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lucky semiosis

Gilles-Gaston Granger et la Critique de la Raison Symbolique - 6 views

  • « (...) à l'encontre de Peirce, ( ...) tous les signes ne peuvent fonctionner identiquement ni relever d'un système unique. On devra constituer plusieurs systèmes de signes, et entre ces systèmes, expliciter un rapport de différence et d'analogie ». Benveniste 1974 : 42
    • lucky semiosis
       
      l'interopérabilité entre les analogies ne pouvant se faire sans la construction d'un consensus ?
  • notre époque est en quête d'une grande philosophie du signe.
  • plutôt alors que de philosophie du langage, il faudrait parler sans doute de différents essais d'une philosophie, plus fondamentale et plus ample, des systèmes symboliques en général » (Granger 2004 : 64).
    • lucky semiosis
       
      les système symbolique sont le noeud gordien de l'information-communication
  • ...23 more annotations...
  • l'introducteur du « structuralisme » de type mathématique en sciences humaines, dont il signale toujours (dès le début) les limites et les échecs concernant les faits humains.
  • Puisque, pour Granger, la raison développe une activité sémiotique, au sens où la définition minimale de la pensée est celle d'une manipulation de signes (ou de symboles [8]), on peut considérer son oeuvre comme une critique de la raison symbolique au sens transcendantal du terme [9].
    • lucky semiosis
       
      // critique économie politique du signe de Baudrillard ????
  • Là où Kant, du fait du mutisme de la raison pure, se posait la question de l'homogénéité de l'objectivation scientifique à la perception naïve [13], Granger se pose le problème, renouvelé mais « symétrique » de « l'homogénéité structurale et fonctionnelle des langues naturelles et des « langues » scientifiques » [14].
    • lucky semiosis
       
      impossible d'homogénïser l'analogisme ???
  • « Si l'objet scientifique est très décidément à nos yeux en discontinuité radicale avec l'objet perçu, les langues plus ou moins formalisées de la science, encore que profondément distinctes des langues vernaculaires, n'en conservent pas moins certains traits essentiels. De sorte que la continuité entre la quasi-objectivation vécue, et l'objectivation scientifique de l'expérience -que nous récusons dans les termes kantiens- se trouverait paradoxalement restaurée sur une base nouvelle dans la perspective de la construction des systèmes d'expression, considérée comme constitutive et de l'une et de l'autre » (1968 : 113). Du coup, on comprend que toute l'épistémologie de Granger, et même sa philosophie de la raison, soit structurée par ce projet d'une comparaison des symbolismes formels et naturels.
    • lucky semiosis
       
      une autre façon de poser le problème de l'un (science univoque) et du multiple (nature analogique)
  • si le nombre des critères d'écart s'est accru, et si les définitions données par Granger sont de plus en plus fines, l'écart lui-même entre langue naturelle et systèmes formels n'a jamais été remis en question. Tout au plus peut-on dire que Granger a, un temps, pensé que le développement de la pensée formelle pourrait réduire cet écart [15], sans jamais cependant nourrir d'illusion quant à la capacité de la science moderne de le faire complètement disparaître [16].
    • lucky semiosis
       
      nécéssaires idées inadéquates...
  • le signe est caractérisé par sa fonction de renvoi, ou de représentation : « non pas seulement au sens trop étroit de figuration, mais en ce sens que le signe « tient lieu de », et rend possible des manipulations et des opérations effectuées en pensée qui seraient impraticables, le plus souvent, sur l'objet de son renvoi » (Granger 1996/2003 : 296). De plus, et selon une inspiration plus sausurrienne cette fois, le signe a une valeur différentielle , il « découpe » : « de tels signes n'ont de valeur que par la position qu'ils occupent dans ce qu'on pourrait appeler un espace d'information, un canevas de repérage, qui, plus ou moins clairement, introduit la discontinuité dans l'univers auquel il renvoie » (ibid). Enfin, le signe ne fonctionne que comme élément d'un système.
  • De fait, la première particularité de l'univers sémiotique, c'est sa diversité -il est bon de partir de ce fait trivial qu'il existe plusieurs systèmes de signes.
  • on peut distinguer deux voies de représentation symboliques profondément divergentes. La première est orientée vers la communication d'un contenu (une expérience actuelle, conservant les caractères du vécu concret auquel le signe fait référence) ; la seconde vers la création de forme, qui correspond à la formulation du générique et du virtuel (par opposition au concret). Alors que la « communication » insiste sur le rapport d'un émetteur à un récepteur de message, l'« expression » / la « symbolisation  » désigne « la création en symboles d'un objet de pensée ». Ces deux fonctions sont irréductibles l'une à l'autre, mais elles sont aussi inséparables [24] (au sens strict -il existe un sens faible).
    • lucky semiosis
       
      info com
  • Il existe en effet des systèmes de signes qui ne remplissent que la fonction de communication, sans expression symbolique, ou du moins où celle-ci joue un rôle secondaire : ce sont par exemple la communication animale, ou celles de certaines formes de communication affective. Il y a aussi, réciproquement, des systèmes dédiés à la seule expression, et où la communication est inexistante, ou à tout le moins secondaire [25] (les systèmes formels).
    • lucky semiosis
       
      double fonction des langages ordinaires
  • « Il semble que tout système symbolique puisse être situé par rapport aux deux pôles typiques que constituent les langues naturelles et les systèmes formels » [26].
  • les aspects pertinents des signes qui le composent y sont délimités sans équivoques (par exemple, la manière dont les chiffres sont écrits ne joue aucun rôle quant à leur sens en tant que signes de nombres). De cette stricte détermination, il résulte que la distinction entre diverses occurrences du même signe ne peut dépendre que de sa position dans le syntagme (et jamais de quelque singularité intrinsèque), et il suit que « sont neutralisés pour ces signes tous les éléments pragmatiques que leur usage effectif peut faire apparaître comme étant attachés à des aspects non pertinents de la matière de ces signes ». les signes du système formel sont construits à partir d'un ensemble fermé de signes élémentaires (ceux-ci sont donnés dans une liste close). la construction de signes complexes est subordonnée à des contraintes sur la concaténation des composants, lesquelles sont complètement explicitées dans le système (la thèse de Church-Türing sur la « calculabilité » exprime cette caractéristique)
  • une langue naturelle comporte toujours une superposition d'articulations, c'est-à-dire d'organisation de ses signifiants en systèmes symboliques plus simples, distincts, quoique éventuellement interférents. L'une de ces articulations est, au moins approximativement, un système formel (articulation phonologique, graphique pour les versions alphabétiques [28]). une langue naturelle utilise des ressources pragmatiques qui en font un moyen de communication complet. Ces ressources sont essentiellement des symboles d'« ancrage » (sorte d'arrimage de la langue à l'expérience, marqué par la présence, dans un énoncé, du sujet de l'énonciation) et des symboles à valeur illocutoire, c'est-à-dire ce qui, dans la langue, permet de donner à un énoncé des fonctions spécifiées de communication, ou de préciser les conditions de leur exercice (marques de modalisation, de performativité).
  • comme l'avait vu Tarski [32], au sens où elles servent souvent d'auxiliaire : « Que si le physicien ou le biologiste veulent décrire historiquement une expérience personnelle, ils ont alors recours au langage ordinaire qui leur sert éventuellement d'auxiliaire, comme il sert assez souvent au mathématicien pour commenter la sèche et rigoureuse exposition formelle des faits mathématiques » (1990b/2003 : 202).
  • Au niveau du logique, la pensée ne porte pas sur des objets, mais seulement sur ses propres opérations, contraintes par le principe de non-contradiction (1979 : 53 sq ; 1987/1994 : 61).
  • On est dès lors en mesure de comprendre pourquoi la langue naturelle peut être « théorisée » d'un point de vue logique, quoique toujours de façon incomplète (tel pourrait être le sens du parcours philosophique de Wittgenstein) : « Un système symbolique au sens le plus complet, comme la langue ordinaire, ne se réduit pas à un système formel, essentiellement gouverné par des conditions logiques, bien qu'il puisse être décrit comme tel à un certain niveau » (Granger 1989/1994 : 87-8).
  • En fait, le logique est l'aboutissement d'un parcours
    • lucky semiosis
       
      la logique est de l'ordre de la durée pas de l'instantanée. Il n'y a pas de logique intuitive ???
  • En fait, chaque grammaire applique ces conditions d'une manière ou d'une autre, de sorte que toute grammaire occupe nécessairement un ordre de généralité moindre que ces conditions. En ce sens strict, il n'y a donc pas de grammaire « universelle », même s'il peut exister des grammaires plus ou moins abstraites (pour des familles de langue, par exemple), comme Chomsky a pu le montrer [39].
  • Granger signale à bon droit le paralogisme consistant à réduire une relation symbolique (ternaire, définie par sa fonction de « renvoi ») à une relation causale (binaire) [40] : « Quel que soit le progrès des neurosciences, il me semble que leurs réponses laisseront toujours, en deçà, la question philosophique de la possibilité a priori du symbolisme » (1989/2003 : 89). Adressant à la « naturalisation » du symbolique une fin de non-recevoir, Granger cherche au contraire à donner à celui-ci une autonomie relative : le « problème général » qu'il se pose est « celui d'une délimitation des frontières du comportement symbolique (par exemple, par opposition à un comportement réflexe) » (ibid : 89) [41]. De fait, les conditions de possibilité du symbolisme en général [42] sont des conditions suffisantes, alors que les données neurophysiologique, simples matériaux empiriques, ne sont que des conditions nécessaires, dont l'identification est loin de pouvoir prétendre épuiser le problème du symbolique.
    • lucky semiosis
       
      la physicalité permet une vue causale pas symbolique ?
  • le coeur de la philosophie de Granger, et la condition de possibilité même du symbolisme : « Par l'exercice du principe de dualité, la saisie perceptive d'un phénomène se dédouble en acte de position d'objet et en un système d'opérations implicitement, et peut-être virtuellement, établi, dont l'objet est à la fois le support -en tant qu'indéterminé- et le produit -en tant que détermination d'une expérience. C'est ce dédoublement dual d'un moment objectal et d'un moment opératoire qui permet de donner à un fragment d'expérience le statut de signifiant. La corrélation à l'opératoire découpe dans le phénomène des éléments invariants, pertinents, et le renvoi au jeu réglé de l'opératoire est alors disponible pour l'assignation d'un sens » (Granger 1987/1994 : 57-8). Autrement dit : « (...) le trait caractéristique est la détermination de deux entités avec renversement des points de vue (...) Or, l'efficacité de toute pensée qui se déploie dans un système symbolique et vise à décrire un « monde » nous paraît reposer sur une telle dualité entre un système d'objets et un système d'opérations, qui se déterminent l'un l'autre. Dualité qui, plus ou moins parfaite, est du reste condition de possibilité même de toute pensée symbolique, dans la mesure où les symboles doivent cesser d'être adhérents aux impressions qui leur servent de support, et se prêter aux constructions d'une combinatoire » (1996/2003 : 302) [46]. Le dédoublement que rend possible la dualité, et qui rend possible le symbolisme, doit être pensé comme opposition d'une forme à un contenu [47] : « cette institution d'une opposition de forme à contenu est toujours, et à tous les degrés d'élaboration, le premier moment décisif de l'objectivation d'une expérience, de sa transposition dans un système symbolique » (1987/1994 : 59-60).
    • lucky semiosis
       
      une double arboressence indéfinie que l'être met en relation ???
  • « Un système symbolique au sens le plus complet, comme la langue ordinaire, ne se réduit pas à un système formel, essentiellement gouverné par des conditions logiques, bien qu'il puisse être décrit comme tel à un certain niveau » (1989/1994 : 87-88). Bref, l'analyse formelle du symbolisme naturel laisse un résidu, celui qu'une analyse esthétique tentera de saisir à un autre niveau : c'est le rôle de la célèbre approche stylistique que de tenter de saisir ce reste dans un ensemble de règles définies a posteriori (« ex post », aime à dire Granger).
  • La seconde erreur est symétrique de la première, et consiste à donner à tous les symbolismes les propriétés spécifiques du symbolisme naturel : « On voudrait pour finir dénoncer une illusion qu'il est du ressort du philosophe de mettre en lumière. Illusion qui a surtout pris de l'essor dans les années 60. Elle consiste à postuler que tous les sytèmes symboliques ont la même structure qu'une langue naturelle. Comme tout fait humain comporte un aspect symbolique essentiel, il en résulterait une sorte d'alignement des sciences humaines sur la linguistique, et une reconstruction abusive des objets de la sociologie, de la psychologie, voire de l'économie sur le modèle de l'objet linguistique. L'idée partait d'une conception juste de la spécificité du fait humain, en tant que fondamentalement symbolique ; elle devenait stérilisante et dogmatique en réduisant au langage naturel les formes multiples de la symbolisation » (Granger 1991 : 246). Granger dénonce notamment ce glissement dans le Système de la mode de Barthes où le système des vêtements est étudié comme fragment d'un copus linguistique (Granger 1971/2003 : 109). C'est pour combattre une telle tendance qu'il utilise souvent les guillemets pour parler du « langage » mathématique (Granger 1996/2003 : 314).
    • lucky semiosis
       
      le symbolisme n'est pas uniquement naturel
  • Granger reconnaît en effet un certain privilège au symbolisme naturel : « Il y a une pluralité de types de symbolisation, et la philosophie -en particulier la philosophie des sciences- doit justement tenter de les reconnaître, de les décrire et de les mettre en forme, en ce qu'ils ont de commun, certes, mais aussi dans leur singularité. Toutefois il est bien vrai -et c'est là sans doute l'origine radicale de telles erreurs- que les langues naturelles constituent des systèmes symboliques absolument privilégiés, « métalangages universels » en ce que seuls ils permettent de décrire toute autre espèce de symbolisme. Leur richesse est la contre-partie de l'indétermination et de l'irrégularité de leurs usages qui les opposent aux systèmes formels » (Granger 1991 : 246).
    • lucky semiosis
       
      les langues naturelles sont indispensable aux humains...
  • si l'homme est un animal symbolique au sens le plus large du terme, c'est en effet fondamentalement parce que, avant d'être un animal « politique » ou « raisonnable », l'homme est un animal linguistique, doué de logos.
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Typologie des structures du signe : le signe selon le Groupe μ - 0 views

  • Termes du triangle sémiotiqueQuelques commentaires d'Eco sur la profusion terminologique autour du triangle sémiotique : « Quelqu'un va même jusqu'à nommer “ signifié ” ce que nous avons appelé référent, et “ sens ” ce que nous avons appelé “ signifié ”. Et, par exemple, la Bedeutung de Frege a pu être traduite par ” signifié ” ou “ meaning ” chez l'un et par “ référence ” chez l'autre17. » Parfois, les divergences terminologiques occultent une convergence théorique ; parfois, elles redoublent et illustrent des dissensions profondes. Parfois, une même dénomination recouvre des termes différents. C’est le cas du signifié, souvent conçu en réalité comme un concept, en contradiction comme nous l’avons vu avec les positions de Saussure, l’inventeur de cette dénomination.
    • lucky semiosis
       
      définition du signe
  • La tripartition de Rastier donne une sphère autonome et médiatrice au sémiotique et donc notamment au signe. La bipartition en sphères physique (ou sensible) et cognitive (ou intelligible) nous apparaît réserver au sémiotique et au signe trois principaux traitements concurrents. (1) Les « signifiants » (en fait les stimuli) appartiennent à la sphère physique et les « signifiés » (en fait les concepts), à la sphère cognitive.
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      modèle triadique de la connaissance
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Le jeu de l'intelligence collective - Cairn.info - 11 views

  • En somme, le processus d’évolution culturelle consiste essentiellement en une sélection mutuelle des deux « moitiés » symbiotiques (ou symboliques): écologies d’idées et populations humaines, sans point fixe ou terme causal absolu.
    • lucky semiosis
       
      // tendance leroi-gourhan
  • les idées qui n’ont aucune retombée coopérative positive ne sont pas « viables »
  • Les processus de mutation, reproduction et sélection d’idées, comme l’influence qu’ils ont en retour sur les populations qui les abritent, obéissent évidemment à des rythmes et à des durées multiples et complexes. Ils sont également très dépendants des contextes historiques et géographiques.
  • ...22 more annotations...
  • Une idée n’est pas bonne ou mauvais « en elle-même ». Mais dans les circonstances où elle intervient, elle favorise ou défavorise la culture qui l’abrite en fonction de la situation particulière d’un système écologique complexe et ultrasensible.
  • cultiver délibérément les écosystèmes d’idées de telle sorte qu’ils évoluent dans le sens d’un accroissement de l’intelligence collective, et donc de la santé, de la prospérité économique et de la richesse culturelle des communautés qui les soignent, les élèvent et les sélectionnent
  • moins coûteuse pour les populations humaines
  • défi de la gestion délibérée des connaissances et de leur évolution
  • une démarche délibérée d’intelligence collective consiste, pour une communauté, à « cultiver » de manière optimale l’écologie d’idées avec laquelle elle vit en symbiose et à orienter judicieusement son évolution
  • les œuvres dont la matière même est numérique (musique, images, textes, mondes simulés…) sont en principe virtuellement omniprésentes sur Internet
  • D’une part, la circulation des nouvelles idées est beaucoup plus rapide ; d’autre part, leur évaluation a posteriori par la citation, le commentaire et la référence se fait également plus vite.
  • implémenté sous forme d’un logiciel de « jeu » à sources ouvertes par un réseau international de chercheurs
  • Pour faire de l’intelligence collective un bon objet de connaissance, il semble utile de la rendre visible par des images symboliques.
    • lucky semiosis
       
      clairement le symbole est ce qu'on échange
  • C’est donc tout naturellement que l’on doit envisager la conception de logiciels calculant – à partir de flux de données empiriques provenant des communautés réelles – des représentations visuelles de l’intelligence collective, de ses conditions de développement et de son environnement.
  • paysage de problèmes
  • La construction et la mise à disposition gratuite sur Internet du JIC veut contribuer à une meilleure « connaissance de soi » des communautés qui désirent s’engager dans l’aventure de l’autotransformation cognitive.
  • un instrument de simulation des écologies d’idées (ou des économies cognitives)
  • Cette dimension du modèle de l’intelligence collective peut être considérée comme une proposition de cartographie rationnelle de l’espace sémantique.
  • ces principes de cartographie ne peuvent être que conventionnels et non pas absolus
  • la syntaxe du jeu de l’intelligence collective n’est pas complètement indépendante du sens des symboles qu’elle régit, ni des actes accomplis en contexte au moyen de ces symboles : au contraire, elle établit l’interface entre ces deux domaines.
  • La syntaxe du jeu concerne en effet l’algorithme associé à chaque idéogramme, algorithme qui spécifie ses interactions avec les autres idéogrammes et qui exécute effectivement sur eux des opérations analogues à celles que les idées qu’il représente exerceraient sur leurs cibles dans de véritables écosystèmes d’idées.
  • Si certains pôles sont très spécialisés ou d’autres peu développés, une bonne santé de l’intelligence collective exige que ceci soit compensé par des échanges avec d’autres communautés, de telle sorte qu’aucun des pôles ne se trouve à court de ressources.
  • La fonction de représentation est portée par le signifiant pour la linguistique, les scolastiques médiévaux parlaient de vox tandis que pour C. S. Pierce, il s’agissait de la fondation du signe. Dans mon propre vocabulaire théorique, j’appelle le support de la représentation un « signe » (représenté par un pi dans le schéma ci-dessous).La fonction de référence est portée par le référent (c’est-à-dire la chose désignée par le signe) pour la linguistique, les scolastiques appelaient le référent res tandis que C. S. Pierce l’appelait objet. Ici, j’appellerai « chose » le support de la référence (représenté par un cube dans le schéma ci-dessous).La fonction de conception, finalement, est portée par le signifié pour la linguistique, un signifié que les scolastiques appelaient conceptus et C. S. Pierce interprétant (afin de bien marquer l’opération active d’interprétation qui consiste à relier un signe à d’autres signes et à un référent). Pour ma part, je nomme ce troisième terme « être » (représenté par un bonhomme dans le schéma ci-dessous) car un esprit quelconque doit relier le signe à la chose ; sinon, aucune signification n’a lieu.
  • Aucun archétype n’est un principe absolu et ils doivent coopérer et s’impliquer réciproquement pour permettre le déploiement de l’intelligence collective.
  • fonction d’alimentation (l’énergie cognitive pourrait se mesurer en « quantité d’attention »);fonction de reproduction (réplication et mutation des représentations et des idées);fonction de communication (établissement et entretien des liens entre idées).
  • Notre Jeu utilise une méthode de cartographie sémantique propre à situer les idées et connaissances sur un espace anthropologique universel.
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La question du genre comme nœud de relations sémantiques - 1 views

  • Cette représentation par groupes de signes, [-,+], [+, -], [-,-], [+,+], n’est d’ailleurs pas sans faire penser à la logique chinoise du Yin et du Yang dont le Tao constitue le tiers terme48 ; si ceux-ci constituent deux pôles antithétiques d’extrémité, par contre, on peut les digitaliser au moyen des signes + et - comme dans les hexagrammes du Yi king dont la saturation des combinaisons engendre le cercle gradué de leurs dispositions. Nous avons une modulation permanente que l’on peut représenter par un entrelacs autour d’un cercle. La logique de ces signes discrétisables exprime ainsi, à la fois, un équilibre compensatoire dans leur alternance et un déséquilibre lorsqu’une des parties supplante entièrement l’autre.
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      pour une décomposition sémiotique du Yi King
  • le principe tectonique de revêtement en tant que surface
  • Ainsi, comme nous l’avons souligné, l’ensemble de ces corrélations est distinct des morphologies relevant de chacun de ces domaines; nous devrions ainsi intituler chaque type de relation reconfigurative une « typification » de la relation. Par exemple, nous pouvons en définir cinq modes principaux :-i- Relation technomorphe (assimilation d'un corps à un appareil, artefact ou machine ; pensons par exemple aux peintures métaphysiques de De Chirico)-ii- Relation phytomorphe (assimilation d'un corps à une forme florale ou arborescente, transformant celui-ci en ornement comme dans l’Art Nouveau)-iii- Relation zoomorphe (assimilation d'un corps à une forme animale comme dans le cas des masques, des heaumes guerriers)-iv- Relation cosmomorphe (assimilation d'un corps à un relief montagneux, Cf. pyramides égyptiennes, ou à la voûte céleste, Cf. architectures fantastiques comme dans le cas du Cénotaphe de Newton par Boullée, reproduit en (16) infra).-v- Relation anthropomorphe (assimilation d’un solide à celui du corps humain comme dans le cas du symbole de l’architecture religieuse selon Francesco di Giorgio ; plus banalement, c'est l'assimilation visage = façade, corps global = système de proportions chez Vinci, Dürer, etc.,
  • ...7 more annotations...
  • Bref, la diglossie est ce pouvoir de découpage (par scissiparité) de la langue, ce « trésor commun » -comme disait Saussure98- offrant une multiplicité possible de sociolectes distincts. En tant que symbolique, elle est donc à la fois ce qui rassemble et ce qui disperse (sumbolon, diabolon).
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      limite et potentialité
  • La formule allégorique (Cf. inversement : parodique) exprime ainsi un niveau de signification générale qui coiffe un ensemble d'expressions sous-jacentes ; ce que l'on a appelé dans l'esthétique du Moyen Âge un sens allégorique qui dépassait un sens littéral et un sens figuré (le recours aux tropes littéraires). Dans des termes sémiotiques contemporains, on peut parler de « connotations » à vocation idéologique comme remplissant cette même fonction suturante en tant que méta-nomination102.
  • La chôra est un milieu (comme on parle d'un « milieu aquatique » ou d'un « milieu végétal ») formé de substances cosmiques : l’eau, l’air, le feu, la terre, et en ce sens, elle est la matrice d’une création de nouveaux matériaux composés de ces substances.
  • il est nécessaire d'avoir une structure d'encadrement comme support des relations entre un « dedans » (qu'on alimente) et un « dehors » comme provenance des ingrédients, la relation entre ces deux expressions renvoyant à des opérations d'import-export (c'est le sens « alimentaire », « nourrissier » de la chôra, op. cit. p. 198). Or cette structure d'encadrement peut être figurée par notre dispositif (générique) à huit termes qui fonctionne à la manière d'une « chambre d'écho » en tant que structure de mises en relations —« chambre d'écho » en ce qu'elle se prête à une multiplicité de types de relations.
  • elle est assimilée à un « territoire » (idem, p. 200) non pas tant comme marqueterie de lieux connexes que comme surface haillonnée (à la fois pleine et trouée) par où transitent les forces liant un Haut et un Bas cosmiques (en tant que gouffre, caverne). D’ailleurs, ce terme de « surface » est problématique puisqu’on ne précise pas son mode de formation géométrique ; il faudrait davantage parler de « nappe » ou de « texture » à la manière d’un tissu fait par l’entrecroisement de la chaîne et de la trame, la navette du métier à tisser les configurant dans son mouvement incessant de va-et-vient. Ainsi la chôra n'est pas tant un lieu stable (frontières et reliefs) qu’un mi-lieu de passage incessant (un transit permanent), d’un lieu à un autre (déplacement), d’un état à un autre (métamorphose), nappe équivalente à ce que G. Semper appelait un revêtement (Bekleidung)113 tel que la peau ou le vêtement pour le corps humain ou tels que les phénomènes atmosphériques et célestes pour le cosmos (interprété au sens cosmétique de la parure).
  • la chôra n’est pas une totalisation, n’est pas une sériation énumératrice mais un milieu (cosmique, organique, sociologique) et ce milieu constitue le point d’équilibre entre un ordre (exprimé par des régulations de type endo- et exo-) et un désordre. C’est à ce titre qu’elle participe du hasard en tant que stochasticité donnant, d’une part, des mélanges (hétérogénéités relatives) et de l’autre des séries aléatoires comme au jeu.
  • En termes de re-présentation esthétique (Cf. (17) supra), la chôra serait du côté de l’assemblage comme art du patchwork, comme collage dont on sait que le principe est entre une forme minimale de mise en ordre et un aléa ouvert sur le monde (le hasard objectif des surréalistes). C’est pourquoi, la chôra peut être assimilée à un « être du rêve » amalgamant faits de mémoire et signes erratiques (puisque sa logique est fondamentalement disparate)115.
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La voix de Gilles Deleuze - 0 views

  • le signe est toujours, on dira en langage logique savant, le signe est toujours équivoque. Il y a une équivocité du signe. C’est à dire, le signe signifie mais il signifie en plusieurs sens. L’expression, par opposition, là, l’expression, elle est uniquement et complètement univoque. C’est le sens, il n’y a qu’un seul sens de l’expression, c’est le sens suivant lequel les rapports se composent.
    • lucky semiosis
       
      exprimer c'est faire le circuit informationnel qui part des parties extensives, passe par les rapports, résonne dans l'intériorité des essences, puis formalise de nouveaux rapports avec les parties extensives...
  • C’est dans la mesure, où nous percevons une loi que nous ne comprenons pas, que nous l’appréhendons comme un ordre.
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Symbole - Wikipédia - 4 views

  • le symbole repose sur un lien intérieur
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      IN->OUT
  • une fusion des deux faces
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      la rencontre de deux bulles
  • David Hume a listé les associations d'idées : "Il n'y a que trois principes de connexion entre les idées : la ressemblance, la contiguïté dans le temps et dans l'espace, la causalité.
    • lucky semiosis
       
      idée à creuser...
  • ...3 more annotations...
  • Charles Pierce, en logicien, prend le mot "symbole" au sens de signe conventionnel
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      définition
  • Frege distinguait le sens d'un signe de la représentation qu'il évoque : le sens est objectif et invariable, la représentation est subjective et fluctuante d'un individu à l'autre.
    • lucky semiosis
       
      <> IEML ?
  • le symbole devient l'ensemble qui lie deux représentations de la même signification
    • lucky semiosis
       
      dimension hypertextuelle
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Faire avec le faire communicationnel : les prétentions de la sémiotique face ... - 0 views

  • Nommer l’inscription, c’est évoquer l’univers symbolique de l’écriture, mais autoriser aussi une explication du social en termes de fixation matérielle des rapports de pouvoir.
    • lucky semiosis
       
      mais comme le Tao, nommer n'est pas exister...
  • Car si les livres, les plans de classement, les cartes, l’énonciation du travail documentaire, ne sont pas seulement les objets d’un transport logistique, mais les médiations d’une activité interprétative, ils ne peuvent être mis en chaîne et rien de ce qui est mobile n’est vraiment immuable.
  • Ils sont à la recherche d’une jointure souple entre l’ordre des livres et la culture pratique du lire.
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  • La sémiotique, au terme de l’extension universelle de sa saisie, aurait perdu toute visée propre. En effet, si l’ensemble des cultures se laissait analyser comme un parcours sémiotique, c’est la nature même du geste d’instauration de la fonction sémiotique, par les sujets sociaux eux-mêmes, qui deviendrait impossible.
  • comprendre dans quelles conditions les sujets sociaux instituent la dimension signifiante du monde et comment ils donnent forme à ce geste par des procédures et des objets.
  • la trace est bien un opérateur du rapport entre objets sémiotiques et pratiques, mais son interprétation est extrêmement complexe et ses niveaux de signification sont d’une richesse extrême, comme l’a montré de longue date la génétique matérielle des textes (Rey 1996).
  • Dans les usages où elle est censée permettre de traverser l’espace sémiotique pour rejoindre l’espace pratique, le terme «&nbsp;trace&nbsp;» est une expression vulgarisée de l’indicialité, entendue, selon une conception simplifiée, comme ce qui réunit l’expression du signe à son objet sur le mode de la causalité.
  • Dans une perspective communicationnelle, on peut ainsi analyser la façon dont la trace graphique se laisse représenter et mobiliser effectivement par le corps dessinant dans les dispositifs informatiques (Quinton 2002)&nbsp;; on peut décrire la manière dont les objets d’écriture et de lecture cadrent les conditions d’appropriation du texte (Souchier 1997&nbsp;; Jacob 2002)&nbsp;; on peut inventorier les modalités de textualisation d’un ensemble de pratiques, interpersonnelles (Després-Lonnet et al. 2003) ou professionnelles (Cotte et al. 2007) et comprendre la façon dont cette écriture des pratiques ouvre de nouveaux espaces de pratique&nbsp;; on peut identifier les espaces d’écriture, de réécriture et de manipulation des textes que permettent les écrits de réseau pour assurer une médiation d’usages, entre usages effectifs enregistrés et usages programmés dans le texte (Davallon et al. 2003).
  • On doit aussi admettre, me semble-t-il, que l’analyse sémiotique du logiciel peut montrer avec quelle précision une scénographie de la situation de communication est impliquée par le dispositif d’écriture et décrire les formes de représentation que l’écriture impose à ce modèle, mais qu’elle ne peut procéder à une modélisation des pratiques elles-mêmes, que seule une observation de type ethnographique extrêmement attentive révèle dans leur divergence, leurs contradictions et leur complexité.
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      la logique n'est pas tout...
  • Le problème prend cependant une tout autre tournure si, au lieu de considérer l'essence des choses comme établie depuis le début, on voit en elle en quelque sorte le point de mire infiniment éloigné auquel tendent l'entendement et tout l'effort de recherche.
    • lucky semiosis
       
      à la recherche infinie de mon intériorité...
  • La forme symbolique joue bien plutôt le rôle de ce «&nbsp;centre qui est partout et la circonférence nulle part&nbsp;», selon le mot de Pascal, dans la mesure où elle a ceci de particulier de faire à la fois partie de l'environnement (et relève de ce fait de la question quid facti &nbsp;?) et d'être le moyen grâce auquel on peut porter un jugement sur cet environnement (et relève de ce fait de la question quid juris&nbsp;?), fait et moyen cohabitant dans des phases successives ou des couches de l'appréhension progressive de la forme.
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      la forme symbolique entre éternité et immortalité
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      la métaphore comme potentialité de transformation de la matière en sens
  • La métaphore a deux acceptions chez Cassirer, généralement imbriquées l'une dans l'autre&nbsp;: une acception qui désigne l'investissement du sens dans un support matériel (c'est ce que Cassirer appelle la «&nbsp;métaphore fondamentale&nbsp;» à la fin de Langage et Mythe et que Freud, dès 1899, avait décrit comme «&nbsp;l'énigme de l'hystérie de conversion&nbsp;» qui fait passer un sens dans le corporel) et une acception plus classique, qui désigne simplement l'activité de transfert du sens d'un domaine vers un autre (dans l'exemple de Cassirer, la danse «&nbsp;vicariante&nbsp;» des femmes pour la victoire des hommes et qui relève du principe métonymique de la partie pour le tout) et qui reste toujours active dans l'expression mythique, qu'elle soit linguistique ou rituelle.
    • lucky semiosis
       
      le symbole serait fondamentalement métaphorique ?
  • «&nbsp;Toute théorie qui vise à expliquer le monde trouve sur sa route dès son apparition une autre force spirituelle, celle du mythe. Pour se défendre vigoureusement contre elle, la philosophie et la science doivent non seulement remplacer dans le détail les explications mythiques par d'autres explications, mais encore contester et condamner dans sa totalité la conception mythique de l'être et de l'événement. Elles doivent attaquer le mythe à sa racine et non seulement dans ses figures et dans ses formes. Et cette racine n'est rien d'autre que la perception de l'expression. Le primat de celle-ci sur la perception des choses est la caractéristique proprement dite de la vision mythique du monde. Il n'y a pas encore pour elle de «&nbsp;monde des faits&nbsp;» rigoureusement défini et distinct, car il lui manque encore ces unités constantes que toute connaissance théorique vise à obtenir en premier lieu.&nbsp;»
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  • Que sont les formes symboliques&nbsp;? Ce sont des formes médiatrices stabilisées qui émergent de structures socialisées d'interaction collective (institutions et techniques, ritualisations et sémiotiques) et qui contraignent en retour les protagonistes humains, conçus comme des agents cognitifs d'emblée en interaction. De ce point de vue, les formes symboliques orientent les grandes directions de l'agir humain en général comme des anticipations de la forme de toute interaction possible.
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