enseignants élaborée par le ministère de l'Éducation nationale.
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    Le Figaro
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Le rôle de l'état reste primordial quand une réforme décentralisatrice est mi... - 0 views

  • L'autonomie scolaire, c'est-à-dire le transfert vers les établissements scolaires apparait associée à des indicateurs d'efficacité plus élevés que la décentralisation politique (vers les collectivités locales).
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La contradiction entre les objectifs de l'Éducation Nationale et la civilisat... - 0 views

  • Bruno Sillard estime qu’un changement du système éducatif en douceur est impossible, qu’il se fera en douleur. « Il y a un temps de retard qui va s’accroître de plus en plus jusqu’au moment de crise. De fait, nous constatons toujours un décalage entre la vraie vie et l’école. Il y a un vrai risque d’éclatement mais aussi le risque de voir émerger une initiative extérieure à l’Education Nationale » Il fait alors référence aux écoles Montessori et à des méthodes qui pourraient avoir un succès incontestable dans un cadre public ou privé, qui bouleverseraient les choses.
Michel Roland-Guill

Critique de la réforme de l'orthographe d'André Chervel | skhole.fr - 2 views

  • e langage SMS serait, selon Nicolas Sarkozy, responsable de la déplorable orthographe des écoliers
  • Pour corriger des copies de philosophie de classes terminales à longueur d’année depuis dix ans, je peux témoigner du fait que l’orthographe est loin de constituer le plus grave défaut de la production écrite des élèves d’aujourd’hui : ce qui est bien plus préoccupant et plus difficile à corriger, ce sont les difficultés dans la construction des phrases, le manque de richesse et de précision lexicale et grammaticale, et les problèmes concernant l’élaboration de développements structurés d’une certaine longueur et ampleur.
  • si, par exemple, des fautes d’accord[15] sont commises en grand nombre dans les copies d’élèves, ces erreurs n’ont rien de propre à l’écrit – et ne doivent donc rien à « ce sentiment d'insécurité face à une orthographe difficile, voire imprévisible » (sic !) ; elles sont ou seraient commises aussi bien à l’oral, et sont simplement transposées à l’écrit.
  • ...3 more annotations...
  • les difficultés de lecture de certains textes, telles qu’on les rencontre également chez les élèves d’aujourd’hui, ne sont probablement pas non plus produites en premier lieu par les subtilités et irrégularités de l’orthographe française : ce sont là encore des problèmes beaucoup plus larges et profonds, que les élèves rencontrent d’abord face à des constructions syntaxiques élaborées, des subtilités dans l’usage des temps et des modes, un vocabulaire particulièrement riche, etc.
  • La position de Chervel adopte par moments, me semble-t-il, des arguments et une rhétorique qui font penser à ceux de la critique bourdieusienne de l’école, notamment à travers la dénonciation d’une « orthographe de caste » et d’une « fracture orthographique », de la crispation des instituteurs de la IIIe République sur leur savoir-faire et leur pouvoir social, ou encore du rôle joué naguère par le latin.
  • on ne peut pas, sauf à caricaturer, considérer qu’un esprit cultivé et bien formé au sens du XIXe s. consiste purement et simplement en un esprit manifestant sa « volonté d'adaptation aux règles de la société bourgeoise ».
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    On ne peut pas, non plus, sauf à caricaturer, considérer qu'un esprit cultivé et bien formé au sens du XIXe s. consiste purement et simplement en un esprit manifestant sa volonté de justifier l'institution. La question de fond est bien celle de la maîtrise de la langue, dans ses aspects aussi bien oraux qu'écrits. Et la difficulté réside en ce que l'enseignement de la maîtrise de la langue occupe une place bien modeste dans les programmes d'enseignement du français à partir de la 6e. Que les professeurs du secondaire ne sont pas formés pour cela et que, par tradition, ils ont toujours répugné à le faire, laissant cette tâche subalterne au corps des instituteurs. Et d'ailleurs, les instituteurs étant formés comme ils le sont, et les programmes étant ce qu'ils sont, la part d'enseignement de la langue dans l'enseignement dit "de français" diminue à l'intérieur même du cursus élémentaire. Si bien que nous voyons de plus en plus souvent des élèves lire/écrire moins bien en CM2 qu'ils ne faisaient 2 voire 3 ans auparavant.
anonymous

Une rentrée, deux écoles - 0 views

  • A gauche, les uns veulent la «repenser entièrement», d’autres la «refonder». A droite, Luc Chatel annonce rien moins qu’une «troisième révolution» scolaire, celle de la «personnalisation» (lire page 4)… En cette rentrée 2011, la dernière avant la présidentielle, l’école est au cœur des attentions des politiques. Face à ce que beaucoup considèrent comme l’un des grands gâchis du sarkozysme, elle pourrait être l’un des enjeux de la campagne électorale.
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    Le débat gauche-droite en vue des présidentielles
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