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Après des pubs de la part des marques que vous suivez sur Twitter, vous allez voir apparaître dans votre "timeline" des tweets dit "sponsorisés" de marques qui pourraient vous intéresser.

Boires et déboires en SEO de campaigners en social media.

Quand une bonne idée à la base donne la possibilité d'acheter la mise en ligne d'un blog à 60 euros ou mieux, du community management à 50 euros. Ou mieux encore, créer une page Facebook et un compte Twitter pour 100 euros.

Vous avez aimé une vidéo sur Youtube, archivé un article sur Google, liké un lien sur Facebook, marqué un Tweet sur Twitter… vous vous en souvenez bien mais impossible de remettre le doigt dessus ? Alors Faveous est fait pour vous.

Vous avez trouvé ce site génial et vous voulez l'envoyer à vos contacts Facebook, Twitter, Diigo et par mail à votre grand-mère tellement il est bien. Voilà. Mais attendez, respirez un grand coup et faites une petite vérif'...

G+, Fsqr, Facebook, Twitter ou LinkedIn ? Voici un schéma pour vous aider à choisir en toute sérénité.

On a la démocratisation de Twitter que l'on mérite : Lealatepu, JustinBieber et AntidanettoKetchup nouveaux "Trending Topics"

Branchout toujours...

Écrites en petits caractères et dans un jargon peu accessible : ce sont les magnifiques "conditions générales d'utilisation" (CGU). Que nous avons ici cartographiées. Un monde de combines et d'hypocrisie. Avec des règles acceptées sans même qu'on y jette un coup d'œil, et supposées protéger nos données privées alors que, souvent, elles les transforment en marchandises. Infographie.

Il n'y a pas que Trello dans la vie, d'autres solutions peuvent être plus avantageuses. À lire / tester.

Il tape fort, Naro...

Lancées il y a près de deux ans sur le marché, les tablettes ont profondément impactées l'industrie des médias en offrant de nouvelles possibilités d'interaction avec les contenus éditoriaux. Des éditeurs comme Virgin ou Atomix travaillent ainsi d'arrache-pied pour redéfinir l'expérience de lecture d'un magazine digital.

E-réputation, Tweet-clash, licenciement... Les médias sociaux condamnent-ils les entreprises et leurs salariés à s'étriper en public ? Quelles solutions pour éviter d'écorner durablement l'image des uns et des autres ?

L'utilisation des médias sociaux par les entreprises serait devenue naturelle : c'est la conclusion de cette étude menée par Econsultancy auprès de plus de 1000 sociétés américaines. Sur toutes les personnes qui ont répondu à cette enquête, 64% déclarent que leur entreprise a dépassé le stade de la simple expérimentation en matière de médias sociaux. L'an dernier, cela ne concernait que 54% des entreprises. Pour deux-tiers des entreprises donc, les médias sociaux sont désormais intégrés à la stratégie marketing/communication globale. Un chiffre à pondérer toutefois, les sociétés ayant répondu à l'enquête sur Internet..

Une jour, le monde entier parlera...euh, non, "codera".

"Malgré les nombreux articles déjà parus sur le sujet, les discussions persistent, de même que les publications : Life below 600px, Designing 'Above the Fold' Necessary?, Is there life below the fold?. Le point de départ de ce mythe est pourtant bien fondé : les contenus au-dessus de la limite de visibilité sont plus lus, de même que les boutons qui sont plus cliqués. Ceci étant dit, les contre-arguments sont également toujours les mêmes."