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lucky semiosis

La voix de Gilles Deleuze - 3 views

  • Donc les trois dimensions,   c’est les parties extensives exterieures les unes aux autres qui m’appartiennent,   les rapports sous lesquels ces parties m’appartiennent,   et l’essence comme degré, gradus ou modus, l’essence singulière qui s’exprime dans ces rapports.
    • lucky semiosis
       
      trois dimensions de l'existence
  • La connaissance du second genre, c’est la connaissance des rapports. De leur composition et de leur décomposition.
  • Le troisième genre de connaissance ou la connaissance intuitive, c’est quoi ? ça dépasse les rapports et leur composition et leur décomposition. C’est la connaissance des essences. Ca va plus loin que les rapports, puisque ça atteint l’essence qui s’exprime dans les rapports, l’essence dont les rapports dépendent.
  • ...7 more annotations...
  • mon projet, ce serait de faire une éthique qui serait comme le correlat d’une ontologie
  • Il faudrait dire, les mathématiques, c’est la théorie formelle du second genre de connaissance et pas le second genre de connaissance.
    • lucky semiosis
       
      la connaissance ne se réduit pas à la forme
  • Mais penser que le second genre soit un type de connaissance mathématique, c’est une bêtise abominable puisqu’à ce moment là, tout Spinoza devient abstrait.
  • Barboter c’est tout simple, ça indique bien, on voit bien que c’est des rapports extrinsèques. Tantôt la vague me gifle, et tantôt elle m’emporte. Ca c’est des effets de choc. C’est des effets de choc, à savoir, je ne connais rien aux rapports qui se composent ou qui se décomposent, je reçoit les effets de parties extrinsèques. Les parties qui m’appartiennent à moi, sont secouées, recoivent un effet de choc des parties qui appartiennent à la vague.
  • Ca veut dire que mes rapports caractéristiques je sais les composer directement avec les rapports de la vague. ça se passe plus entre la vague et moi, c’est à dire ça se passe plus entre les parties extensives, les parties mouillées de la vague, et les parties de mon corps, ça se passe entre les rapports. Les rapports qui composent la vague, bon, les rapports qui composent mon corps, et mon habileté, lorsque je sais nager, à présenter mon corps sous des rapports qui se composent directement avec les rapports de la vague.
  • Voilà exactement le problème : chaque individu a les trois dimensions à la fois, et pourtant il y a des individus qui ne sortiront jamais du premier genre de connaissance. Ils n’arriveront pas à s’élever au deuxième ou au troisième. Ils n’arriveront jamais à former ce que Spinoza appelle une "notion commune", une notion commune étant précisément je vous le rappelle "l’idée d’un rapport". L’idée d’un rapport caractéristique. A plus forte raison, ils n’auront jamais une connaissance de leur essence singulière, ni des autres essences singulières.
  • "Nous expérimentons, nous sentons et nous expérimentons - il ne dit pas : nous pensons - c’est des mots très chargés : sentir et expérimenter - que nous sommes éternels."
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Le jeu de l'intelligence collective - Cairn.info - 11 views

  • En somme, le processus d’évolution culturelle consiste essentiellement en une sélection mutuelle des deux « moitiés » symbiotiques (ou symboliques): écologies d’idées et populations humaines, sans point fixe ou terme causal absolu.
    • lucky semiosis
       
      // tendance leroi-gourhan
  • les idées qui n’ont aucune retombée coopérative positive ne sont pas « viables »
  • Les processus de mutation, reproduction et sélection d’idées, comme l’influence qu’ils ont en retour sur les populations qui les abritent, obéissent évidemment à des rythmes et à des durées multiples et complexes. Ils sont également très dépendants des contextes historiques et géographiques.
  • ...22 more annotations...
  • Une idée n’est pas bonne ou mauvais « en elle-même ». Mais dans les circonstances où elle intervient, elle favorise ou défavorise la culture qui l’abrite en fonction de la situation particulière d’un système écologique complexe et ultrasensible.
  • cultiver délibérément les écosystèmes d’idées de telle sorte qu’ils évoluent dans le sens d’un accroissement de l’intelligence collective, et donc de la santé, de la prospérité économique et de la richesse culturelle des communautés qui les soignent, les élèvent et les sélectionnent
  • moins coûteuse pour les populations humaines
  • défi de la gestion délibérée des connaissances et de leur évolution
  • une démarche délibérée d’intelligence collective consiste, pour une communauté, à « cultiver » de manière optimale l’écologie d’idées avec laquelle elle vit en symbiose et à orienter judicieusement son évolution
  • les œuvres dont la matière même est numérique (musique, images, textes, mondes simulés…) sont en principe virtuellement omniprésentes sur Internet
  • D’une part, la circulation des nouvelles idées est beaucoup plus rapide ; d’autre part, leur évaluation a posteriori par la citation, le commentaire et la référence se fait également plus vite.
  • implémenté sous forme d’un logiciel de « jeu » à sources ouvertes par un réseau international de chercheurs
  • Pour faire de l’intelligence collective un bon objet de connaissance, il semble utile de la rendre visible par des images symboliques.
    • lucky semiosis
       
      clairement le symbole est ce qu'on échange
  • C’est donc tout naturellement que l’on doit envisager la conception de logiciels calculant – à partir de flux de données empiriques provenant des communautés réelles – des représentations visuelles de l’intelligence collective, de ses conditions de développement et de son environnement.
  • paysage de problèmes
  • La construction et la mise à disposition gratuite sur Internet du JIC veut contribuer à une meilleure « connaissance de soi » des communautés qui désirent s’engager dans l’aventure de l’autotransformation cognitive.
  • un instrument de simulation des écologies d’idées (ou des économies cognitives)
  • Cette dimension du modèle de l’intelligence collective peut être considérée comme une proposition de cartographie rationnelle de l’espace sémantique.
  • ces principes de cartographie ne peuvent être que conventionnels et non pas absolus
  • la syntaxe du jeu de l’intelligence collective n’est pas complètement indépendante du sens des symboles qu’elle régit, ni des actes accomplis en contexte au moyen de ces symboles : au contraire, elle établit l’interface entre ces deux domaines.
  • La syntaxe du jeu concerne en effet l’algorithme associé à chaque idéogramme, algorithme qui spécifie ses interactions avec les autres idéogrammes et qui exécute effectivement sur eux des opérations analogues à celles que les idées qu’il représente exerceraient sur leurs cibles dans de véritables écosystèmes d’idées.
  • Si certains pôles sont très spécialisés ou d’autres peu développés, une bonne santé de l’intelligence collective exige que ceci soit compensé par des échanges avec d’autres communautés, de telle sorte qu’aucun des pôles ne se trouve à court de ressources.
  • La fonction de représentation est portée par le signifiant pour la linguistique, les scolastiques médiévaux parlaient de vox tandis que pour C. S. Pierce, il s’agissait de la fondation du signe. Dans mon propre vocabulaire théorique, j’appelle le support de la représentation un « signe » (représenté par un pi dans le schéma ci-dessous).La fonction de référence est portée par le référent (c’est-à-dire la chose désignée par le signe) pour la linguistique, les scolastiques appelaient le référent res tandis que C. S. Pierce l’appelait objet. Ici, j’appellerai « chose » le support de la référence (représenté par un cube dans le schéma ci-dessous).La fonction de conception, finalement, est portée par le signifié pour la linguistique, un signifié que les scolastiques appelaient conceptus et C. S. Pierce interprétant (afin de bien marquer l’opération active d’interprétation qui consiste à relier un signe à d’autres signes et à un référent). Pour ma part, je nomme ce troisième terme « être » (représenté par un bonhomme dans le schéma ci-dessous) car un esprit quelconque doit relier le signe à la chose ; sinon, aucune signification n’a lieu.
  • Aucun archétype n’est un principe absolu et ils doivent coopérer et s’impliquer réciproquement pour permettre le déploiement de l’intelligence collective.
  • fonction d’alimentation (l’énergie cognitive pourrait se mesurer en « quantité d’attention »);fonction de reproduction (réplication et mutation des représentations et des idées);fonction de communication (établissement et entretien des liens entre idées).
  • Notre Jeu utilise une méthode de cartographie sémantique propre à situer les idées et connaissances sur un espace anthropologique universel.
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Sciences des données : de l... - Sciences des données : de l... - Serge Abite... - 0 views

  • Une donnée est une description élémentaire, typiquement numérique pour nous, d’une réalité. C’est par exemple une observation ou une mesure. À partir de données collectées, de l’information est obtenue en organisant ces données, en les structurant pour en dégager du sens. En comprenant le sens de l’information, nous aboutissons à des connaissances, c’est-à-dire à des « faits » considérés comme vrais dans l’univers d’un locuteur, et à des « lois » (des règles logiques) de cet univers.
    • lucky semiosis
       
      trois genres d'existences pour trois niveaux de connaissance
  • Ces informations muent en connaissances quand nous les introduisons dans un univers logique.
  • À mon avis, il importe peu de comprendre les détails du fonctionnement très complexe d’un processeur ou d’une carte graphique. Il est par contre essentiel de maîtriser les bases de l’algorithmique et de sa mécanique du raisonnement.
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  • Nous créons chaque année plus d’information que nous ne pouvons en stocker. Dans cette débauche d’information, deux problèmes surgissent : Où trouver la bonne information dans cette masse ? Comment choisir ce que l’on veut conserver ?
  • Logic is the beginning of wisdom, not the end9.Mr. Spock, Star Trek.
  • Codd a démontré le théorème suivant : Une question est exprimable en calcul relationnel si et seulement si elle peut être évaluée avec une expression de l’algèbre relationnelle, et il est simple de transformer une requête du calcul en une expression algébrique qui évalue cette requête.
  • Depuis Gödel, nous savons qu’il est des propositions qui ne peuvent être ni démontrées ni réfutées, qu’il est des problèmes qui ne peuvent être résolus. Cette notion d’indécidabilité commence péniblement à arriver jusqu’au grand public.
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Le parcours de Cassirer : de l'épistémologie néo-kantienne à une théorie sémi... - 0 views

  • Car si l'on est persuadé que le concept logique est la condition nécessaire et suffisante de la connaissance de l'essence des choses, tout ce qui se distingue spécifiquement de lui, sans atteindre à sa clarté ou à sa précision, n'est en fin de compte qu'un simulacre privé d'essence.
    • lucky semiosis
       
      la logique n'est pas tout...
  • Le problème prend cependant une tout autre tournure si, au lieu de considérer l'essence des choses comme établie depuis le début, on voit en elle en quelque sorte le point de mire infiniment éloigné auquel tendent l'entendement et tout l'effort de recherche.
    • lucky semiosis
       
      à la recherche infinie de mon intériorité...
  • La forme symbolique joue bien plutôt le rôle de ce « centre qui est partout et la circonférence nulle part », selon le mot de Pascal, dans la mesure où elle a ceci de particulier de faire à la fois partie de l'environnement (et relève de ce fait de la question quid facti  ?) et d'être le moyen grâce auquel on peut porter un jugement sur cet environnement (et relève de ce fait de la question quid juris ?), fait et moyen cohabitant dans des phases successives ou des couches de l'appréhension progressive de la forme.
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      la forme symbolique entre éternité et immortalité
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  • L'existence même du mythico-linguistico-rituel montre ainsi comment un support matériel peut se trouver complètement investi par l'activité porteuse de sens puisque la matérialité du support s'efface à peu près entièrement derrière l'expression de ce sens : l'aspect métaphorique de l'activité sémiotique en découle car la métaphore est précisément cette trajectoire du sens à travers des supports divers et, dans le cas du linguistique, à travers des domaines sémantiques variés.
    • lucky semiosis
       
      la métaphore comme potentialité de transformation de la matière en sens
  • La métaphore a deux acceptions chez Cassirer, généralement imbriquées l'une dans l'autre : une acception qui désigne l'investissement du sens dans un support matériel (c'est ce que Cassirer appelle la « métaphore fondamentale » à la fin de Langage et Mythe et que Freud, dès 1899, avait décrit comme « l'énigme de l'hystérie de conversion » qui fait passer un sens dans le corporel) et une acception plus classique, qui désigne simplement l'activité de transfert du sens d'un domaine vers un autre (dans l'exemple de Cassirer, la danse « vicariante » des femmes pour la victoire des hommes et qui relève du principe métonymique de la partie pour le tout) et qui reste toujours active dans l'expression mythique, qu'elle soit linguistique ou rituelle.
    • lucky semiosis
       
      le symbole serait fondamentalement métaphorique ?
  • « Toute théorie qui vise à expliquer le monde trouve sur sa route dès son apparition une autre force spirituelle, celle du mythe. Pour se défendre vigoureusement contre elle, la philosophie et la science doivent non seulement remplacer dans le détail les explications mythiques par d'autres explications, mais encore contester et condamner dans sa totalité la conception mythique de l'être et de l'événement. Elles doivent attaquer le mythe à sa racine et non seulement dans ses figures et dans ses formes. Et cette racine n'est rien d'autre que la perception de l'expression. Le primat de celle-ci sur la perception des choses est la caractéristique proprement dite de la vision mythique du monde. Il n'y a pas encore pour elle de « monde des faits » rigoureusement défini et distinct, car il lui manque encore ces unités constantes que toute connaissance théorique vise à obtenir en premier lieu. »
  • Cette diversité ontologique première est précisément celle que veut capter la notion princeps de Cassirer, celle de forme symbolique, conçue comme médiation généralisée des modalités de l'être.
    • lucky semiosis
       
      le symbole serait une collectivation d'une interprétation individuelle ?
  • Que sont les formes symboliques ? Ce sont des formes médiatrices stabilisées qui émergent de structures socialisées d'interaction collective (institutions et techniques, ritualisations et sémiotiques) et qui contraignent en retour les protagonistes humains, conçus comme des agents cognitifs d'emblée en interaction. De ce point de vue, les formes symboliques orientent les grandes directions de l'agir humain en général comme des anticipations de la forme de toute interaction possible.
    • lucky semiosis
       
      définition formes symboliques
  • Conséquence : pas de causalité physicaliste : aucun phénomène ne peut résulter de la générativité propre à une forme symbolique (car elle serait localisée), et réciproquement, aucun développement pris par une forme symbolique ne répond mécaniquement à ce qui se produit dans une région limitée de l'être. Les formes symboliques sont de grands genres culturels encadrant la production de formes sémiotiques locales : ce que la forme symbolique institue, c'est une capacité à se prêter à la différenciation, selon des normes et des styles variables.
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      De l'influence du symbole
  • L'autorité s'impose à travers son sens, elle persiste à travers son signe.
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Marketing et bêtise » Article » OWNI, Digital Journalism - 1 views

  • Être bête, ce n’est pas penser mal, mais ne pas user du tout de la pensée, que l’on cantonne aux retrouvailles et aux confirmations, au lieu de la confronter à l’impensable dans une aventureuse exploration de possibles [...] Pour la qualifier d’un mot que Bergson affectionne, elle est la pensée toute faite, et non la pensée se faisant. (p.20)
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      Bergson serait-il d'une même avis que l'auteur du bréviaire de la bêtise...
  • On a besoin de la bêtise car on besoin de lieux communs en tant que lieux de partage et de synchronicité. A ce titre, vouloir éradiquer la bêtise serait certainement la volonté la plus bête qui soit.
  • Or, si la connaissance et la pensée n’étaient qu’accumulation d’information, chacun d’entre-nous ne serait plus une singularité mais une particularité, caractérisée par un certain degré d’accumulation, mesurable et comparable aux autres.
    • lucky semiosis
       
      c'est la dimension symbolique de la connaissance...
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  • produire de la bêtise rend bête
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Pouvons-nous devenir plus intelligents, individuellement comme collectivement ? - LeMon... - 2 views

  • Le Poète TS Elliot disait dans Le Roc, l'un de ses célèbres poèmes : “Où est la vie que nous avons perdue en vivant ? Où est la sagesse que nous avons perdue dans la connaissance ? Où est la connaissance que nous avons perdue dans l'information ?”
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      // "votre visage est la mort"
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La voix de Gilles Deleuze - 1 views

  • t je disais après tout, l’intuition intellectuelle - ce que Spinoza présentera comme l’intuition du troisième genre de connaissance, - c’est bien une espèce de pensée comme éclair. C’est bien une pensée à vitesse absolue. C’est à dire qui va à la fois le plus profond et qui embrasse, qui a une amplitude maximum et qui procède comme en un éclair.
    • lucky semiosis
       
      intuition
  • peut-être qu’un des secrets de l’Ethique est dans les scolies - et j’opposais à ce moment-là une espèce de chaîne continue des propositions et démonstrations, continuité qui est celle du concept, à la discontinuité des scolies qui opère comme une espèce de ligne brisée et qui est la discontinuité des affects
  • nous ne connaissons que deux attributs, nous n’avons connaissance que de deux attributs :   l’étendue   et la pensée
  • ...7 more annotations...
  • l’analogie c’est le statut du concept en tant qu’il a plusieurs sens : c’est l’équivocité
  • Le monde de Spinoza est très curieux, en effet. C’est vraiment le monde le plus anti-hiérarchique qu’ait jamais produit la philosophie !
  • Qu’est ce que cela veut dire alors, une pierre et un sage, un cochon et un philosophe ça se vaut ?
  • Il le dira formellement, le sage et le dément, il y a bien un point de vue, "un en tant que", où l’on voit de toute évidence que l’un n’est pas supérieur à l’autre.
  •   Un corps, c’est un mode de l’étendue ;   une âme, c’est un mode de la pensée.
  • Forcément, puisque la morale, elle est inséparable d’une espèce de hiérarchie, ne serait ce que la hiérarchie des valeurs. Il faut que quelque chose... il n’y pas de morale si quelque chose ne vaut pas mieux qu’autre chose. Il n’y a pas de morale de "tout se vaut" ; il n’y a pas la morale de "tout est égal". Bizarrement, je dirais, il y a une éthique de tout est égal.
  • l’espèce de tension, de rapport inversement proportionnel, à savoir, si c’est le corps qui agit, c’est l’âme qui pâtit et si l’âme agit, c’est le corps qui pâtit.
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Habilitation à Diriger les Recherches (HDR) Fabien Gandon - Graphes RDF et le... - 5 views

  • Cependant, dans tous les exemples que nous allons voir, il y a une constante : les mémoires utilisent une représentation de connaissances à base d’ontologies i.e. un système symbolique dans lequel on distingue notamment : ·         Des ontologies : des représentations symboliques constituant la formulation exhaustive et rigoureuse d’une conceptualisation partielle et fournissant un vocabulaire conceptuel. ·         Des bases d’annotations : des représentations symboliques constituant des descriptions de faits de la réalité que l’on souhaite mémoriser et que l’on formule avec le vocabulaire conceptuel de l’ontologie. ·         Des requêtes : des représentations symboliques constituant des descriptions de faits que l’on cherche à retrouver dans la mémoire et que l’on formule avec le vocabulaire conceptuel de l’ontologie. ·         Des règles : des représentations symboliques constituant des manipulations que l’on automatise à chaque fois que des conditions sont vérifiées et que l’on formule avec le vocabulaire conceptuel de l’ontologie.
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      l'ontologie comme système symbolique
  • Il reste beaucoup à faire dans cette étude mais si ces résultats se confirmaient, ils montreraient qu'une structure de subsomption seule ne permet pas de simuler de tels comportements.
  • En parallèle avec ces premières explorations des caractéristiques, interprétations et applications des distances conceptuelles, nous avons commencé à questionner la valeur de ces distances et leur fidélité par rapport aux proximités naturellement ressenties par les humains.
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  • il paraît aussi intéressant de regarder si la notion d’espace topologique ne serait pas plus adéquate que celle d’espace métrique dans certains de nos scénarios.
  • Parce que ces paysages d’informations sauvages sont non organisés et hétérogènes dans leur forme, leur contenu et leur qualité, il reste extrêmement difficile d'automatiser des tâches et de fournir une aide par des outils intelligents. En fait, à bien des égards, ces paysages peuvent être comparés à notre propre monde : ils sont vastes, distribués, hétérogènes, ils fournissent un sol fertile riche en ressources d'information ; les acteurs de ces espaces peuvent y être situés ; les acteurs peuvent y percevoir et agir avec leurs ressources locales ; les acteurs peuvent y interagir par le biais de leur environnement.
  • La complexité des espaces d'information sera bientôt telle qu’elle devra faire appel à des systèmes de régulation complexes et à de nouvelles approches telles que l'informatique autonomique [167] ou l'écologie des infosphères. Nous devons chercher à développer des communautés optimales de l'information c'est-à-dire des agents qui peuvent atteindre un stade stable grâce à un processus en chaîne, dans lequel les communautés relativement simples fournissent une base pour les communautés plus complexes. L'idée est de développer dans ces mondes d'information l’équivalent, par exemple, des chaînes alimentaires et des toiles alimentaires (i.e., un chevauchement de chaînes) pour construire des chaînes d’informations et des toiles d’informations, fournissant au final une grande valeur ajoutée, par rapport au terreau fertile mais sauvage des terrains d’information de départ.
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La voix de Gilles Deleuze - 4 views

  • si il y a un domaine symbolique, c’est celui de l’ordre du commandement et de l’obéissance.
    • lucky semiosis
       
      symbole = morale ? allégorie = éthique ?
  • pour Spinoza dans le domaine de la connaissance, tout rapport symbolique est absolument exclu, chassé, éliminé, que la seule dimension permanente du symbolisme c’est les signes prophétiques ou sociaux
    • lucky semiosis
       
      comment transmettre la connaissance si elle n'a aps une dimension symbolique ?
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La triade sémiotique, le trivium et la sémantique linguistique - 0 views

  • Quoi qu'il en soit, dans le domaine des recherches cognitives, la distinction entre concepts et signifiés n'est à peu près jamais faite29, et la triade mot/concept/référent règne sans partage. Aussi, quand les réseaux sémantiques ou les graphes conceptuels sont utilisés pour représenter des contenus linguistiques, ces contenus sont toujours appelés concepts30. Cela témoigne du logicisme encore régnant, qui maintient la conception référentielle de la signification. La problématique même de la représentation des connaissances procède de cette conception.
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      concept = signifié
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Typologie des structures du signe : le signe selon le Groupe μ - 0 views

  • Termes du triangle sémiotiqueQuelques commentaires d'Eco sur la profusion terminologique autour du triangle sémiotique : « Quelqu'un va même jusqu'à nommer “ signifié ” ce que nous avons appelé référent, et “ sens ” ce que nous avons appelé “ signifié ”. Et, par exemple, la Bedeutung de Frege a pu être traduite par ” signifié ” ou “ meaning ” chez l'un et par “ référence ” chez l'autre17. » Parfois, les divergences terminologiques occultent une convergence théorique ; parfois, elles redoublent et illustrent des dissensions profondes. Parfois, une même dénomination recouvre des termes différents. C’est le cas du signifié, souvent conçu en réalité comme un concept, en contradiction comme nous l’avons vu avec les positions de Saussure, l’inventeur de cette dénomination.
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      définition du signe
  • La tripartition de Rastier donne une sphère autonome et médiatrice au sémiotique et donc notamment au signe. La bipartition en sphères physique (ou sensible) et cognitive (ou intelligible) nous apparaît réserver au sémiotique et au signe trois principaux traitements concurrents. (1) Les « signifiants » (en fait les stimuli) appartiennent à la sphère physique et les « signifiés » (en fait les concepts), à la sphère cognitive.
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      modèle triadique de la connaissance
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Calenda - Science, imaginaire et représentation : le bachelardisme aujourd'hui - 0 views

  • 10h45 : Teresa CASTELAO-LAWLESS, Grand Valley State Université, Allendale, U.S.A : Les formes de représentation dans les sciences: la vie des concepts physiques dans  l’épistémologie de Gaston Bachelard
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      figuration élémentaire ?
  • 14h00 : Vincent BONTEMS, CEA et Centre de Synthèse : Les diagrammes de pensée chez Gaston Bachelard.
  • 17h30 : Gaël CLOITRE, Université de Bourgogne : Le corpus bachelardien et les arbres de connaissance.
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  • 11h45 : Renato BOCCALI, Université de Milan : Géométries ontologiques de l’espace onirique. Sur la topologie et la dynamique du rêve.
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Deleuze: Spinoza: 02/12/1980 - 0 views

  • Et je disais après tout, l’intuition intellectuelle – ce que Spinoza présentera comme l’intuition du troisième genre de connaissance, – c’est bien une espèce de pensée comme éclair. C’est bien une pensée à vitesse absolue. C’est à dire qui va à la fois le plus profond et qui embrasse, qui a une amplitude maximum et qui procède comme en un éclair.
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      intuition
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De la civilisation de l'écrit à la civilisation du flux - 2 views

  • tous ceux qui ont quelque chose à dire ou à partager, une grande idée comme un sourire
  • la pensée qui se fixent sans se solidifier
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Navigation dans le web des données (partie 2) | ReadWriteWeb France - 1 views

  • je joints à mes billets des perles
  • Au fur et à mesure que mon analyse de la problématique s'affinait le pearltree changeait de nom, d'arborescence, de formes.
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Ernst Cassirer - Wikipédia - 0 views

  • Grâce à l'exploration des "formes symboliques", sortes d'invariants de la culture humaine, le philosophe espère réunir la science et les autres productions culturelles de l'esprit dans une même vision philosophique.
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      symbole = lien entre raison et intuition
  • Lorsque l'esprit humain est incapable de tenir à distance le symbole, celui-ci redevient mythe et lui fait perdre ses repères.
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      symbole comme pharmokon
  • Si nous ne parvenons pas à trouver un fil d’Ariane pour sortir de ce labyrinthe, aucune connaissance réelle du caractère général de la culture humaine ne sera possible ; nous continuerons à nous perdre dans une masse de données isolées et éparses, dépourvues apparemment de toute unité conceptuelle
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