L’étape suivante passe par la coordination, le partage transversal de données, donc un certain œcuménisme technologique réclamant de la part des acteurs concernés un sens poussé du coopératif, mais surtout un chef d’orchestre en charge de faire régner l’harmonie parmi ces instrumentistes que sont les métiers de l’eau, de la sécurité, des transports, de l’énergie, de l’assainissement, etc. Ce qui nécessite à coup sûr une savante compréhension des high-tech qui ne figure pas toujours dans l’alphabet des élus, mais plus encore le sens de l’intérêt général afin de piloter des arbitrages délicats.