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Aurialie Jublin

Amazon's Turkers Kick Off the First Crowdsourced Labor Guild - The Daily Beast - 0 views

  • “[On Mechanical Turk], there’s no way to take coordinated action, because there’s no core,” Bernstein told The Daily Beast. “The set of employees on Mechanical Turk changes day to day,” he explained, and so strikes and protests—which may work for other crowd labor platforms like Uber—fail.
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    "Crowd labor platforms like Amazon Mechanical Turk operate with few rules and little protection for workers. But a new movement might change the landscape."
Aurialie Jublin

Trois leçons que les jeux vidéo peuvent donner en matière de télétravail | Le... - 0 views

    • Aurialie Jublin
       
      Leçon 1) "les raids" : avoir un objectif commun, ou "éviter la réunionite" Lorsqu'une entreprise veut animer une équipe virtuelle, elle doit absolument se rendre compte que la définition de son objectif doit précéder sa création !  Leçon 2) "Choisir sa guilde" : garantir la cohérence de l'équipe, ou "attacher de l'importance aux valeurs" Trop souvent, lorsqu'on met en place une équipe virtuelle, les valeurs partagées sont mises sur le côté. Penser que "l'avantage des équipes virtuelles est qu'elles ne doivent pas respecter les mêmes règles que les équipes classiques" est une énorme erreur.  Leçon 3) "In Real Life" : du rôle de l'empathie dans un groupe N'oubliez jamais l'adage : "on commence un job, on quitte une équipe". Et si on n'est pas attaché à l'équipe, on quitte d'autant plus facilement le job. Il faudra donc s'assurer que les individus créent des liens empathiques. Tout d'abord, veiller à ce que les outils de partage (par exemple le réseau d'entreprise) permettent de se créer une personnalité : une photo, un pseudonyme, et des informations personnelles… Ensuite, il ne faut pas hésiter à sortir du cadre imposé : donner quelques éléments sur "qui on est" permettent de dépasser le virtuel et de nous rendre humain. Enfin, il faut permettre à l'équipe d'interagir autant que possible d'une manière non verbale : par vidéo, in-real life, etc. Gérer votre équipe virtuelle comme vous géreriez une équipe classique, la technologie en plus !
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    "De plus en plus d'entreprises se posent la question du télétravail. Comment mettre en place des équipes virtuelles efficaces ? Quels sont les facteurs de succès ? Nous sommes confrontés à de nombreuses difficultés en la matière. Pourtant, il existe des communautés qui collaborent à distance avec succès depuis de nombreuses années et dont nous pourrions prendre exemple : celles du jeu vidéo."
abrugiere

Le CDI ne fait plus le bonheur | Le Cercle Les Echos - 2 views

  • Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l’aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie. En Italie, 50% des CDI sont interrompus au bout de deux ans. Pire, l’emploi salarié est trop souvent associé à de la souffrance au travail : cadences extrêmes, management par le stress, logique de résultats inatteignables.
  • Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l’économie exige prise d’initiative, agilité et adaptabilité. Il n’est plus demandé au salarié d’effectuer des tâches standardisées et répétitives, mais de mettre à la disposition de son employeur sa créativité, sa réactivité et sa personnalité. A l’heure du travail dématérialisé, le lien de subordination fait d’obéissance et de contrôles est devenu contre-productif et tend de plus en plus à être remplacé par du management collaboratif, où l’autonomie et la responsabilisation prévalent.
  • Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s’accompagne d’une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l’ancienneté.
  • ...4 more annotations...
  • L’essor de nouvelles formes de travail, telles que portage salarial, auto-entrepreneurs, groupements d’employeurs ou multi-activité, témoigne des mutations en cours et bouleverse la séparation stricte qui existait entre salariat et travail indépendant.
  • Cette nouvelle réalité du travail correspond aussi à la montée de l’individualisation de la relation d’emploi. Les gens ne veulent plus appartenir, ils veulent choisir. Le travailleur veut désormais consommer le travail comme il consomme biens et services.
  • Aujourd’hui, l’individu veut également pouvoir définir le cadre de sa relation d’emploi et personnaliser ses conditions de travail. A titre d’exemple, 52% des Français voudraient pouvoir travailler de chez eux et 68% des salariés à temps partiel déclarent avoir choisi ce mode de travail, le plus souvent pour concilier vie familiale et professionnelle.
  • Services publics de l’emploi, entreprises de travail temporaire, cabinets de recrutement, associations sociales... De nouveaux havres de stabilité sont nécessaires pour accompagner des travailleurs au parcours de plus en plus chaotique et un emploi fragmenté, individualisé et à la carte. Parions que l’avenir verra la résurgence des guildes professionnelles, à la fois garantes de la formation de leurs travailleurs, négociateurs de leurs conditions de travail, fournisseurs d’avantages sociaux et sources d’offres d’emploi.
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    "Et si le salariat n'était plus synonyme d'épanouissement au travail ? Cette question (tout comme le titre provocateur de cet article) vise à remettre en cause notre vision monolithique mais obsolète du marché du travail : seul le CDI à temps plein protège les travailleurs et leur apporte sécurité et stabilité professionnelles."
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    - Premièrement, le CDI ne protège plus les salariés : dans un environnement économique où la durée de vie des entreprises ne cesse de raccourcir (75 ans dans les années 1930, 15 ans à l'aube des années 2000), détenir un contrat permanent ne garantit plus un emploi à vie 2) Deuxièmement, la relation de subordination incarnée par le CDI ne correspond plus à notre système productif. En se tertiarisant, l'économie exige prise d'initiative, agilité et adaptabilité 3) Troisièmement, le salariat, conçu au départ comme un système de redistribution de revenus, de droits et protections, a perdu nombre de ses avantages : la hausse des cotisations sociales s'accompagne d'une baisse des prestations sociales (retraites, sécurité sociale, indemnités chômage). La répartition des profits se fait de plus en plus en faveur des actionnaires, au détriment des travailleurs. Les carrières ne sont plus ascensionnelles, la rémunération ne suit plus l'ancienneté.
Aurialie Jublin

Amazon, Uber: le travail en miettes et l'économie du partage des restes | Sla... - 1 views

  • Dans un contexte de pénurie d’emploi, les services qui permettent à des jeunes, des étudiants, des retraités, des femmes au foyer, des chômeurs de trouver un petit revenu peuvent constituer, faute de mieux, un rempart contre la pauvreté. Cette «fonction sociale» est d'ailleurs toujours mise en avant par ces entreprises de mise en relation entre offreurs et demandeurs. 
  • Au rayon des semi-bonnes nouvelles, l’entreprise Instacart, un service de shopping en ligne sur le modèle de la mise en relation d’un client et d’un «picker» qui fait les courses et les livre, vient d’annoncer que ses contractants indépendants seraient désormais salariés de l’entreprise: elle a invoqué pour expliquer sa décision le besoin de former et de superviser ces derniers, ce qui n’était pas compatible avec leur statut d’indépendants.
  • En revanche, on ne voit guère de propositions de rupture ni de résistance ferme face à ce système injuste qui accumule des fortunes colossales tout en imposant de nouvelles règles du jeu anti-sociales et irresponsables. Après le processus d’évolution historique vers une sécurité accrue des travailleurs, mouvement d’amélioration quasi-continu des conditions de travail et des rémunérations, le retournement serait en marche, nous faisant risquer collectivement de revenir à des régulations du travail régressives: travail à la tâche, «au jour la journée», avec quelques guildes de travailleurs en guise de contre-pouvoir et de force de négociation vis-à-vis des plateformes. Et on peine à voir ce qu'il y a de si enthousiasmant dans ce modèle.
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    "Attention à ne pas trop s'enflammer pour les nouvelles formes de micro-travail ou de travail semi-amateur qu'essaient de généraliser les entreprises du secteur numérique."
Aurialie Jublin

Hopwork, la start-up qui veut organiser la fin du travail salarié - 0 views

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    "Et si le statut de salarié devenu obsolète était remplacé par le travail indépendant auprès d'entreprises devenues des clientes? C'est ce que propose Hopwork, qui se défend d'organiser la précarité du travail."
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