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Aurialie Jublin

Tableau de synthèse sur les perspectives de l'emploi à long terme - 0 views

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    Tableau de synthèse sur les perspectives de l'emploi à long terme (à 2050) dans les différents secteurs d'activités (agriculture, industrie, énergie, bâtiment, services, transports, commerce, recyclage, location, artisanat, banque, ...) Section d'un article intitulé "La crise écologique exige une révolution de l'économie des services"
Aurialie Jublin

Synthese du COE "Rapport Automatisation numerisation et emploi" Tome2 - 0 views

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    Impact sur les compétences - Synthèse du Conseil d'orientation pour l'emploi
julien camacho

Intégration des TIC dans l'administration: les agents à la fois séduits et so... - 0 views

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    Un article qui relate l'étude du Grico (réseau de recherche sur les devenirs du numérique) sur "les collectivités numériques vues par leurs agents". Celle-ci aborde des problématiques traitées dans l'expédition Digiwork, notamment dans sa première partie sur "les dimensions managériales et organisationnelles". On y apprend que 2/3 des cadres considèrent le passage au numérique comme obligé mais déplorent que cela ne bénéficie que peu à l'expression. On constate un contrôle de l'accès qui peut s'avérer contre productif pour la structure. On y retrouve des éléments sur le contrôle et la mesure du travail. Ici, le lien vers la lettre de synthèse de l'étude http://www.grico.fr/wp-content/uploads/2013/02/Resume_Collectivit%C3%A9snum%C3%A9riques_GRICO_Fev2013.pdf
julien camacho

Économie du partage : quelle forme dans le monde de l'entreprise ? - E-media,... - 0 views

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    Un article concis qui fait la synthèse des formes d'aménagement du temps de travail et de contributions liées à la diffusion de nouveaux outils. Les individus partagent leur temps sur plusieurs activités à hauteur de leurs compétences, et participent à différents projets. L'entreprise devient la plateforme logicielle ouverte de l'économie contributive.
Aurialie Jublin

Robert Castel, La montée des incertitudes - 0 views

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    Synthèse de la réflexion et l'analyse du sociologue sur la grande transformation qu'a connue le salariat depuis une trentaine d'années et esquisse des pistes d'action pour réduire cette montée des incertitudes. 3 parties : - la première, intitulée « Les dérégulations du travail », est composée de textes qui traitent de l'évolution de la place du travail dans la société actuelle, du rôle du droit du travail dans le redéploiement de l'État social, du rapport au travail spécifique des jeunes et de l'institutionnalisation du « précariat », forme d'activité au deçà du salariat. - la 2e partie de l'ouvrage s'intéresse aux reconfigurations nécessaires des protections individuelles et au rôle de l'État social dans un environnement mouvant et incertain, marqué par la mondialisation. - la dernière partie, Les chemins de la désaffiliation, est consacrée aux voies qui conduisent certains groupes à la fragilisation extrême, voire la rupture du lien social, ce que Castel a appelé dans Les métamorphoses de la question sociale, la désaffiliation. J'ai souligné certains passages (avec les outils diigo), mais ils n'apparaissent pas dans le groupe, seulement dans ma libraiie
Aurialie Jublin

A la recherche de l'équilibre vie pro vie perso - 0 views

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    Document de synthèse des "Débats du mois" de RegionJob : des témoignages, des conseils, ....
abrugiere

Architecture Organisationnelle: Esquisse d'une "Entreprise 3.0" - 0 views

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    un travail de synthèse d'idées en vogue (et tout à fait proches des nôtres, mais ne nous cite pas... :( ) sur les transformations du travail. 1 - une nouvelle vision du travail (recherche du sens, etc.) 2 - une nouvelle définition du management et du manager 3- une nouvelle vision de la valeur 4 - une nouvelle vision de la communication A lire !
Aurialie Jublin

Numérique et emplois, synthèse de la Fabrique de l'industrie - 0 views

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    Intéressant exemple des Cuisines Schmitt : des effectifs multipliés par trois grâce à la robotisation et à la numérisation Schmidt groupe est allé très loin dans la robotisation et la numérisation de son activité avec son projet lancé il y a dix ans : une cuisine fabriquée en un jour, livrée au bout de dix jours avec une qualité 100 %. Le vendeur crée virtuellement une cuisine avec les clients, la commande est traitée par échange de données informatiques et la fabrication est robotisée. Une commande standard peut être réalisée presque sans intervention de l'homme et les délais de fabrication sont passés de sept jours à une journée. Concrètement, l'automatisation a permis de maîtriser la qualité des produits mais aussi de réduire la pénibilité du travail et, surtout, d'éviter la délocalisation. Il est vrai que l'automatisation peut conduire à supprimer certains postes dans un premier temps. Mais Schmidt a conquis de nouveaux clients en France et en Europe, ce qui a créé des emplois malgré un recours de plus en plus important aux robots. En 60 ans, le groupe a construit quatre sites de production, le cinquième ouvrira en 2019. Il y a trois fois plus de salariés qu'avant dans l'entreprise (+ 1 500). Les anciens ouvriers ont été formés, ils se sont convertis en opérateurs et en pilotes d'installations complexes. Schmidt recrute aujourd'hui une centaine de profils qualifiés par an.
Aurialie Jublin

L'adoption des RSE et plateformes collaboratives progresse lentement - Entreprise20.fr - 1 views

    • Aurialie Jublin
       
      Résultat de l'étude "évolution de la networked enterprise" : Si l'adoption de certaines technologies et fonctionnalités liées à la networked enterprise sont en hausse régulière, la tendance générale est plutôt à la stagnation ;  - Les bénéfices ressentis au sujet de ces nouveaux outils ou nouvelles pratiques sont plutôt mitigés (surtout liés à la réduction des coûts de communication ou de voyage) ; - Des préoccupations qui se déportent vers des sujets très techniques (accès mobile, sécurisation des données dans les nuages, big data…).
  • Même son de cloche avec l’étude 2013 sur la Social Collaboration en Allemagne, en France et au Royaume-Uni de PA Consultants. On y apprend que les entreprises allemandes et anglaises ont une approche pragmatique centrée sur l’efficacité ou la recherche de rapidité, alors que les entreprises françaises cherchent à améliorer la motivation, l’implication… mais comme ces derniers bénéficient d’un faible niveau d’autonomie, les résultats ne sont pas forcément au rendez-vous
  • Le principal enseignement de cette étude est que des solutions sont déployées, probablement dû à un bon travail d’évangélisation des éditeurs, mais que l’intégration aux outils du quotidien reste à faire. En d’autres termes : on colle des rustines pour faire bonne figure, mais les habitudes ne changent pas forcément à cause d’un déficit de volonté de changement.
  • ...1 more annotation...
  • Comme pour les études précédentes, si les entreprises se targuent d’un déploiement de solutions modernes (RSE, accès mobile…), elles sont beaucoup moins volontaires pour initier une mutation en profondeur des habitudes de travail. Ce qui manque le plus, comme le démontre ces études, est la mise en place d’une réelle dynamique de changement où la direction et le middle management expliquent, stimulent et participent de façon active à la transformation des outils et processus métiers.
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    Un article de synthèse de quatre études sur l'adoption des RSE et plateformes collaboratives parues récemment.
Aurialie Jublin

Transformation numérique pour les RH : une synthèse du CIGREF - 0 views

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    "Le CIGREF publie une étude intitulée : Les Challenges de la transformation numérique pour les RH de l'entreprise"
Thierry Nabeth

Etude européenne sur les nouveaux modes de travail - 2 views

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    Voici une synthèse de l'étude « Les nouveaux modes de travail à l'ère du digital : enjeux et opportunités », menée en 2013 et 2014 par Orange Business Services avec Sia Partners et Harris Interactive. Plus de 1800 personnes, aux fonctions variées (du DG au responsable d'activité), travaillant dans différents pays européens, mais aussi aux Etats-Unis et en Asie, ont été interviewées. Plusieurs exemples concrets sont donnés pour illustrer chaque tendance.
Aurialie Jublin

Comment faire coopérer les tribus ? : Millenaire 3, Société - 0 views

  • Si l’on en donne une définition générale, coopérer consiste à travailler avec d’autres pour faire ce que l’on ne peut pas faire seul. Mais la forme particulière de coopération qui m’intéresse, c’est la coopération complexe qui consiste à communiquer avec des personnes que l’on ne comprend pas, des étrangers, voire des personnes que l’on n’aime pas. Malheureusement je constate que ces pratiques de coopération dans la différence sont en déclin dans de nombreux pays. En France, par exemple, seuls un quart des individus pensent spontanément que l’on peut faire confiance à autrui.
  • si vous avez pratiqué un sport, vous savez bien que vous devez coopérer avec votre équipe pour espérer vaincre l’équipe adverse. Mais, vous remarquerez aussi que dans le sport, il faut même coopérer avec son adversaire ! En effet, pour que le jeu et la compétition fonctionne, il est nécessaire de s’accorder sur les règles et sur ce que tricher veut dire. C’est entre cinq et huit ans que les enfants comprennent cela et apprennent à fonctionner en articulant coopération et compétition. De même, en tant qu’adultes, trouver le bon équilibre entre coopération et autonomie, entre coopération et compétition, fait partie du quotidien de notre vie. Pour que nous puissions vivre bien ensemble, notre société a besoin de cet état d’esprit, issu du jeu ou du sport, pour éviter de que notre monde devienne une caricature hobbesienne de société où la lutte entre les individus prime sur toute autre forme de relation.
  • La solidarité, pour moi, n’est pas une bonne option pour faciliter les relations entre des communautés très différentes. Je ne crois pas dans la valeur de solidarité car elle a une connotation trop idéologique. En outre, elle nous conduit à lisser les différences entre les personnes plutôt que valoriser leur diversité. La solidarité conduit à sacrifier la richesse qu’apporte la complexité. Il faut mobiliser d’autres moyens pour permettre le vivre ensemble, pour que les gens communiquent entre eux malgré leurs différences, ou en valorisant leurs différences. C’est tout le sens des compétences de coopération dont je parle dans mon livre. Cette forme d’interaction est la plus créative et la moins oppressive, elle laisse davantage de place à l’expression des singularités des individus
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  • Vous décrivez pourtant le déclin des compétences sociales de coopération. Peut-on les réparer ou les remobiliser ?Plutôt que de tenter de trouver les causes de ce phénomène pour y apporter des solutions globales, je propose d’observer la diplomatie du quotidien que déploient les gens dans leurs familles, dans leur vie professionnelle ou dans la rue. On y trouve des rituels et des pratiques de civilité qui ont traversé les âges et qui permettent à chacun de bien gérer ses relations avec l’autre, surtout quand il est vraiment différent de soi. Ces compétences mobilisées sont encore présentes et nous devons trouver le moyen de les réparer, de les reconfigurer pour pouvoir les mobiliser à nouveau dans la société.
  • La première compétence que l’on observe est une forme d’écoute dialogique qui ne permet pas forcément d’aboutir à un consensus mais qui fait que l’on apprend beaucoup sur soi-même et sur l’autre. A l’inverse, lorsque vous échangez avec quelqu’un dans une logique dialectique, c’est pour aboutir à une conclusion et à une synthèse, après avoir écouté s’énoncer la thèse et l’antithèse. Vous écoutez en cherchant à reformuler ce que l’autre vous dit pour faire converger vos idées. Alors que si vous pratiquez l’écoute dialogique, vous vous intéressez à la personne qui vous parle, à ses intentions, à ce qu’elle veut dire à mots couverts. Ce type d’échange est ouvert et il n’y a pas de moment où l’implicite, le caché, est rendu explicite et clarifié. Il n’y a pas de conclusion. C’est la même différence que l’on trouve entre un orchestre qui cherche à s’accorder en répétition sur la manière d’interpréter un morceau, et un groupe de jazz qui improvise en s’écoutant. Pour moi, l’écoute dialogique est bien une des bases de la diplomatie quotidienne et de l’art de la coopération, qui nous amène à valoriser le processus plutôt que le résultat, à rechercher ensemble des questions pertinentes autour desquelles dialoguer plutôt que de vouloir aboutir à des solutions consensuelles.
  • La deuxième compétence clé consiste à savoir utiliser un mode d’expression subjonctif. C’est le contraire d’une expression déclarative qui vise au maximum de clarté et qui est très souvent employée dans les débats pour persuader son auditoire. Le problème c’est que cela ne laisse pas beaucoup de place à la discussion et à la subtilité.
  • La troisième compétence à laquelle j’attache de l’importance consiste à gérer ses rapports aux autres avec empathie plutôt que sympathie. Bien sûr, ces deux modes de relation impliquent une reconnaissance de l’autre, nécessaire pour créer du lien. Dans certains cas, la sympathie fonctionne, vous aidant à surmonter les différences pour aider une personne en difficulté. Lorsqu’un inconnu se fait renverser par une voiture, vous courrez lui porter secours, par sympathie, parce que vous vous mettez à sa place et ressentez sa souffrance. Vous vous identifiez à lui. Mais dans d’autres cas, la sympathie vous conduit dans une mauvaise voie. Vous pensez bien agir mais vous vous mettez en position de supériorité par rapport à l’autre et, en fait, c’est vous qui avez le contrôle, voire de l’emprise sur lui dans une relation émotionnellement chaude et intense.
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    "<< Nous devons développer des institutions qui permettent aux différences d'entrer en dialogue, des institutions qui accueillent la diversité? >>."
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